L'Empire du Belondor
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L'Empire du Belondor

Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI

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Chaitanya Chinmay

Chaitanya Chinmay


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MessageSujet: Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI   Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI EmptyVen 17 Nov - 6:15

Chapitre I-1 : Introduction I

Mes biens chers frères, vous que je ne connais point et qui ne me connaissent pas encore, oubliez votre ancienne vie nourrie par le Mal, l'Egoïsme, le Matérialisme et la Peur. Ici, contentez-vous de suivre le Bouddhinsme, si votre Conscience vous le permet, et découvrez ce qu'est la vraie vie nourrie par la Nature, l'Amitié, la Communauté et la Joie.

La connaissance du Bouddhinsme est la clé pour une vie heureuse dans la simplicité et le respect de ses pairs.

Cette phrase pourrait à elle seule résumer le Bouddhinsme, mais un tel réductionnisme n'est pas digne des pensées Bouddhinstes.
Nous verons tous ensemble, petit à petit tel le gland qui germe pour donner naissance à un magnifique chêne grand et robuste, ce qui constituera Philosophie Bouddhinste.


Chapitre I-2 : Introduction II

Le plus important dans l'initiation au Bouddhinste, ce n'est pas la lecture de mes quelques humbles pensées et méditations, mais l'intéractivité avec moi-même, ou les autres disciples à mes côtés, plus expérimentés, et le nouveau venu souhaitant découvrir tout ceci.

Ainsi, le Jeune me pose des questions, auquelles j'essais de répondre de mon mieux tout en lui posant à lui-même des questions, et en le faisant réfléchir par lui-même. Cette façon de faire doit ainsi le mener petit à petit à une plus large compréhension de ce qu'est le Bouddhinste, parcours long et laborieux.

Nous, bouddhinste, avons sans doute l'orgueil vain de vouloir enseigner la vie, l'art de vivre et de voir le monde, l'initiation à la sagesse, à la poursuite du rêve de l'omniscience, tout cela unifié dans ce que nous appelons "l'Eveil".


Chapitre I-3 : Noms Bouddhinstes

Chaque disciple se sentant prêt à faire le premier pas vers le Bouddhinste pourra me demander à recevoir son nom Bouddhinste.

Dans la culture Bouddhinste, chaque nom a une signification et sera donné en fonction de la personnalité du disciple. Au niveau plus philosophique, lorsque le disciple n'est plus dans son ancien monde matérialiste, il prend alors son nom Bouddhinste afin de montrer son rejet de son ancienne vie au sein du cercle Bouddhinste et ne plus être la même personne, pour ne plus songer qu'à sa méditation et son Eveil.


Chapitre I-4 : Tutoiement

Un des principes du Bouddhinste est le tutoiement, qui appelle à être appliqué entre disciples, mais aussi avec des personnes étrangères à la philosophie si du moins cela ne va pas à l'encontre de leurs cultures.

Le vouvoiement est un vecteur de soumission issu d'un protocole futile et non de respect car celui-ci n'est que superficiel car il ne passe que par la voie oral. Si le vouvoiement est respectueux oralement, le tutoiement permet quant à lui d'effacer la superficialité des propos car seul le respect intérieur est important. Les hommes frères sont égaux et pour cela il ne doit se faire que l'unique procédé oral du tutoiement.



Chapitre II-1 : Religion

Quoi que puisses en dire les mauvaises langues, sifflantes tel le mesquin serpent, le Bouddhinsme n'est pas une religion.

Certes l'on peut devenir Bouddhinste, mais cela n'engage en rien. En effet, on ne devient pas Bouddhinste extérieurement, par des cérémonies ou d'autres matérialisations, on le devient en soi.
Cela signifie que ce ne sont pas les autres frères qui vous donneront votre nouvelle spiritualité, mais bel et bien vous.
De plus, vous ne saurez pas à quel instant vous l'aurez acquise, elle ne puit grandir en vous que à l'aide du temps, et de la méditation personnelle autant que collective.

