Association caritative bouddhinste Kunja

L'association caritative Kunja est sous la direction de Chaitanya Chinmay ainsi que du Grand Maître de la Congrégation Bouddhinste du Belondor, et est formé principalement par des bouddhinstes, ainsi que quelques bénévoles. Elle a pour but d'aider les Russlaves les plus pauvres à subvenir à leurs besoins et à mener une vie décente.

Le premier centre de l'association s'est ouvert dans un quartier pauvre de la capitale, où sont entreposés les dons en nature faits à l'association afin de les distribuer gratuitement aux miséreux, constructions facilitées par l'expérience des bénévoles étrangers dans ce domaine, certains venant de Russlavie ou de Dastornia afin d'apprendre aux bénévoles Belondaures leur façon de faire.

De la nourriture mais aussi des vêtements, du matériel de cuisine ou encore des livres, scolaires ou non, y sont entreposés et distribués aux personnes se rendant dans les locaux de l'association. Petit à petit, de plus en plus de sans le sou se rendent désormais chaque semaine dans ces centres afin de s'approvisionner. Grâce au bouche à oreille ce nombre ne cesse de croitre, de nouveaux achats de locaux et des agrandissements sont prévus si les centres venaient à être débordés par les demandes.

Des affiches furent placardées pour informer la population :

Association caritative bouddhinste Kunja Affichekunjarr8

Association caritative bouddhinste Kunja Affichekunja2kd8

Association caritative bouddhinste Kunja Affichekunja3yp1

A sa petite échelle, l'association Kunja aidait à la reconsruction de l'Ardanie, en soutenant les habitants dans leurs besoins les plus essentiels. Leurs charges quotidiennes s'ammoindrissaient grâce à cela. De plus, des artisans aux coeurs généreux venaient quelques temps en Ardanie aux côtés de l'association pour former la jeunesse, combattre la criminalité par l'éducation, bâtir un avenir meilleur grâce à leurs connaissances respectives qu'ils transmettaient aux apprentis.

Grâce à la décision récente du gouverneur de l'Ardanie, les oeuvres de Kunja purent s'accentuer grandement. Les bâtiments publics encore non-réquisitionnés par l'Etat furent utilisés par les bénévoles, en nombre croissant : beaucoup de chômeurs et des bouddhinstes de la métropole venaient aider.
Des camions de l'Etat venaient fréquemment apporter les biens nécessaires au bon fonctionnement des centres de plus en plus nombreux et présents, en plus des divers dons.

Les économies ainsi faites permirent d'engager des artisans pour aider à la réinsertion des nécessiteux.

Tout se déroulait parfaitement dans les locaux, de plus en plus nombreux, de l'association. Désormais, des dizaines de milliers de nécessiteux venaient chaque semaine aux centres Kunja, présents par dizaines dans la cité de Varsalance et sa périphérie. Les populations se sentaient enfin soutenus et aidés avec cette association semi-religieuse, et ce nouveau gouverneur.

La sensation des ardaniens d'avoir été les oubliés du Belondor s'effaçait peu à peu. Ils se sentaient perdus, mais découvrirent des gens venus les aider, désintéressés et poussés par leur croyance. Des ardaniens trouvèrent ainsi des réponses à leurs questions en cette croyance si peu connue mais bienfaitrice, bienveillante, et parfois des lieux de rencontre religieux bouddhinstes, des lieux de culte ou de prèche s'ouvraient en parallèle avec les centres de Kunja, parfois adjacents.

Les ardaniens trouvaient petit à petit des réponses à leurs besoins matériels, et spirituels.

Seul en Ardanie la communauté bouddhinste n'avait pas été appelée à suivre le proche mouvement contestataire à l'encontre de la politique diplomatique du Belondor à l'égard du Mnibet, étant donné que la priorité était l'aide à apporter aux Ardaniens. Beaucoup de bouddhinstes bénévoles de la métropole étaient partis pour prendre part aux manifestations du lendemain, mais ces départs provisoires n'eurent peu d'impact vu qu'ils étaient largement minoritaires : la campagne menée par Kunja avait en effet eut pour résultat que les Ardaniens s'investissaient beaucoup, et l'apport extérieur en devenait moins important.

La situation, lentement, s'améliorait. Kunja lançait désormais des plans de reconstruction de maisons, et parallèlement des logements provisoires fut installés.

Nombres de bénévoles de l'association, les donateurs extérieurs ou non à l'Ardanie, ainsi que nombre d'ardaniens plus ou moins proche de Kunja avaient l'impression que cette association faisait le travail du gouverneur ainsi que de l'Empire à leur place. Bien que les dons publics et mises à disposition de matériels semblaient montrer une volonté de l'Etat d'améliorer la situation, la présence de représentants de l'Etat était si faible que cette politique perdait sa valeur aux yeux des ardaniens. On pensait que l'Etat ne se souciait plus du sort de l'Ardanie, et laissait le travail à une ONG.

Mais malgrés toutes ces interrogations et le renouveau de la méfiance envers l'Etat, le travail de reconstruction avançait. Petit à petit, les premiers résultats étaient visibles, bien que l'efficacité se montrerait sur le trés long terme. Des maisons neuves apparaissaient, ainsi que des commerces, aux étals peu remplis, tandis que des professeurs formaient les futurs diplomés, et les voyait déjà gravir les échelons de la société, dans dix ans, dans vingt ans.

Temple Bouddhinste du Belondor
Sous-Congrégation Bouddhinste de Varsalance

Le Temple Bouddhinste du Comté de Varsalance, en charge de Kunja, nomme à la tête de l'association Isnão Ito.

La situation sociale ayant complètement changer en Ardanie et surtout à Varsalance l’heure fut venue de s’attaquer à des problèmes sociaux d’autre nature, celui des sans-abris car même si aujourd’hui la majorité avait retrouvé leurs foyers reconstruits après la guerre sous le Gouverneur Tarsion, il resta encore un bon nombre de gens vivant dans les rues. Profitant de sa charge de Maire de la Ville et aussi de celui d’humble serviteur en charge de l’association Kunja il débloqua les fonds pour avec l’aide de ses frères et sœur ouvrir des petits locaux permettant aux sans-abris de pouvoir dormir sur des matelas au chaud et plus sur des aérations de métro. En plus il réussit à mobiliser les vénérables membres du Kunja pour l’ouverture de locaux offrant une nourriture très simple à ceux qui en avait nécessaire retirant à la faim des nombreux mal fortunés.

Ces actions visant à améliorer le sort des moins aisés montraient également un effet imprévu, le Temple de Varsalance, se retrouva soudainement remplit de curieux surtout des vagabonds qui commençaient à s’intéresser à cette étrange philosophie dont pratiquer leurs bienfaiteurs. Les prêtres, toujours prêt à instruire des nouveaux venus leur expliquaient avec grande amour et patience les principes de la pensée bouddhinste. Les nouveaux-venus, fortement intéressé commencèrent même certains à prier avec les autres.

» Nouvel an bouddhinste
» Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI
» Séminaire Bouddhinste et Choedaariste