Soirée de Gala

Le palais était éclairer de mille bougie, la musique resonais dans le palais et les jardins. Les invités arrivaient peu à peu Il était annoncé par Germain puis ils'était accueilli par le Baron Edmens Dantine.

Une grande voiture luxieuse fit son entrée dans le dans le parc du palais, elle remonta toute l'allée qui était bordée de flambeau, puis elle s'arreta, devant l'entré du palais. Le portier se dirigea et ouvrir la porte arrière.

La Salle de danse est ulluminé de mille feu, l'orchestre privée du Baron jouait les oeuvres les plus connues qui soit.

Lui serant la main le Baron dit :

Bonsoir,Monsieur le Gouverneur

Bienvenu ,au Palais Clementine, j'espère que vous passerez une bonne soirée.

Baron repondit au Gouverneur :



Non, Monsieur le Gouverneur, ils ne sont pas encore arrivé .

Mais j'espère qui vont arrivé pour eblouir cette soirée de leur présence.

Constantine d'Entychine a écrit:

Plus dandy que jamais, serré dans ses vêtements en soie étrécis, le sieur d'Entychine gravit les huit degrés du perron, puis glissa suavement sa main en arrière, comme pour allonger ses cheveux de jais. Ses deux yeux ronds d'un turquoise très prononcé, tel deux rubis, tranchaient très absolument avec sa peau blème angélique.

Arrivé aux larges propylées, des serviteurs en grande livrée tirèrent délicatement les boutons de cuivre, puis les portes massives tournèrent sur leurs gonds. Ainsi Constantine gardant une posture académique, fut éblouit par les lueurs des milles feux qui oppressèrent ses larges pupilles.

Il ne vit plus qu'un homme lui tendre la main pour le saluer...

Lui serant la main, le baron repondit :


Bonjour, Monsieur, soyez le bienvenu au Palais Clémentine, j'espère que vous passerez une bonne soirée .

Duc Antonel d'Origodes a écrit:

Arriva alors un simple cortège de voitures, des berlines, probablement " Made in Silverland". Vitres tintées en noir, drapeaux d'Origodes et d'Eslagne sur les pares-brises, tout le monde comprena alors qu'il s'agissait du cortège officiel du Duc Antonel Chalon d'Origodes. Là les premières voitures s'arrêtèrent, plusieurs gardes du corps sortirent, armés, et firent place au Chevalier, selon des méthodes connues partout dans le micromonde. Un homme était devant, un sur le flanc droit, un sur la gauche et un en arirère qui se devait de marcher à reculon. Ces précautions étaient d'autant plus nécessaire à l'aproche des élections ainsi que pour la récente nomination du Gouverneur d'Eslagne.
Il entra avec sa femme dans ce Palais Clémentine pour la seconde fois. Ils avaient en effet déjà assisté à un banquet organisé par le Consulat des Affaires Etrangères pour des accords renforcés avec le Silverland. Bras-dessus bras-dessous, le couple ducale d'Origodes prit alors place dans cette réception. Plusieurs personnes vinrent alors les saluers, mais tous deux attendaient le maître des lieux pour le rencontrer, et ce pour la première fois.

Voyant que le Duc et sa femme venait d'arriver, le Baron s'enpressa d'aller les saluers, Le Baron repondit :

Votre Altesse ,soyez le bienvenue au Palais Clémentine.

Se tournant vers la duchesse , il prit sa main et lui la baisa :

Mes hommages Duchesse.

J'espère que vous passerez une bonne soirée.

Chaitanya Chinmay a écrit:

Puis arriva une troupe d'hommes à l'allure bien exotique. Vêtus de leurs tuniques blanches reconnaissables des bouddhinstes religieux, à pied contrairement aux autres convives, symbole d'humilité et de simplicité, trois hommes vraisemblablement Belondaures convertis au bouddhinsme accompagnaient Chaitanya Chinmay, pied nus comme bien souvent et toujours au sourire apaisant. Il se présenta alors à la réception, montrant l'invitation du Baron Edmens Dantine.

Voyant que le grand sage etait arrivé, il alla l'acceuillir :

Bonjour grand Maitre,je suis heureux de vous voir ce soir, j'espère que vous passerez une bonne soirée.

Puis suivit une imposante et magnifique limousine horné du blason de la famille impérial. Au bord de celui ci se tenais Sa Majesté l'impératrice entouré de ses dames d'honneur.

Celle ci, sortie de sa voiture est avanca en direction du Baron.