Chapitre II-2 : Croyance

Le religieux croit en une instance supérieure et transcendantale, lui vouant un culte par le biais de dogmes et de pratiques, tandis qu'il se soumet à une hiérarchisation de l'homme au sein du culte. A l'inverse, le Bouddhinste athé n'a pas de croyances de cette sorte. Le Bouddhinste se contente de se fortifier spirituellement (voir chapitre V), seuls des principes accompagnent sa vie et ses méditations tandis qu'au sein de la philosophie les dogmes et pratiques matérielles et superficielles sont inexistantes. Le Bouddhinste athé voit en ses semblables une source d'enseignements et d'expériences qu'il doit partager et échanger.




Chapitre III-1 : Les Vies

Chers disciples, la Nature dans sa grande tendresse et bienveillance nous a offert ici bas un corps afin de jouir des plaisir simples de ce monde. Mais en ce corps est enfermée une âme, un esprit. Cette entitée spirituel et éternelle tend à grandir, à s'émanciper du corps purement matériel et mortel. Le Bouddhinsme permet cette émancipation par ses principes, encourageant la pureté de l'esprit, mais aussi celle du corps car celui-ci lie l'esprit à la joir et aux plaisirs.

Chaque corps est unique, et pour cela il faut savoir le connaitre et l'apprécier dans chacune de ses vies, en le modérant et en le respectant. Le corps permet le bonheur, les plaisirs simples, tandis que l'esprit permet le savoir et la connaissance, qui se renouvellent à chaque nouvelles vies, l'esprit devenant plus complet malgré la diificulté d'être conscient de ces connaissances.

L'Omniscience et sa quête permettent de tendre à maitriser son esprit et les secrets qu'il contient. Le spirituel doit être compris par le Bouddhinste, afin que l'esprit n'ait plus à se renouveler éternellement et aveuglément dans un nouveau corps, mais gardera ses savoirs qui ne seront plus l'inconscience du sage omniscient.



Chapitre IV-1 : La Nature

La nature est composée de toutes choses, et toutes choses composent la Nature. Par votre simple existence, vous-même composez la Nature, et lors de votre venue dans ce monde c'est elle qui vous a composé. La Nature a fait de vous ce que vous êtes aujourd'hui, et continuera à vous modeler depuis votre Aube à votre Crépuscule.


Regardez ce magnifique Jardin où nous sommes. Si à la fin de cette journée vous irez vous promener, observez-le bien.

Peut-être découvrirez-vous un nid d'oiseau, où se trouveront quelques oeufs encore tout chaud par la couve de leur mère, effrayée par votre brutale arrivée. Ce nid fait de branchages constituant un cercle, abrité dans des hautes herbes ou une branche d'arbre, et bien ce nid et ses oeufs représentent l'Homme, couvé par la Nature, protégé par ses soins maternels, qui plus tard partira seul vers son destin, oubliant cette Nature qui l'avait tant comblé.

Peut-être découvrirez-vous des fleurs dont vous ne connaissiez même pas l'existence. Ces fleurs sont comme les Hommes, ignorés par vous jusqu'à ce que vous vous intéressiez à eux. Et c'est à ce moment précis que toute leur beauté vous apparait.


Mes amis, j'espère que vous avez bien écouté ces paroles, elles doivent vous apprendre à ne plus voir mais regarder la Vie telle qu'elle est, et non pas comme vous vous l'imaginez.


Chapitre IV-2 : Dieu

Les hommes ont toujours eu à méditer sur l'existence de Dieu. Parfois, la philosophie et la religion ont eu à s'affronter, la philosophie démontrant l'inexistance de Dieu tandis que la religion rejetait les philosophes.

Mais le Bouddhinsme est bien au dessus de ça, car sa philosophie laisse les hommes libres de croire comme ils le souhaitent. C'est à chacun de voir le rapport Dieu-Nature comme il l'entend. Comme eut trés bien raisonné en son temps Yash Yashodhan, "le bouddhinsme n'est pas un mouvement philosophique restrictif à une certaine idéologie. Il permet, par les échanges entre personnes, de favoriser notre chemin vers l'éveil. Si je devais résumer aussi simplement, le bouddhinsme est un univers de rencontres. Dieu peut être ou pas la nature. A chacun de voir cela comme il le pense."



