Loi sur le service médical & sur l'éducation

Shingen Ito joignait le sénat pour apporter à l'assemblée les projets d''amélioration sur l'éducation et le service médical . Le but de ces deux projets de loi étaient d'assurer dans l'empire et ses colonies à jamais un service éducative et médical adapté. Shingen ito esperait très fort que le sénat accepte ces deux lois:

Citation :

Loi sur le service médical

Article I : Toute agglomération supérieure à dix-milles individus sera obligée d’assurer la présence d’au moins un hôpital général opérationnel dans ses enceintes. En plus les dites agglomérations seront aussi obliger de garantir au moins un hôpital général pour chaque cent milles habitants en plus dans leurs enceintes

Article II : Chaque hôpital construit sous ses consignes devra être capable d’abriter tout malade égal quelle maladie il possède et aussi pouvoir faire face à une épidémie régional. Le transport des malades devra être assurer par les hôpitaux.

Citation :

Loi sur l’éducation

Article I : Pour combattre le fléau qu’est l’analphabétisme les grandes villes de l’empire et des colonies auront le devoir de construire et maintenir plusieurs centres d’éducation pour adultes. Ceci devra permettre aux personnes majeurs illettrés d’apprendre gratuitement à lire et écrire. Ces centres devront êtres financés par les villes avec l’aide de l’état.

Article II : Chaque commune de plus de cinq-cent personnes aura le devoir de construire assez d’écoles primaires pour accueillir les enfants de sa localité. Chaque commune de plus de cinq-cents habitants à l’obligation de construire au moins une école primaire. En cas de manque de fonds ou revenus trop faibles de la localité l’état aura l’obligation de soutenir financièrement la commune en question.

Article III : Chaque localité de plus de dix-milles habitants aura le devoir de construire suffisant de lycée pour permettre d’accueillir les étudiants de sa localité ainsi que des environnements. En cas d’incapacité de parvenir financièrement à la construction des dites bâtiments la localité pourra demander auprès l’état une aide financière.

Le président du Sénat lu la proposition de loi comme tout le monde. Ensuite il prit le micro.

- "Messieurs les Sénateurs, Mesdames c'est a vous."

Ségolaine Royel était toute souriante et riante avec certains de ses collègues du Mouvement Social-Porgressiste. Puis, s'asseyant sur sa place habituelle, elle vit que l'on lui avait remis une nouvelle proposition de loi - une de plus. Celle-ci paraissait toutefois intéressante quand on vit son but à dominante sociale. Mais elle fut rapidement déçue en lisant le texte. En discutant avec le jeune sénateur du MSP (ex-PST), Luckiel Beronine, celui-ci décida d'intervenir :

- Excusez-moi Monsieur le Président mais je souhaiterai obtenir la parole... En effet, je pense qu'il est temps que j'intervienne. Tout d'abord, on nous parle d'analphabétisme dans les villes de l'Empire et des colonies. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il n'existe pas d'analphabètes au Belondor, mais chacun sait que si le régime merksiste-luniniste a eu un mérite, c'est bien celui de l'Instruction Publique. Ensuite, votre... loi, propose des systèmes sanitaires au-dessus de dix milles habitants, mais vous êtes en retard d'un siècle. Notre pays est bien foruni en médecins, suffisament pour que nous ayions des systèmes de santé dans les villes inférieures à mille ou deux milles habitants.
Concernant l'Instruction Publique, car je rappelle qu'au Belondor il s'agit d'Instruction Publique, je ne ferais que trois reproches : le fait que l'on ne parle pas des collèges, que ce soit les villes qui doivent financer la construction alors que ce serait à l'Etat de le faire et enfin qu'une nouvelle foi vous ayiez un siècle de retard. Cette loi s'adresse à un pays en voie de développement ce que nous ne sommes pas. Je propose donc que celle-ci subissent des amendements et qu'elle ne concerne que les colonies. Car appliquer cette loi en Métropole reviendrait à un bond en arrière de plus de cinquante ans...

Le jeune sénateur fut chaleureusement applaudi par tout son Mouvement et ses collègues.

