Arrivé du Comte-Général

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Shingen Ito qui avait pu réjoindre la ville de Copertagen par avion était conduit au Palais Nabelnine Ier dans un taxi officiel de Copertagen. Las de tous ces voyages entre St.Marc,Elbêröhnit, Varsalance et maintenant même Copertagen il penetrait le Palais. Ayant récu un petit message de la part d'un certain Vicomte il s'annoncait auprès la Chancellière du Palais pour répondre à l'appel de l'Impératrice.

Le chancelier du Palais, accueilli Le Comte. Il semblait gêné et ne tenais pas en place, et après avoir salué le noble, il lui dit:

Heuuu.... Mon Excellence, nous voila bien désappointé, mais notre impératrice est à la capitale, pour une réunion imprévue et d'enjeux capital. Vous serez reçu par le Haut-gouverneur, Olivius LeFactus, sans doute le connaissais vous...

Puis tout en accompagnant le Comte jusqu'au petit salon du palais, il continuai, avec la même voix tremblotante de gêne:

Un homme de service viendra dans quelques secondes vous proposez de quoi vous désaltérez, vous pouvez ici prendre toutes les nouvelles de l'Alaienie. Je sais que vous manquez beaucoup ici...

Et le chancelier repartit pour annoncé au Haut gouverneur la présence du Comte.

Invité

Shingen Ito charmé par l’accueil chaleureuse s’assit sur un fauteuil. Attendant, il commençait à s’énerver sur l’incapacité du secrétaire de l’Impératrice alias le Vicomte. Ou il se moquait de lui ou il manquait vraiment à un tel point de vue sur les affaires de sa souverain, se disait-il. Egal, dans ce cas la réunion avec elle n’aura pas lieu, au moins il pourrait parler avec Olivius et peut être découvrir ce que l’Imperatrice voulait et si ceci n’était pa spossible il parlerais avec lui sur le sort des alaïeniens dans la guerre à venir.

Un homme service arriva, un costume noir et blanc l'habillait, il annonca au Comte;

A la vue de l'heure, le Gouverneur vous recevra un des tres luxueux restaurants, si vous voulez bien me suivre.

Puis le serviteur conduisit Shingen jusqu'a sa limousine qui l'attendait devant le palais.

Une fois arrivé dans le plus luxueus des restaurents, non loin du palais, Shingen pu voir Olivius LeFactus assis , avec sa secrétaire à ses cotés, et un sourire qui laisser transparaitre la joie de revoir son ami apres tant de temps.

Invité

Shingen Ito très heureux de revoir son ami Olivius s’assit à la table après avoir pu observer courtement les environs du Palais dans le voyage en limousine. La ville de Copertagen était très grande et il avait longtemps entendus sur elle les histoires les plus folles comme celle de l’existence d’un trésor d’une taille inimaginable dans ses enceintes.

Voulant pas mettre Olivius dans une mauvaise situation face à sa secrétaire il préférait de prendre un ton plus formel et aussi ainsi de lui honorer de sa charge, charge qu’il remplissez dans ses yeux magnifiquement.

« Cher Gouverneur,

C’est pour moi un plaisir de vous revoir. Je suis très touché par le temps que vous me consacrer surtout qu’aujourd’hui beaucoup de gens ne semble plus avoir le sens de la bonne organisation et de l’accueil. Ce qui ici ne semble pas être encore le cas, par chance. »

He bien, non ne t'en fais pas dit Olivius en insistant sur le T', pour faire comprendre à son ami qu'il pouvait être aussi décontracté qu'il le souhaité. J'arrive toujours à trouver le temps pour mes amis. Bien qu'il est vrai cela fait un moment que nos charges nous on séparés... Et puis je n'ai même pas eu le temps de te féliciter pour ton anoblissement... Bien quoi qu'il en soit, assis toi !

Je nous ai commandé des plats locaux, il ne vont pas tardé à arrivé... Au fait, l'impératrice s'excuse, elle n'a pu assurer ton arrivée, elle est prise dans une réunion à la capitale, qui d'après ce qu'elle m'a dit, n'est pas prête de se finir... Ajoutât-il avec un sourire un peu désolé tout en regardant le magnifique endroit qui leur servait de lieu de réunion.

Bon avant d'en venir à des sujets sérieux, et j'en ai de nombreux à m'entretenir avec toi... Quelles nouvelles amènes tu ?

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Le restaurant très bien meublé et unissant le moderne avec le beauté du vieux plaisait bien à Shingen. La climatisation allumé permit de rafraîchir l’atmosphère normalement assez sec dans les régions du sud de l’empire.

