Depuis bientôt une semaine, le pays d’Alaïenie fur bouleversé par les grondements du peuple mourant de faim. Cette situation avait donné naissance à un nouveau mouvement politique, le Parti Fédéraliste qui s’avait donné le but de finir avec la misère et redonner à l’Alaïenie un gouvernement digne de ce nom. N’ayant rien d’illégal, il fut inscrit dans le Ministère de l’Intérieur. Ce parti était naît de l’idée de la classe intellectuelle d’Alaïenie qui comme jamais œuvra pour renverser le gouvernement incapable en place et rétablir un, qui pouvait faire face à la situation actuelle. Le Parti connu un succès foudroyant, les gens s’inscrivaient en masse, donnant chaque fois plus de poids à un parti qui ne fut même pas dans le Parlement. Dans la campagne, les maires devaient démissionner sous la pression des adhérents du parti, faisant place à des maires issue du Parti Fédéraliste qui jouissant de la pleine légitimité œuvra pour faire évoluer l’Alaïenie. Partant de la campagne, le parti s’étendit aussi dans les villes faisant trembler leurs administrations. La monté au pouvoir des fédéralistes faisait donc que les manifestations étant au début désordonnés, se faisaient chaque fois plus organisées, avec plus de gens et sous la bannière du Parti Fédéraliste. On commençait donc dans les rues à crier la démission du gouvernement, de l’abdication de la Reine et au pain et à l’emploi car les gens ne pouvaient plus. Les manifestations les moins matérialistes criaient en plus à l’élaboration d’un Protectorat avec le Belondor, pour mettre fin à ce statut d’état vassal qui déplaisait tout le monde.
La monarchie belondaure avait faillit à sa mission, le peuple fut laissé aux loups et les spectres de la misère. Jamais une dynastie n’avait rendu un compte-rendu aussi noir. Il fut donc temps qu’elle parte car le peuple voulait à nouveau être dirigé par les siens qui même au détriment de leurs défauts avaient toujours su leur garantir pain et emploi. La Reine, jadis nommé la Reine Soleil, fut aujourd’hui la Sorcière de Copentargen, suçant à travers les taxes le dernier sang d’un peuple mourant. C’est ainsi donc que le gouvernement et la Reine ne réagissant pas, un groupe de femmes prit l’initiative d’aller au Palais Nabelnine Ier, armé de fourches et pistolets et en masse de centaines elles entamaient la longue marche vers le Palais. Arrivé à celui-ci, elles entouraient le bâtiment criant en tant que créatrice de vie, au pain et exigeant que la reine sorte et fasse face à son peuple pour qu’elle aille avec eux, mères de familles, vers la capitale pour que le peuple ait justice. Ne sortant pas, les femmes criaient à l’abdication. Ceci dura un temps jusqu’à que d’avtange de citoyens se joignaient à eux, cette fois aussi des hommes, pour protester ensemble devant le Palais et exiger que la Reine se rende.
La situation devenait chaque fois plus ardente. C’est ainsi donc que le Parlement dû se rendre à l’évidence et rejoindre la cause du peuple. Tous les partis, de quelle direction soient, voyaient que sans une union nationale, la situation allaient tourner en guerre civile. Le Parlement rejoignant donc le peuple, le principal pilier du gouvernement fut ainsi enfin brisé. La nation uni, un nouveau parlement fut nommé, principalement venant du Parti Fédéraliste. Le Parlement, doté du soutien du peuple décréta l’importation immédiate de nourriture depuis les pays voisins, pour ainsi faire face à la crise alimentaire. Ceci fait, les réformes économiques se suivaient un après l’autre pour faire face à la crise industrielle.
La crise prenait ainsi un nouveau cours, la noblesse et l’église, tous les deux maltraités par la Royauté belondaure s’allier également au nouveau Parlement espérant d’enfin se libérer d’un Monarque refusant de reconnaitre leurs titres et leur indépendance. La Reine fut toujours prisonnière du peuple, mais à vrai dire, le Parlement s’enficha de son sort. On envoya juste la police pour garantir que le Palais ne fut pas pris d’assaut et ainsi permettre que la Reine ne tombe pas en main du peuple. Son sort étant déjà scellé, elle n’avait pas à mourir en main de ceux qu’elle avaient rendu à l’état le plus grave de la misère.