-Monsieur Le Baron, je suis très heureuse de vous revoir. L'empereur n'a pas pu se liberer malheureusement. Il regrette de louper un bal si merveilleux !

Duc F-Antonin d'Ecosient a écrit:

Comme à son habitude le Duc aimait ce faire attendre.
C’est ainsi qu’un Messager de la par du Duc arriva et ce dirigea vers le Baron il lui dit ceci : « Baron, Le Consul et Duc ainsi que son épouse se joindront bientôt à la soirée, plusieurs garde du SIELAT se sont déjà posté dans la salle et plusieurs autre vont suivre, la Sécurité du Consul est très important, nous vous rappelons aussi le protocole, nous nous vous indiquons que le Duc possède du sang impériaux. L’aide de camps du Duc D’Ecosient. »

Plusieurs minute se firent attendre et enfin l’on entendit à nouveau des bruits de voiture. Plusieurs grosse voiture se postèrent à l’entrée du Palais ensuite vint celle du Duc, il conduisait lui-même et préférait bien plus cette voiture de sport a toute les limousines proposées par le Palais Impérial qui veut de plus en plus assuré sa protection, lui qui est 3eme sur l’ordre de succession au trône.

L’aide de camps du Duc fit signe à l’un des voituriers qui courut ouvrire les protes de la voiture et prit les clefs.

Le Duc rejoint la Duchesse sur les marches prêt a monter, le Duc avait garder son habitude en ayant mit une chemise et ayant enfiler un beau veston au dessus, la cravate habituelle des grandes cérémonies manquait, la Duchesse elle avait sortit un de ses nouveaux tailleur bleu qui la rendait en parfaite uniformisée avec le Duc. Le Couple illuminé par les flashs, ce dirigea vers l’entrée.
Rapidement le Duc fit signe a son aide de camps pour vérifier que tout ce passait bien, celui ci lui répondit par l’affirmative.

La Duchesse et le Duc entrèrent donc dans le grande salle ou l’on les annonça.

Baron repondit en voyant le couple ducal arrivé :

- Bonjour, soyez les bienvenu au Palais Clémentine

serant la main du Duc :

Votre Altesse Imperial, je suis heureux que vous soyez la ce soir, j'espère que vous passerez une bonne soirée.

Fesant le baise main a la Duchesse :

Mes hommages, Duchesse

Impératrice Alaïena a écrit:

Puis suivit une imposante et magnifique limousine horné du blason de la famille impérial. Au bord de celui ci se tenais Sa Majesté l'impératrice entouré de ses dames d'honneur.

Celle ci, sortie de sa voiture est avanca en direction du Baron.

-Monsieur Le Baron, je suis très heureuse de vous revoir. L'empereur n'a pas pu se liberer malheureusement. Il regrette de louper un bal si merveilleux !

Le Baron repondit en fesant le baise main :

- Mes hommages Majesté, soyez la bienvenu au Palais Clémentine, J'espère que vous passerez une bonne soirée. Vous êtes le raillions de soleil de cet soirée.

Le Baron remarquant que la plupart de ses invités était arrivés, il fit signe à son secrétaire particulier, Germain, qu'on pouvait installer le pupitre.

Peu de temps aprés, Germain dit d'une voix forte :

- Majesté, Altesses Imperial, Mesdames, Messieurs, veuilliez vous dirigez vers la salle de danse ou le baron va vous adressez un message de bienvenue.

Quand tout le monde, fut entrédans la salle de danse, Ger main fit son entré et annonca :

- Majesté, Altesse Imperial, Mesdames, Messieurs,le Baron Edmens Dantine, Directeur de l'Institut des Sciences Musicales.

Les grand porte blanche avec les moulures en ors s'ouvrit et l'on vit entré le Baron qui traversa la salle et se diriga vers le pupitre. Une fois arrivé au pupitre , le baron fit signe à l'orchestre de jouer l'hymne national, et le baron se tenna droit comme un piquet pendant l'hymne National.

Aprés l'Hymne, le baron prit la parole et dit :

-

Majesté,

Altesses Impérial,

Monseigneur,

Messieurs les Gouverneur,

Messieurs les Consuls,

Honorables députés,

Eminence, Excellences,

Grand – Maître bouddhinstes,

Mesdames, Messieurs,


C’est avec joie et fierté que je m’adresse aujourd’hui à vous, en cette occasion si particulière de l’Inauguration de l’Institut des Sciences Musicales. Joie parce que cette inauguration est avant tout l’occasion de nous réjouir d’être les estimés et privilégiés Sujets du plus grand des Princes de l’Archipel et de vivre ainsi dans un pays d’exception ou la music est roi. Mais aussi fierté, non par ma mission propre, mais par la fierté que doit nous imposer le bilan de notre histoire musical nationale.


