Un coup de téléphone de S. Mattachine au Premier Consul

-Bureau du Premier consul, j'écoute.

-Bonjour mademoiselle, ici Séverian Mattachine, vice-président de la Diète. Je souhaiterai parler au Premier consul, je vous prie. Cela a trait aux conclusions de la commission sur le code de la presse que j'ai présidée cet été, à la demande de monsieur le Premier Consul.
- Ha, monsieur Mattachine ! Mes respects, monsieur ! Ne quittez pas, je préviens monsieur le Premier Consul.

-Je vous remercie, mademoiselle.

La secrétaire transmit donc la communication vers le bureau du Premier Consul. Celui-ci étant entra de préparer les derniers grands projets avant son départ prochain, prit l'appel et répondit en remerciant la secrétaire.

-Monsieur Mattachine, quelle agréable plaisir de vous entendre. Comme on vient de me faire part, vous venez parler au sujet du Code de la Presse. BIen, je propose donc que vous me faxer le projet et qu'on regarde tous ceci ensemble.

Le vice-président de la Diète réfléchit rapidement et répondit :


-Monsieur le Premier Consul, vous vous souvenez sans doute que vous me devez un repas...la dernière fois, vous m'aviez laissé en plan, à votre restaurant ismarkais ! Qu'en dites-vous ? Je pourrais commenter le projet à cette occasion....

Il devait admettre que pour recevoir une invitation à un dîner, il aurait espérer de la part de quelqu'un d'autre mais bon, Mattachine était un libéral, et donc de tous les partis socialistes le moins fanatique et bourrique. A vrai dire, il préférait dîner avec lui, qui avait au moins des idées qu'avec les membres du PSM qui crevaient dans leur archaïsme et fanatisme. Pour être sincère en fin de compte, il n'avait rien à faire que Mattachine était libéral , depuis qu'il avait quitter le PSM, il était libre de parler avec ceux qu'il juger capable et visionnaire même si leurs idées divergeaient dans leur formulation. Donc il lui répondit.

"Bien. Pourquoi pas, je vous laisse donc prendre les choix pour cette entrevue gastronomique. A vous de voir ou et comment vous voulez organiser notre rencontre."

-C'est parfait ! Je vais réserver une table à votre restaurant favori. Mais je préférerai quelque chose d'informel et de peu pesant, si vous voyez ce que je veux dire...ce qui n'excluera nullement le respect mutuel et le sérieux de cette entrevue. Ce sera plus simple pour répondre à vos éventuelles questions et remarques, mais je pense que vous serez satisfaits du résultat.

Le Premier Consul lui répondit.

"Faites, comme bon vous jugez. Pour ma part je serais ravis d'avoir cette rencontre."