La dame ayant fait son petit discours, Shingen faisait grâce de répondre à cette jeune femme :

- Mademoiselle, je comprend certes, que vous êtes convaincue de la modernité mais il vous manque avec une grande probabilité la maturité et le don de prévoir à long terme ce qui en vue de votre jeunesse est compréhensible. Cette « loi » comme vous faite sous-entendre ne veut pas mettre à jour notre système médical et éducative mais de poser les fondements pour assurer que nos deux systèmes soient toujours à jour. J’avoue que cette loi à était dans son but initial prévu pour les colonies mais je pense qu’une réglementation basique comme vous avait fait entendre est nécessaire même à la Métropole. Une réglementation qui même si inutile en premier vue assura que notre niveau médical reste à jour. Au mieux dire son réseau de service car il faut bien avouer que certaines régions de la Métropole sont dans un piètre état niveau médical et éducative et que cette loi arriéré comme vous dites sera un grand facteur d’amélioration. En plus doivent je vous dire qu’une grande partie des administrateurs locaux n’a pas les capacités pour administrer correctement leurs villes ce qui en cours veut dire qu’il leur faut des instructions claires comme cette loi qui leur disent quoi faire et combien d’hôpitaux il leurs faut. Cette loi assure un minimum de service et aussi une adaptation à une croissance démographique en permettant aux maires peu habitués à administrer ces deux domaines à prendre les bonnes décisions en se basant sur cette loi. Cette loi assura aux colonies et villes administrés par des maires moins talentueux d’avoir le service minimal.

Le jeune sénateur, surpris de se faire insulter de mademoiselle, répondit au sénateur Ito :

- Monsieur Ito, j'accepte que vous ayiez une conviction différente à la mienne. Mais je m'appelle Luckiel Beronine, et je suis un homme.
Maintenant, jele répète la situation éducative et sanitaire en Métropole bien que perfectible est largement meilleure au tableau que vous décrivez et je m'oppose à une loi qui rabaisserait le niveau en Métropole et les exigences. Par contre, il est évident que nous devons tout faire pour améliorer la situation dans les colonies... et que cette loi d'un point de vue colonial, va dans le bon sens. Ce qui n'est pas le cas pour la Métropole car nulle part, il n'y a de régions aussi pauvres que l'Ismarkie ou l'Alaïenie en Métropole.

Shingen Ito qui réconnu ce jeune homme lui répondit:

-Ah oui, je vous réconnait! Veuillez me pardonner mais étant donner que vous et mademoiselle pousser la même tête je vous ait pas pu bien distintre. Il est vrai que les distances qui nous séparent dans le sénat ne sont pas favorables à une bonne vue sur l'autre bord.

Shingen continuait:

- Mais étant donner que vous êtes une personne intelligente et pas une personne souffrant d'un besoin urgent de se faire remarquer je suis totalement d'accord savec votre position. Vous avait certainement raison sur le fait que cette loi sera plus apte pour les colonies comme vous avait eu la gentilesse de nous démontrer.

Il s'arrêait donc soudainement et dit:

- Mais Monsieur Beronine expliquer moi juste qu'est-ce que vous envisager de faire avec l'Ardanie et l'Eslagne qui eux n'on pas eu la chance de profiter d'un système médical et éducative comme le reste de l'empire belondaure? Car doivent je vous faire remarquer que le niveau éducative et médical en Ardanie et Eslagne sont loin d'être suffisants. Je pense que comme gouverneur de l'Ardanie et ex-gouverneur de l'Eslagne je suis bien placé pour vous dire que les deux systèmes sont en Eslagne et Ardanie en rétard de mes cinquantes ans. Remarquer aussi que très bientôt avec une grande probablité ces deux provinces feront partie de l'empire.

Il finissait donc:

-Donnez à ceux qui on étaient élus par le peuple pour le peuple une proposition claire et acceptable autre que mon projet de lois et je vous serait reconnaissant

Les débats étaient puérils, un vieux sénateur, se leva et pris la parole:

Pourquoi s'en faire pour si peu? Ces discussions sont inutiles ! Si les niveau de dévellopement sont deja atteind, et personne n'en doute ici, en métropole, en quoi le fait que ce soit indiqué est un soucis ? Puisque c'est deja atteind, pourquoi perdre son temps, et empecher les colonies de bénéficier de cette loi, qui elle n'ont pas toujours atteind ce cotat? Ce ne sera qu'une limite que la métropole devra toujours dépasser... Ces lois sont de qualités et nous félicitions le sénateur Ito.

