Discours publiques

Le Vice-président de l'Union des Démocrates Belondaures se présenta devant les journalistes, il ne semblait pas très heureux.

- "Mesdames, Messieurs, les journalistes,

Je vous ai invité aujourd'hui pour vous faire part de mon mécontentement quant au comportement de notre Président du Sénat, le Duc François d'Ecosient.

Cette personne qui devrait normalement par son statut ne privilégier aucun texte proposer au Sénat, a commis une erreur, et ce n'est pas la première fois.

L'UDB essaie depuis quelques temps de relancer les débats sur des textes proposé il y a plusieurs semaines voire même plusieurs mois.
De plus il ne prend pas en considération tous les mouvements présents au Sénat. Nous n'avons pas pu voter à la dernière proposition de Son Altesse Impériale.

Nous ne pensons pas que le Duc François d'Ecosient n'est plus capable d'assumer son rôle de Président du Séant. N'arrivant pas à séparer sa fonction de Président su Sénat et celle de Président du PSM. Nous demandons sa démission."

Comme à son habitude, le Vice-Président, aimer bien son rôle de porte parole de l'UDB… aussi il vient devant les journalistes en ce jour.

- Mesdames, Messieurs les journalistes.

L'Union des Démocrates Belondaures, bien que déçut de ne pas voir son candidats à la Présidence du Sénat remporter l'élection, souhaite féliciter et encourager Monsieur le Vi-Comte de Carabas. En espérant que ce dernier sera être impartial et se mettra a la tache au plus vite.

Il commença à partir quant il ajouta.

- De toute façon ca sera toujours mieux que le précédent.

Le Vice-Président fut tout d'abord surpris, peut être pensait-il que sont micro était éteint. Puis se mit à sourire…

Comme a son habitude, le Président, arriva souriant.

- Mesdames, Messieurs les journalistes.

Il faut avouer que je ne pensai pas vous revoir de si tôt. Mais le gouvernement nous réserve quelques surprises.

Puis, il se ressaisit, regarda rapidement sa feuille, et prononça son discours.

- Le Gouvernement PSM du Belondor vient de refuser de reconnaitre le Royaume du Mnibet.

Le Royaume du Mnibet est une nation, au même titre que la Russlavie, le Silverland, le Loquetas et bien d'autre encore... même le Belondor. Refuser de reconnaitre un pays, c’est se replier sur soi même. Chose terrible pour ce que Sa Majesté s'obstinent encore à appeler « démocratie ».

Pensez au peuple du Mnibet, pensez à toutes ces personnes. Que vont-elles penser lorsqu’elles vont connaitre la décision de notre Consul. Croyez-Vous, Votre Majesté ? Monsieur le Consul ? Que ce peuple va avoir une bonne opinion de la Démocratie ? Que ce peuple aura un jour envie de changer ? Je ne le pense pas.

Et puis qui sommes nous pour donner des leçons, de religion, de droits humains. Vous les critiquez car ils applique la peine de mort, mais il y a encore quelques mois nous l’appliquions également. Vous les critiquez pour l’enseignement Bouddhinsme, mais nous avons une politique favorisant les citoyens Syistes.

Je suis, et je serais toujours contre cette politique. Je la combattrais toujours.
Et même si je ne suis pas d’accord avec la politique du Mnibet, nous ne pouvons, ni ne devons procéder de la sorte. Je désigne comme responsable le PSM, qui commet de plus en plus d’erreur grave, portant atteinte à l’Empire.

Après un temps d’arrêt. Il continua, a la grande surprise des journalistes, car la suite n’était pas sur le discours remis a la presse.

- Aujourd’hui je rejoindrais Son Eminence Chaitanya Chinmay dans sa manifestation pacifique contre ce gouvernement, contre cette politique. Et j’invite tous les citoyens à le rejoindre.

Lettre remis a la Presse.

Citation :

Malgrès le recent decret de Sa Majesté Impériale, l'Empereur du Belondor, nous, directions du Parti Social-Travailliste, parti politique fortement engagée a la défense des droits les plus fondamentaus, comme la liberté de pensée, et la liberté de réunion.
Avons décidé de maintenir notre soutient aux Mnibetains.
Précisant, que le PST ne soutient pas la politique du Royaume du Mnibet, mais condamne fermement, la politique étrangère de l'Empereur du Belondor, et donc la politique du PSM.

La direction du PST.
Par son Président,
Adalbert de Talleyrand.

Lettre remis à la Presse

Citation :

Suite aux décisions du Consul des Affaires Etrangères, du
soutient de Sa Majesté, et du désintéressement total des membres du Gouvernement.
Le PST prévoit de censurer le Gouvernement.

la direction du PST,
Par son Président,
Adalbert de Talleyrand-Braserel.

Citation :

Communiqué du parti Social Travailliste.

Sa Majesté a décidé d’intervenir par deux communiqué consécutif, pour condamne un article d’un journal. Or le fait que notre cher Empereur préfère se soucier de son image plutôt que du sort réservé aux ismarkais soumis a des parades militaires, arrestations abusive, et attaques à la bombe nucléaire, ces deux communiqués sont de graves atteintes à la démocratie belondaure.

L’Empereur remet en cause une constitution approuvée à une large majorité par le peuple. Nous déclare que l’on est dans un régime judiciaire, mais selon cette même constitution, ce n’est en aucun cas, la pouvoir judiciaire qui met en place le premier consul et son équipe gouvernementale.

Que si celle-ci est constitué, comme la si bien expliquer notre chef d’état, par la majorité sénatoriales, cela n’a en aucun cas déranger Sa Majesté de nommer Monsieur Nérym, contre l’avis même de la majorité.

Et si la majorité élue applique son seul programme, pourquoi Sa Majesté possède-t-elle le droit de nommer les consuls, et de présider le Conseil de l’Empire.

L’Empereur dépasse de loin ses fonctions. Il serait bon que Sa Majesté porte plus d’intérêt à l’incompétence de l’un de ses Consul, aux problèmes des provinces, à nos ressortissants du Mnibet, avant de nous bombarder de communiqués totalement inintéressants, portant sur l’avis de Sa Majesté concernant un morceau d’article de journal.


la direction du PST,
Par son Président,
Adalbert de Talleyrand-Braserel.

Citation :

Communiqué du Parti Social Travailliste.

Le Président a décidé de mettre fin a son mandat au sein du PST. Le vice président sera donc chargé de fixer les prochaines dates des élections pour la Présidence du PST.

Le Sénateur de Braserel, a décidé de remettre sa déission au peuples belondaures. Le Vice-Président aura la charge de lui trouvé un remplacant.

Le membre Adalbert de Talleyrand-Braserel, a décidé de quitter le PST. Le Vice-Président aura la charge de lui supprimer ses droits.


La direction du PST.

Citation :

Communiqué du Parti Social Travailliste.

Le vice président, Olivius LeFactus décide de suprimer tout les droits associés au role de président du PST à Adalbert de Talleyrand.

Le vice président, Olivius LeFactus décide de quitter le PST et invite tous les membres à le suivre pour un rassemblement politique plus large.

Le vice président, Olivius LeFactus quitte donc toutes ses fonctions au sein du PST et invite tous les membres de celui ci à rejoindre le MSP, nouveau parti, de rassemblement, la nouvelle force politique du Belondor.