Chapitre V-1 : L'Omniscience, ou la voie sans fin

Mes biens chers disciples, la recherche de la connaissance et son usage sont des arts que chacun se doit tout d'abord d'expérimenter dans le but recherché qu'est la maîtrise.

Sachez que l'Omniscience est une des grandes Quêtes vers l'Eveil.

Mais n'ignorez plus qu'au fur et à mesure que l'on accumule ses connaissances, l'on découvre l'immensité de ce qui reste encore à connaître, tel si l'on pouvait se rapprocher d'une étoile céleste et que l'espace infini s'étalait de plus en plus entre la Lumière et notre corps.

L'Omniscience est ainsi inaccessible, mais tenter de l'approcher du plus prés sera un but pour l'Eveil, la connaissance parfaisant la sagesse naissante du disciple convaincu.


Chapitre V-2 : La Théorie de l'Eveil

L'Eveil est la quête Ultime du Bouddhinste qui regroupe la maitrise de soi et de son corps, de ses désirs et de ses sentiments, par l'application des principes du Bouddhinsme. L'Eveil est synonyme de sagesse, et le Sage Eveillé a alors la connaissance de la vie et du monde. Une nouvelle vision s'offre à lui, il n'est plus un Homme matériel et mortel, mais un Homme spirituel et son esprit demeurera éternel.

L'Eveillé sait et a conscience de son savoir, il est Maitre dans la connaissance et a la faculté d'enseigner et de sauver les valeurs de l'Homme, et les Hommes des eaux déchainées de la décadence. Toute sa vie repose sur l'application du Bouddhinste et de son enseignement à ses disciples. L'Eveillé est uni à ses croyances, au Bouddhinsme, aux Hommes.



Chapitre VI-1 : Parabole du Maître et de l'Esclave

L'esclave du maître est un homme qui a perdu tout ses droits, à qui son maître lui impose des tâches. Il n'aura ainsi de réalité que parce qu'il travaille, sa vie va s'échanger contre une perpétuelle somme de travaux, il est enchaîné à sa condition, figure de son aliénation.

Ainsi l'esclave travaille encore et encore, devenant petit à petit le médiateurobligé entre le maître et le monde, maître qui s'éloigne imperceptiblement du monde qu'il ne connaît que par l'intermédaire de son esclave.

Le maître ignore ainsi tout de la coupe de fruits se situant sur sa table, des fruits il n'en connaît que la consommation, il ignore tout du travail à fournir pour que ces fruits arrivent sur sa table, il en ignore également les métiers relatifs à la récolte, la taille des arbres, le travail de la terre. Or son esclave sait tout de cela et qui, par son travail, se confronte à cette négativité qui est la souffrance, la peine dans le labeur.

Jour aprés jour, son aliénation se transforme en maîtrise du monde, il s'approprie ce monde qui n'a alors plus de secrets pour lui alors que pour le maître ce monde devient de plus en plus une énigme, et il devient dépendant de l'esclave. La maître est devenu un maître sans maîtrise, il s'est à son tour aliéné à sa propre liberté, à son statut.


Chapitre VI-2 : Parabole du Maître et de l'Esclave

L'esclave s'est réapproprié lui-même à travers son travail, et au bout de ce processus il y a sa libération, de tel sorte que le maître s'ait retrouvé beaucoup plus enchaîné que lui.

L'oisiveté est ainsi nuisible à l'Homme, tandis que le travail est libérateur et permet la perception du monde, de la Nature. L'Homme par son action incarne ses valeurs dans le monde, à la différence de l'animal chez qui son déterminisme biologique le pousse à être.
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Chaitanya Chinmay

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MessageSujet: Culture Bouddhinste : Chapitres I à II   Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI EmptyVen 17 Nov - 6:15

Chapitre I-1 : Le Mnibet

Les montagnes de l'Hamilaya vues d'un village :
Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI Temple

Le Mnibet est un petit royaume situé au coeur des montagnes de l'Hamilaya, à plus de 5 000 mètres d'altitude, dans la région dite du Namkha, autrement dit "le ciel" en Mnibétain. D'aprés les documents de la Grande Biblitothèque Royale, le pays existe depuis l'an 658 avant notre ère, ou 293 sur le calendrier bouddhinste,. Longtemps ignorés de leurs voisins à cause des contraintes dues aux reliefs, les Mnibétains ont vécus dans des conditions souvent difficiles mais harmonieuses car la guerre ne les préoccupait pas, seul comptait leur survie non pas face aux hommes mais face à la Nature.