Le sénateur Beronine ne s'en laissait pas démonter, persuadé qu'un jour ou l'autre un Gouvernement userait de cette loi pour démonter le système éducatif en cas de problèmes financiers et budgétaires de l'Etat. Répondant au Sieur Ito, il lui dit :

- Très bien, Monsiur le Préfet et sénateur Ito, laissez-moi un ou deux jours et je vous propose une nouvelle loi convenant aux provinces militaires - dont j'ai toujours dit qu'il était trop tôt pour les intégrer à l'Empire - et les colonies. Je pense pouvoir améliorer votre travail, bien que celui-ci soit déjà empreint d'un esprit qui vous est tout à fait louable malgré ses faiblesses.

Shingen Ito ayant entendu l’opinion de Lefactus dit :

-Très bien, je pense à cette heure aussi que cette loi n'a plus sa place dans la Métropole. Pour ceci je propose d’en apporter les suivantes modifications nécessaires qui résoudrant le problème en rendant ces lois seulement valables pour les colonies:

Se tournant vers le jeune homme il lui dit:

- Ma réponse est non. Je vous encourage de faire une belle loi sur les deux systèmes pour les Provinces Militaires et de la proposer dans un autre débat. Pour les colonies je propose de modifier la loi proposé par ma personne et de l'améliorer ici jusqu'à quelle soit convenable. Ceci est plus facile.

Citation :

Loi sur le service médical des colonies

Article I : Toute agglomération supérieure à dix-milles individus sera obligée d’assurer la présence d’au moins un hôpital général opérationnel dans ses enceintes. En plus les dites agglomérations seront aussi obliger de garantir au moins un hôpital général pour chaque cent milles habitants en plus dans leurs enceintes

Article II : Chaque hôpital construit sous ses consignes devra être capable d’abriter tout malade égal quelle maladie il possède et aussi pouvoir faire face à une épidémie régional. Le transport des malades devra être assurer par les hôpitaux.

Citation :

Loi sur l’éducation des colonies

Article I : Pour combattre le fléau qu’est l’analphabétisme les grandes villes des colonies auront le devoir de construire et maintenir plusieurs centres d’éducation pour adultes avec l’aide de l’état. Ceci devra permettre aux personnes majeurs illettrés d’apprendre gratuitement à lire et écrire. Ces centres devront êtres maintenus avec l’aide de l’état.

Article II : Chaque commune de plus de cinq-cent personnes aura le devoir de construire assez d’écoles primaires pour accueillir les enfants de sa localité. Chaque commune de plus de cinq-cents habitants à l’obligation de construire au moins une école primaire. En cas de manque de fonds ou revenus trop faibles de la localité l’état aura l’obligation de soutenir financièrement la commune en question.

Article III : Chaque localité de plus de dix-milles habitants aura le devoir de construire suffisant de lycée pour permettre d’accueillir les étudiants de sa localité ainsi que des environnements. En cas d’incapacité de parvenir financièrement à la construction des dites bâtiments la localité pourra demander auprès l’état une aide financière.

Très silencieuse depuis le début des débats sur la proposition de loi concernant l'écducation et le service public, Ségolaine Royel, se porta "au secours" de son ami et camarade du Mouvement Social-Progressiste, et vint dire au sénateur Ito :

- En effet, vous avez sûrement raison sénateur Ito... Mais, je pense qu'il serait bon de rajouter quelque chose sur les collèges, car n'oublions pas qu'entre l'école primaire et le lycée il y a le collèe et qu'il faut pouvoir instruire nos écoliers durant cette période. Concernant le service médical, maintenant qu'il ne s'agit que des colonies je n'aiplus rien à dire. Enfin, vous allez me trouver tatillone, mais l'Académie belondaure l'a encore rappellé, au Belondor, l'Education ne concerne que les parents tandis que l'Instruction Publique est du domaine de l'école... (rires) Mais ce n'est qu'un problème de terminologie facilement rectifiable. En tout les cas, félicitations sénateur pour votre loi.