Shingen heureux de la poursuite plus intime de ce dîner répondit à Olivius en prenant place avec un léger trait d’humour :

-Pour être franche, c’est le bordel total dans la capitale. Entre organiser des parades et faire face à une éminente invasion de la part du Gélèbre, je suis totalement pris. En plus vient que presque tous les journalistes du Globe Libre on prit la fuite vers l’Abalecon.

Souriant il ajoutait :

-Au moins une bonne nouvelle, les travaux d’urbanisation et d’impérialisme de Varsalance avancent incroyablement vite. A vrais dire, les chantiers avancent à un rythme recorde telle que la majeur partie des bâtiments publiques sont achevés. Mais bon, pour résumer la situation, elle nous promet des surprises.

Il questionnait donc Olivius :

-Et chez toi, tu débrouille comment avec l’administration de l’Alaïenie ? Je souhait mieux que Vicomte de Magna Nabelnis avec l’agenda de l’imperatrice.

Ajoutait-il avec un grand sourire.

L'entrée venait d'étre servit, et Olivius attendit que les serveurs ne l'empecherent plus de voir le comte, pour reprendre :

Et bien, pour le vicomte , je n'ai pas de nouvelle... En reprenant un ton sérieux, il continua; pour les affaires militaires, bien que je ne m'y connaisse absolument pas et m'en desinteresse totalement, je sais que nous sommes en de bonne main avec toi et le grand moff... Alors je vous fais confience... D'ailleur, cela amorce une des choses pour les quelles je voulais m'entretenir avec toi , puisque tu es le général des armées, souhaiterais tu une aide militaire, d'hommes ou de matériels de l'Alaienie?

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Les serveurs s’allant à d’autres labours, Shingen observait rapidement le plat servit. Lui provoquant appétit, il diriger de nouveau son regard vers Olivius et lui répondit :

- C’est un des points que je pensais de parler avec toi après que tu m’aurais dit ce que l’Impératrice me demanderait mais bon, avançant les choses déjà que nous y sommes. Oui, ton idée est très bonne et je vais être franche. Je considère qu’il faut que l’Alaïenie soit prête à combattre toute seule pour son indépendance qu’elle à gagner en faisant partie de l’empire. Donc il serait nécessaire que l’Alaïenie soit prête en ayant assez de ravitaillement pour se nourrir elle-même car je crains qu’en cas d’invasion que les premiers lieux qui seront délaissés seront les colonies surtout en cas que nos ennemies prennent le control de la mer ce qui est très probable car dans ce cas le ravitaillement depuis la Métropole sera quasiment impossible.

Olivius réfléchit, et au risque de paraitre incompétant, il se lançat:

Une question me taraude... Quelle statut pour l'armée des colonies? Enfin, particulierement pour L'Alaienie? Devant qui les soldats sont ils responsables et doivent obéir? En es tu le général? J'avoue que les questions militaires.... je ne me suis pas encore penché dessus. Pour le ravitaillement, c'est exact, et meme si nous avons fait d'énorme effort sur l'autosuffissance alimentaire, dès demain je me charge de ce point.

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Shingen comprenant que cette homme doué pour l’administration ait plus de peine pour les affaires des miliaires lui répondit :

- Non, comme général je suis le chef sur mes armées, j’en ait pas de pouvoir sur les forces des colonies. Les troupes des colonies sont sous la juridiction du Grand Moff et finalement sous celui de l’Empereur. Donc ce sont eux qui finalement donnent les ordres. Mais ce que je te dit c’est mes estimations et donc des conseils. Dans une guerre il y a toujours des victimes et après la vérité ce sont les colonies qui sont délaissés. Et étant donner que l’Alaïenie est séparée par la Métropole par un passage maritime, le risque est très fort que l’ennemie sépare les liaisons donc isole l’Alaïenie. Ainsi donc je te conseille plus comme ami que comme militaire de préparer l’Alaïenie à l’autosuffisance militaire et ainsi de l’armer à devoir combattre seul.

La secrétaire transcrivait chaque parole des deux hommes, et était suivit de tres pres par l'oeil attentif d'Olivius. Il lui redonna une feuille et continua;

D'accord merci. Je prendrais donc demain contact avec le grand moff et m'occuperais de nos trouppes.

Olivius Réfléchit un peu et repri:

Sinon, je voulais aussi te demandé; franchement, que vois tu pour l'Alaienie, je sais que ta famille et toi aussi est tres implanté ici. Et tu as fait beaucoup pour la royauté, mais peux tu me dire ce que tu verrai pour elle?