Le Roi Mnibétain, dit "Outamaraya" pour Roi Suprême, exerce une monarchie absolue mais pour le bien de son peuple. D'ailleurs aucune oppression n'a jamais existé au Mnibet, tandis que le controle du territoire est partagé entre différents seigneurs sous les ordres du Roi, qui sont souvent
à la base des chefs de village ayant pris la place de leurs pères.

L'architecture Mnibétaine (ici la maison d'un seigneur) :
Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI Nepal-2small

Chasseurs et paysans, les Mnibétains dévellopèrent une culture sans pareil, les extravagances de leurs constructions étaient impressionantes car trés travaillées. Leurs habits, eux, semblent comporter moins de travail mais la finesse du tissu Mnibétain est trés recherchée dans les pays cofrontaliers au Mnibet.

Les habits Mnibétains (ici un mariage) :
Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI 14



Chapitre I-2 : Lama Choedaar

En l'an 332 avant notre ère, ou -33 sur le calendrier bouddhinste, avait vécu au Mnibet Lama Choedaar, dit "l'enseignant qui répand la parole". Ce philosophe, penseur et théoricien est un pur fruit harmonieux de la culture Mnibétaine, hormis certaines particularités. En effet de ce philosophe est nait le Bouddhinsme, littérallement "la route de l'Eveillé", cette philosophie de l'harmonie, de la sagesse, du respect et de la simplicité. Il parvint alors à mettre en valeur de nombreuses particularités culturelles Mnibétaine mais en rejeta certaines, comme le matérialisme. Lama Choedaar écrivit ses oeuvres philosophiques sur des rouleaux de cuir séché (encore existants et protégés dans le temple Mnibétain Nyima "le Soleil"), et ouvrit une école de philosophie proche de la Nature car c'était un Jardin, où il enseignait le Bouddhinsme à ses disciples assis sur des mentoks (des fleurs blanches, symbole de pureté).

Le Bouddhinsme se propagea alors dans tout le Namkha pour devenir la philosophie que l'on connait aujourd'hui. A la mort de Lama Choedaar, ses disciples le nommèrent alors le Namdak, dit "l'Esprit éveillé", il représente l'aboutissement de la quête vers l'Eveil. Il faut noter également que les Bouddhinstes attendent la réincarnation de Lama Choedaar qui saura les conduire sur la route de l'Eveil.



Chapitre I-3 : Chungdak Kunsang

En l'an 259, ou 106 sur le calendrier bouddhinste, le philosophe Bouddhinste Chungdak Kunsang, dit "toujours le plus jeune" et descendant d'un des premiers disciples de Lama Choedaar, fut considéré comme la première réincarnation de Choedaar. Cette considération est venu du fait, dés l'âge de quatre ans, qu'il était observé par ses proches médusés en train de méditer sous un arbre. Vers l'âge de quatorze ans, Kungsang semblait déjà avoir acquis la sagesse des plus grands sages de l'époque, et ceux-ci furent surpris de voir que le petit enfant leur démontrait que leurs théories spirituelles étaient fausses.

Vers l'âge de vingt-quatre ans, des Bouddhinstes parcouraient des dizaines de lieues et se réunissaient pour entendre la parole de Kungsang. Peut avant sa mort il décida de partir en ermite dans les montagnes de l'Hamilaya, sans prendre de nourriture, d'eau ni même de vêtements. Les écrits de l'époque racontent, selon certains Bouddhinstes qui seraient partis le rencontrer dans son ermitage, que Kungsak passaient ses journées assis sur un rocher face aux montagnes, en état de méditation transcendale, sans bouger ni se nourrir pendant plusieurs mois. D'aprés ces mêmes écrits, nul n'a pu retrouver son corps.



