L'Empire du Belondor
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Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 Demeure du Duc de Varsalance

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MessageSujet: Demeure du Duc de Varsalance   Demeure du Duc de Varsalance EmptyMer 3 Sep - 7:23

Dans la ravissante demeure située aux abords de la cité de Varsalance, le Duc et son épouse avaient trouvés un repos bien mérités après une longue semaine d’activité. Buvotant le café sur la terrasse donnant aux magnifiques jardins du Palais, le Duc lisait le Monde Impérial accompagné par sa femme qui s’adonnait à la lecture de Guerre et Paix, un ouvrage écrit par un certain Shilven Kane. Il fallait dire que le seul bruit perceptible dans ce lieu fut celui des moineaux et des hirondelles qui chantaient sans aucune vergogne à travers les arbustes, les rosiers et les haies ainsi que dans les cieux. Malheureusement cette harmonie était vouée à être brisée car un des nombreux domestiques œuvrant habituellement dans le salon parvenait sur la terrasse avec dans sa main droite une copie du message écrit par le Duc d’Origodes. S’inclinant vers le Duc, qui baissa son journal pour pouvoir voir qui fut l’auteur de cette soudaine interruption de sa lecture fut répondu à son regard inquisiteur par le domestique.

« Sire, le Duc d’Origodes à fait parvenir aux Grands Maisons et à la plèbe ce message. Nous pensons que Son Altesse ferait bien d’y jeter son regard dans cette déclaration forte importante. »

Fortement surpris qu’on lui prononce le nom d’un homme qu’il cru s’avoir libéré une fois pour toute il remercia le domestique et l’autorisa de retourner à ses tâches. Quand le jeune homme fut plus loin, il mit son journal définitivement de côté et ouvrit la lettre pour la lire. Soudainement après que le Duc ait parcouru les premières lignes du message un grand rire échappa de sa gorge. Le Duchesse, ayant tentée vainement de faire abstraction de tout en se plongeant d’avantage dans sa lecture, fut fortement surprise par le soudain rire de son mari. C’est pour cette raison qu’elle lui demanda inquiète.

« Mon cher époux, qu’est-ce que vous fait rire de telle manière ? Je dois m’avouer inquiète de telle gaieté. »

Le rire du Duc cessa et celui-ci se tourna vers son épouse pour lui répliquer.

« Très chère, la cause de mes rires sont au fond de nulle importance. Mais par amour à vous, je vous ferez confession de celles-ci. Comme vous ignorez bien sûr, le Duc d’Origodes, que tout le monde cru trépassé depuis fort longtemps, est réapparu et nous à fait honneur de cette déclaration que je tiens dans ma main offrant à toute la nation ses pardons ducaux. Naturellement, ceci n’est point la vraie cause de mes rires mais son allusion à sa haute naissance qui de toutes les stupidités qu’il à jamais prononcé est la plus grande. Croit-t-il vraiment que le peuple se laissera duper par un homme dont les titres sont dus qu’à une manœuvre politique le dépassant et qui su jamais se rendre digne de ce que l’Empereur l’offrit ? Ce rat sortit des égouts de la Cocosie, pourra clamer aussi fort qu’il désire d’être naît dans des couches de soie, tant que je vivrai je le ferais bien mémoire de quelle basse naissance il est et surtout de ses origines étrangers. Car moi pour ma part, jamais j’ai caché mes bien-aimés parents qui labouraient d’une manière exemplaire pour nourrir mes frères et moi. Que mes parents soient paysans au contraire est devenu pour moi la plus grande fierté car leur travail acharné sur les champs m’a permit de devenir ce que je suis aujourd’hui. Cet homme désire qu’on le pardonne ? Qu’il apprenne déjà à cessé de se déclarer de haute naissance quand ceci n’est point le cas. »

La Duchesse, forte amusée par cette déclaration, lui répondit désirant de continuer de lire.

« Mon tendre époux, vos dites vrais, mais pour quelle raison perdre de notre temps avec un tel homme ? Laissez-le vivre et vous verrez que dans quelques semaines, il sera à nouveau disparu comme il le fut toujours le cas. »

Le Duc sourit et en approbation prit de nouveau son journal pour continuer de le lire suivant ainsi le sage conseil de son épouse. La Duchesse pour sa part, forte heureuse d’avoir à nouveau le calme, reprit son livre et continua également sa lecture.
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Etzel de Varsalance
Parti impérial démocrate
Etzel de Varsalance


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MessageSujet: Re: Demeure du Duc de Varsalance   Demeure du Duc de Varsalance EmptyDim 5 Oct - 20:47

Entrée du Palais Aranjuez, Varsalance


«Mon Dieu, ceci est tout à fait intolérable!»

