Profitant de l'absence de ses hommes, l'officier en profita pour aller à l'entrepôt ou sont conditionnés et stockés la plupart du matériel du bataillon. Il y avait une petite porte dont seul le commandant en avait la clé, c'était une habitude, Gatline allait s'enfermait dans cette pièce des heures entières. Aucun de ses soldats n'a jamais vraiment voulue savoir ce qu'il y faisait.
Le militaire ouvrit la porte de cette pièce et s'y enferma. Il alluma une bougie presque épuiser par des heures d'éclairement. La lumière, révélait ainsi, une petite pièce sans ouverture sur l'extérieur, à par un petit grillage pour l'aération, il y avait un bureau de taille modeste, une chaise ainsi qu'une étagère métallique, sur la quelle était poser des feuilles, des plans, ainsi que des pièces détachés d'armes à feu et autres. Sur le bureau, il y avait une carabine désosser de bout en bout, de la crosse jusqu'au système de mise à feu. Elle semblait trafiquer depuis des lustres mais bien entretenue. Gatline, sortit un plan de l'étagère, et la déroula sur son plan de travail. Deux ans de recherches et de dure labeur, c'était le moment de vérité. Selon les indications fournies par sa propre écriture sur cette feuille. Gatline réparât l'arme, comme si il sortait de la manufacture, à un détail près, le système de mise à feu classique à était remplacer, et pas qu'un peut puisqu'il s'agissait d'un nouveau procédé. Même les munitions ont était refaites pour le coup, le projectile et la poudre, charger dans l'arme, en un seul mouvement. Selon les calculs, la cadence de tir s'en retrouverait multiplier par six !
Edorel, sorti de l'entrepôt, la fameuse carabine en main.
Il alla au stand de tir, quelques soldats s'y entrainer. Gatline en profita pour chercher une cuirasse. Ceci fait, il alla la placer sur une cible à bonne distance. L'officier se plaça ensuite à un stand, à environ trois-cents mètres de la cible cuirassé, soit une centaine de mètres de plus que la porté maximal d'un fusil classique pour percer une cuirasse. Il chargea l'arme avec une munition peu orthodoxe pour les soldats qui se trouvait ici, elle consistait en un petit cylindre surmonté d'un autre petit cylindre, finissant en point celui-ci. Gatline le plaça dans un petit compartimant dans l'arme, le referma, il visa puis il pressa la gachètte. La détonation fût forte et un bruit de métal se fit entendre. Le commandant alla voir la cible. La cuirasse avait était percer et il pouvait y glisser le majeur sans problème. Ceci vérifier, il chercha dans la cible de paille, le projectile, qui ne tarda pas à retrouver, il avait était aplatie, surement à cause du choc avec la cuirasse, mais le commandant était pleinement satisfait de son oeuvre. Il ne lui restait plus qu'une chose importante à faire et le monde entrera dans une nouvelle ère.