En effet, cette inauguration est l’occasion de regarder en arrière, d’observer le chemin parcouru. Sans m’étendre, sur ce que nous connaissons tous, et qui fait la force de notre identité, je souhaiterais souligner trois éléments forts du développement musical de l’Empire.


Premièrement, nous devons féliciter encore une fois nos souverains, et nos personnalité pour leur brillant soutien qu’ils mon apportée il y a quelques jours en redonnant la brillance à la music du Belondor. La présence, de sa Majesté l’Impératrice, ainsi que, Son Altesse leDuc Antonel Chalon d'Origodes ,ainsi que Son Altesse Imperial Duc François-Antonine d’Ecosient que en leurs nouvelles qualités et fonction est un symbole de ce que Nous avons accomplis, pour la musique puisse servir la grandeur de l’empire Belondor. Je tiens à cette occasion à souligner le travail remarquable du Duc François-Antonine d’Ecosient. Qu’il n’ignore pas notre reconnaissance, et celle de la Couronne que nous servons.



L'assistance applaudit, et le Baron reprit :


Deuxièmement nous devons être fier de nos institutions Musicales. Lorsque j’ai mits les pieds pour la première fois au Belondor, en juin 2006, nos institutions musicales, existantes déjà en substance, étaient largement maltraitées et peu dignes de confiance. C’est le rôle d’arbitre de Notre Empereur qui a sauvé, seul, à plusieurs reprises le pays de la déchéance musicale. Depuis cette période, nous avons travaillé, à consolider, rationaliser et développer nos institutions pour qu’elle répondent à leur mission : donner au pays sa puissance musical. Nous avons inscrit la représentation musicale comme règle cardinale de Notre fonctionnement. Nous avons su créer une administration, largement apolitique, qui double les institutions musicales et assurent la continuité de la mission de l’Etat, quelque soit la faction politique au pouvoir. Cette stabilité musicale, cette sérénité est jalousée par de nombreux autres pays, car elle ancre durablement le Belondor dans son rôle de l’Archipel du monde, et le préserve des aléas. Tout n’est cependant pas achevé en ce domaine, et, vous le savez, c’est l’un des mes cheval de batailles, que de poursuivre l’œuvre d’édification musical.


Troisièmement, ils nous reste néanmoins de nombreux défis à relever, dont deux essentiels. Même brièvement, je souhaite qu’ils soient mentionnés ici pour montrer leur importance dans la poursuite de nos efforts. Si nous voulons ajouter la pérennité à la stabilité, il nous faut d’une part augmenter encore notre niveau de développement culturel, ce qui est l’œuvre de tous, au quotidien, et non d’un gouvernement par la contrainte, et d’autre part maîtriser l’immigration des artistes. Nous devons accueillir les nouveaux artistes, qui choisissent notre pays pour s’établir, avec toute l’attention, la cordialité, j’oserais dire l’amitié, nécessaire pour qu’ils se sentent accueillis et participent à notre communauté nationale. Là encore, c’est l’œuvre du Gouvernement, mais c’est surtout l’œuvre de chacun d’entre nous.


Ainsi, dès lors qu’il faut tourner son regard vers l’avenir, force est de constater que c’est aux Belondor que revient le premier rôle. Si l’Etat a pu établir des fondations, un tronc solide, seuls les branches peuvent monter jusqu’au ciel.

Majesté,

Altesses Impérial,

Monseigneur,

Messieurs les Gouverneur,

Messieurs les Consuls,

Honorables députés,

Eminence, Excellences,

Grand – Maître bouddhinstes,

Mesdames, Messieurs,






En ce jour mémorable, en tournant nos regards vers le Trône, et plus largement, vers les Cieux d’où règnent Dieu, ayons à cœur de poursuivre cette œuvre de culture, de civilisation, de communauté nationale, sans relâche, avec abnégation et avec une éternelle volonté.


Vive l’Empereur !

Vive le Belondor !



Je vous remercie.



L'Assistance ce mit à applaudir.



Le baron Attendit la fin des applaudissement et dit :


- Et Maintenant, si vous le voulez bien, nous allons prendre l'apéritif.

Que la fête commence !

...

Baron repondit :

- Biensur Grand Maitre, Cela serai possible !

Venez me voir à l'institut dans la semaine, nous pourons mieux en discuter.

- Donnez ce que vous pouvez,l'important c'est de faire le geste.