S’exclama Philippe Garen, Conseiller des Œuvres du Duc. Celui-ci tenait dans sa main une copie de l’Ordonnance que le Premier Consul avait fait établir et devant lui se tenait le directeur de la rédaction du Chevalier de Sainte-Hélène qui l’avait raconté l’aventure de la nuit précédente. Le Conseiller était hors de soi, comment avaient-t-ils pu oser s’attaquer à un journal ardanien en pleine nuit avant même l’établissement de cette Ordonnances qui montrait la démence du nouveau Premier Consul! Il dit furieux au directeur.

«Mon ami, retournez auprès vos hommes et sachez que vous n’avez rien à craindre, le Duc protège à l’égal de son grand-père la liberté de presse et ce n’est pas un Premier Consul qui fera la loi en Ardanie, ceci je vous assure.»

Le directeur rassuré même si toujours méfiant quitta donc le Conseiller qui se dirigea à son tour vers l’intérieur du Palais pour joindre le Duc. Passant à travers l’Hall d’entrée il alla auprès du Duc qui se tenait avec deux jeunes aristocrates auprès le Grand Escalier. Encore sous l’emprise de la colère il parla au Duc.

«Altesse, veuillez m’excusez de vous perturber à cette heure-ci mais j’ai des nouvelles graves. Le Premier Consul à décrété l’interdiction de critique envers l’Etat et la Régime et procéder même avant la validation du décret à des menaces auprès la rédaction du journal le Chevalier de Sainte-Hélène. Si vous permettez de commenter ceci, je trouve que ceci est très grave.»

Le Duc totalement surpris par entendre ceci, jeta un regard sur le papier que tenait le Conseiller toujours et pu voir l’Ordonnance. Très inquiet il salua les deux jeunes femmes et les demanda d’aller l’attendre dans le Salon des Fresques pour se concentrer totalement sur cette affaire. L’heure était vraiment grave, le nouveau Premier Consul fut entra de donner forme au Fascio et cette Ordonnance risquait de ne pas être la dernière. Il répondit ainsi à Garen.

« Oui, ceci est certes extrêmement grave et je pense qu’il faut immédiatement réagir. Nous devons à tout prix protéger nos journaux d l’emprise du nouveau Premier Consul qui s’enfiche totalement du Droit et Devoirs et qui n’hésitera pas d’aller plus loin. Je pense qu’il est inévitable que les journaux libéraux soient prêts à continuer leur combat pour la démocratie dans la clandestinité car le Premier Consul ne s'arrêtera point à ceci et ils doivent être prêts à assumer leur rôle d'organe de dénociation. J’enverrais donc pour cette raison à tous les directeurs de journaux de notre Duché un message privé leur informons que nous soutiendrons leur combat jusqu’au bout. J’enverrais aussi un message au Premier Consul pour dénoncer ces agissements. N’avez point de crainte, mon ami, le Premier Consul est loin d’être omnipotent et je tolérais point des tels agissements. »

Le Duc se tourna soudainement et dit à son secrétaire qui était entra de les rejoindre.

« Ah Jean, vous enfin là. Ceci tombe bien car vous aurez du travail, nous devons ériger quelques lettres au plus vite que possible. Je vous demande donc d’aller au Salon des Fresques ou vous pourrez dire à nos invités que je viens immédiatement.»

Le secrétaire ayant eu l’intention de se faire une petite promenade confirma donc le vœu du Duc et remonta les escaliers pour aller au Salon pas sans prononcer quelques murmures incompréhensibles de désapprobation. Entre temps le Duc s’avait retourné vers son Conseiller pour le dire.

« Je vous remercie de m’avoir informé sur ce sujet. Je vais donc prendre en charge toutes les mesures nécessaires pour régler l’affaire. Entre temps je pense que vous pouvez vous aller avec bonne conscience. Nous nous reverrons cette après-midi ou nous pourrons continuer à parlé sur ceci à côté des affaires courantes du Duché. »
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