Grève à l'Université d'Ecosient

Nombre de messages : 77 Age : 84 Date d'inscription : 13/02/2007

Alors que cette université était plus conservatrice, nabelniste et libérale que les autres, celle-ci aussi faisait grève. Sur les 39 000 étudiants du campus, plus de 20 000 faisaient grève... même des nabelnistes et des libéraux !
Mais seul l'UEB comme syndicat étudiant avait appelé à la grève...
Néanmoins, l'atmosphère restait bon enfant, et on attendait les grandes décisions qui ne manqueraient pas de venir à l'évidence, à la suite des évènements.
Aujourd'hui, ils avaient décidé de rester sur les lieux, tous, malgré l'heure tardive...

Alors qu'ils occupaient leur campus universitaire depuis 24 heures sans discontinuer, les 30 000 étudiants et professeurs grévistes reçurent un message de soutien du Président du Parti Social-Démocrate, le Vicomte Dilomen-Pratrique Garenberd de Razard, quelques minutes avant d'être reçu sur MSF, qui les appelaient à mobiliser lycéens et étudiants des écoles supérieurs privées pour faire grève et manifester...
Le Président du PDS savait le monde universitaire et éducatif généralement fidèle aux idées social-démocrate et socialistes.

Ludovicus de Fontenay était effaré de voir que le Gouvernement ne donnait pas l'ordre de dispersion des manifestants libertaires et anarchisants... "Quand donc le Gouvernement virera-t-il cette racaille composée de vermine", se disait-il avec lassitude.
"Décidément, seul un pouvoir fort, absolu et sans politiciens véreux peut nous sauver".

Le Vicomte de Razard était revenu tard dans la soirée ici...
Les étudiants, hormis le droit du MAP à participer au second tour des élections législatives, finissaient par avoir d'autres revendications : l'augmentation du nombre de professeurs, l'investissement plus fort de l'État dans les universités et les campus, la création de nouvelles université pour désengager les anciennes, et le droit à un chèque-nourriture et un chèque-alimentation pour se nourrir et se loger...
Enfin, solidaires des ouvriers, ils réclamaient une hausse du pouvoir d'achat... même si les étudiants plus libéraux étaient plus frileux sur le sujet.

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