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Shingen songeait un moment et lui dit :

-Il serait certainement plus facile de te dire ce que moi je ferais mais je pense que tu est assez capable pour reconnaître les besoins de ton peuple. Te dicter mes ordres est une offense à ton intelligence car t’est bien meilleur administrateur que moi. Mais je pense que peut être un peu de science et d’un coup de pouce pourrait t’aider. Ainsi je préfère de donner un bref résumé de la théorie qu’un certain psychologue à mis sur pied.

Ainsi il commençait à raconter :

-Cet homme prétendait que chaque peuple avait des besoins et qu’un nouveau besoin survenait chaque fois que le peuple avait réaliser un besoin plus basique. Ainsi il disait que le premier besoin d’un peuple était à boire, manger et avoir un accès à la santé. Ce besoin réaliser il disait que depuis là, le peuple voudrait avoir de la sécurité et de la stabilité. Ce besoin encore une fois satisfait le prochain besoin que le peuple désirait serait l’accès au savoir et aux études ainsi qu’à la réalisation artistique.

-Un niveau bien plus haut le peuple voudra le prestige, l’amusement, la reconnaissance de sa grandeur, des monuments démontrant le génie du peuple et des œuvres admirés par les autres peuples. Si tous ces besoins seraient réalisés le peuple ainsi il prétendait réclamerait l’assurance de la liberté individuelle, la libre expression, l’égalité et tous ces valeurs ainsi que le droit de pouvoir se gérer le plus que possible par une assemblé élu parmi le siens. Si tous ces besoins sont satisfait ainsi lui, le peuple ne tentera jamais à la rébellion et fera tous pour maintenir ce niveau de vie.

Terminant son récit il dit :

-Ainsi Kohl affirmait comment le peuple exigerais la réalisation de ses besoins, chaque fois un besoin plus basique réalisé il demander la réalisation du prochain niveau de besoin. Je pense que ceci pourrait d’être une aide pour savoir comment procéder pour satisfaire les besoin de ton peuple un après l’autre. Mais naturellement il est nécessaire pour ceci de savoir quelles besoins on déjà était réalisés et à quelle niveau d’exigence se trouve ton peuple, ceci et le grand challenge à réussir, connaître son peuple. Un challenge que des nombreux chefs d’états on jamais compris ce qui devenait leur perte.

Il prit son souffle et dit:

-Mais je pense que tu saura reconnaître les besoins de ton peuple car t’est extrêmement intelligent. Mais pour te donner un conseil pratique, je pense que tu devrais former un gouvernement avec toi comme gouverneur et au moins quelques ministres chacun ayant un domaine à observer et te faire des rapports. Choisit des ministres du peuple, non par leur idéologie mais après leur capacité. Ainsi tu aura des hommes capables connaissant les vrais besoins de ton peuple car nul connaît mieux les problèmes que celui qui les à vécu.

Olivius écouta attentivement les conseils de son amis, puis il repri sans transition;

Et ton université, ou en est elle? Je n'ai pas encore eu le temps d'y passé. Tu as eu tous les professeurs? et puis quelles sont les enseignements prodigués par l'établissement? Tu en es le directeur?

Puis il repris dans sa malette des documents... y jeta un coup d'oeil et continua;

Au fait , les hopitaux dont tu m'a confié la tache seront bientot terminé, ce n'est plus qu'une histoire de details...

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Shingen très reconforté lui répondit:

- Ah oui, l'université va très bien, même extraordinairement bien. Pour le professeurs il n'y a même était necessaire de faire des appels d'offres il se sont presentés spontanement après avoir entendu l'annonce de l'ouverture de l'université. Il semble que l'atmosphère plus liberale l'université à attirer de nombreux esprits comment dire, moins attiré par les idéaux d'une éducation d siècle passé avec des attachements idéologiques. Pour ainsi répondre à ta seconde question, l'université à jusqu'à maintenant su garder ses valeurs démocratiques, laic et libre de tout allignement idéologique. Les demandes d'inscriptions sont exedentes ce qui indique qu'il y a un réel interêt pour une éducation liberale expliquant d'un point de vue scientifique les choses et pas acrocher à une éducation religieux. Pour les matières elle traîte surtout l'économie, l'anthropologie et les sciences donc des matières importantes pour former des gens voyant dans le futur et ne restant pas accrocher au passé.

Venant sur le sujet des hôpitaux il dit:

- Ah enfin, je te remerci pour cette nouvelle. Elle me remplit de joie de voir que la santé de Varsalance sera réformer avec ton aide.

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