Chapitre I-4 : le Grand Temple Nyima

Le Grand Temple Nyima et la Bibliothèque Royale (batiment de couleur plus sombre) :
Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI Potala

Nous avons déjà parlé dans les deux premières parties de ce chapitre de la Grande Bibliothèque Royale et du Grand Temple Mnibétain Nyima. Nous pouvons dire plusieurs choses sur ces deux monuments culturels :

Tout d'abord, ils ne font qu'un car une grande partie de Nyima est dédiée à la connaissance nationale et universelle. Nyima fut érigé à partir de 953, ou 1318 sur le calendrier bouddhinste, dans la capitale par les Bouddhinstes, et est devenu vite un lieu de rencontres, à l'image d'un lieu de pélerinage où les plus grands sages Bouddhinstes se cotoient et font part à leurs disciples de leurs réflexions.

L'Outamaraya Mnibétain Dhadul, dit "le conquérant", décida à partir de 1072, ou 1432 sur le calendrier bouddhinste, (la construction prit quelques décennies) d'agrandir Nyima afin de construire en son coeur la Grande Bibliothèque Royale qui a permit de rassembler de nombreux textes Mnibétains, ayant aussi bien traits à la philosophie Bouddhinste qu'à l'astrologie, aux sciences mathématiques ou physiques, ou à l'histoire nationale.

L'agrandissement du batiment permit alors aux Bouddhinstes d'avoir accés aux textes philosophiques des plus grands penseurs des siècles précédents, et ce monument est considéré au Mnibet comme une merveille culturelle de ce monde.

Nous pouvons apercevoir des bandes attachés à des fils, flottant dans les airs au-dessus du vide. Ce sont les Rigzins, ou les "pleins de connaissances". Ces Rigzins sont des copies des plus importants documents présents à la bibliothèque, et ils représentent ainsi la dispersion des connaissances à travers le monde et à la vue de tous, portées par les vents.




Chapitre I-5 : le Calendrier Bouddhinste

L'année zéro du calendrier Bouddhinste est l'année de la mort de Lama Choedaar, ou Du Namdak, en 365 avant notre ère, d'aprés le calendrier utilisé par les non-Bouddhinstes.

Les Bouddhinstes possèdent douze mois dans leur année, calculés en fonction du cycle lunaire, et répartis en quatres saisons, en fonction du climat. Le nom de la saison correspond au nom du premier mois de cette saison (en gras ci-dessus).

janvier : ARUNA
février : KAVITA
mars : INDRA
avril : VASSANT
mai : KAMAL
juin : NALINI
juillet : JIVAN
août : NYIMA
septembre : BAKULA
octobre : INDRA
novembre : RAJNI
décembre : YAMINI




Chapitre II-1 : L'étude

Au Mnibet, les disciples Bouddhinstes sont considérés par les populations comme des Namdak Jigme Khedup, les braves esprits ouverts de l'Eveillé. La méditation et la convivialité sont au centre de leurs pratiques, et souvent les disciples quittaient quelques années leurs Maitres philosophiques pour parcourir le monde afin de mieux connaitre l'Homme et la Terre, mais aussi les connaissances propres aux nombreux peuples tout en propageant la pensée Bouddhinste.

Les disciples Bouddhinstes vagabonds sont ainsi à la recherche du Rita, la vérité, et du Khenrab, la connaissance et la sagesse, qui leur permettront d'accéder à la médidation transcendantale et à l'Eveil. Souvent trés bien accueillis et respectés par les populations, ils sont appelés à régler les conflits avec la sagesse qui leur est propre et à enseigner leurs connaissances.

Les Bouddhinstes ont également comme particularités de manger trés peu, et de ne boire jamais d'alcool. Leur nourriture est souvent végétarienne, et ne mangent que la nourriture qu'ils chassent ou cultivent, ou qu'on leur offre, pensant que la nourriture est une offre de la Nature est que celle-ci ne doit pas être commercée, tandis que la consommation de viande se réduit au stricte minimum vital par respect de la vie.
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MessageSujet: Re: Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI   Philosophie Bouddhinste : Chapitres I à VI EmptyVen 17 Nov - 6:21

J'encourage les Belondaurs à exercer leur curiosité en me posant des questions sur les textes Bouddhinstes actuellement publiés (en donnant une référence sur un chapitre ou une partie de chapitre), ou sur des sujets qui ne sont pas -encore- mis en texte.
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