Appartements privés d'Iseult du Houssoy-Fryngen

Appartements privés mis grâcieusement à diposition par Son Altesse le duc d'Origodes

(Peut-on mettre ce message en annonce ou en post-it s'il vous plait ?)

Invité

L'on apprit au Duc dans la journée que Madame Iseult-Marie-Jehanne von Pikkendorff du Houssoy-Pryngen, avait pris possessions dans les appartements privés offerts par Antonel. Il décida, à cette occasion, d'écrire une lettre à la jeune femme, en réponse à ses remerciements.

Citation :: Madame,

Il est tout à fait naturel, entre aristrocrates, de s'entraider lorsqu'il en est nécessaire. Sachez que vous pourrez rester ici aussi longtemps qu'il vous plaira. Nous vous convions également au dîner de la famille, qui aura lieu en fin de soirée. Ceci sera une occasion pour nous -je parle de ma fille et de moi même- de mieux nous connaitre.
Espérant vous voir au dîner,
Si vous avez besoin, Madame, de quoi que ce soit, il vous suffira d'appeler un valet. Tous sont dès à présent à votre entière disposition.
Cordialement,
Duc Antonel Chalon d'Origodes

Invité

Quand le soleil était entra d’atteindre son apogée sur la ville d’Origodes, Shingen de Varsalance se levait de la vieille chaise ou il avait lu un journal sur la terrasse d’un petit café. Après avoir laisser un billet de cinq sesterces il se dirigeait vers les appartements de la Lady Iseult du Houssoy-Fryngen en longeant les quais ornés de quelques arbres d’Origodes. L’air était très fraîche et on remarquait que l’automne avait prit possession de l’Empire, des nombreux feuilles mortes montraient les couleurs les plus impressionnantes. Rien semblait indiquer le malheur qui se préparait aux frontières de l’Empire car cette ville sera peut être détruite comme tant d’autres. Il se pouvait même que la moitie que les gens qu’il croissait maintenant sur ces quais seront après la guerre morts ou pleurant ceux qu’ils on perdus. Qui savait ce que le futur préparait aux gens, qui pouvait dire comment la guerre finira.

C’est ainsi qu’après qu’il ait longer les quais qu’il tournait à gauche pour franchir la rue et ainsi se trouver devant le petite immeuble ou la Lady avait prit ses quartiers. Même si elle avait décider de labourer avec les De Origodes qui certes étaient les grands rivaux de la Maison des De Varsalance Shingen pensait que cette réunion pourrait s’avérer comme intéressant. C’est ainsi qu’il montait les escaliers assez modeste pour atteindre l’entrée des appartements et sonner à l’entrée attendant après ceci que la porte soit ouverte.

En entendant le bruit des pas sur le gravier, Iseult alla ouvrir la porte pour accueillir le comte de Varsalance.

- Cher Comte ! Bonjour, ravie de pouvoir enfin mettre un visage sur votre écriture. Entrez s'il vous plait, nous allons nous installer au salon pour partager un apéritif en attendant que le déjeuner soit servi. Désirez vous un muscat de riv-zalth, ou autre chose ?

Invité

Le Comte de Varsalance entra dans le foyer. Il fut habillé d’un costume noir orné d’une cravate rouge avec des rayures brunes foncées. Quand il discerna la Dame du Houssoy-Fryngen il s’inclina légèrement face à elle et en lui faisant un baisemain lui rendu hommage de la suivante manière :

-My Lady, quelle mémorable plaisance de vous rencontrer enfin. Comme je vois vous semblez vous porter au plus grand dans votre nouvelle demeure.

Donnant réponse à la proposition de la Dame du Houssoy-Fryngen il répliqua :

-Je trouve votre pensée très bonne. C’est ainsi que j’accepte avec plaisir votre proposition de prendre l’apéritif en tentant un muscat de riv-zalth.

Iseult appréciait le baise-main du Comte, ce geste courtois se perd de plus en plus de nos jours. D'un geste léger elle fit servir le brevage liquoreux. Le Comte attendit qu'Iseult s'assied pour s'installer à son tour en face d'elle.

Elle commença à discuter en souriant.

- Ce muscat vient de Borée, une petite bourgade au sud de la fédération où les vendanges sont faites aux premières gelées, c'est ce qui lui donne cette couleur ambrée et cette bouche toutes particulières. A notre amitié cher Comte et longue vie à l'Empereur.

Sur ces mots, elle leva son verre et bu une gorgée.

- J'ai bien réfléchie à votre offre mais j'aime travailler sur le long terme et l'impossibilité de pouvoir m'entretenir avec l'actuel directeur de votre gazette m'oblige à décliner votre offre. Je n'aimerais pas qu'on se découvre, lui et moi, à de son retour des divergences nous empéchant de travailler ensemble. Peut-être pourrais-je vous aider dans une autre administration ou être, suivant mes modestes moyens, une de vos conseillères politique ?

Invité

Le Comte prit également une gorgée de cet liqueur qui était pour lui exotique et inconnue. Ceci fait il posa le verre sur la petite table devant lui et répliqua à la Dame avec un petit sourire sur ses lèvres :

-Je n’avais point craint d’autre mais ceci me dérange guère surtout que vous sembler préférer travailler pour les gens du continent.

A sa demande si ses services pouvait lui être utile le Comte informa :

-Certes, ceci dépend quel domaine suscite parmi votre esprit de l’intérêt. Sachez que mes divers fonctions ainsi que mes fructueuses relations avec les membres les plus éminents des grands organisme de l’Empire me permettent d’ouvrir nombreuse porte comme certaines dans la Banque Centrale, l’Administration Impériale ou Coloniale ainsi que l’Armée ou aussi des charges à la Cour de Varsalance. Vous devez bien me dévoiler quelle sont vos vrais intérêts et je pourrais peut être offrir ce que vous désirer.

- J'ai appris que vous avez été nommé Premier Ministre du Royaume d'Alaïenie, peut-être auriez-vous besoin de quelques personnes pour former le gouvernement de Sa Majesté Alaiena. J'aimerai sincèrement m'insérer dans la vie politique de l'Empire afin de le servir au mieux. M'aideriez-vous ?

Invité

Le Comte de Varsalance sourit, la nouvelle de sa récente nomination à cet noble poste avait donc déjà fait le tour de l’Empire. Quelle prodigieux exercice. Vu de la demande de la grande Dame il décida de la répondre par les suivants mots :

-My Lady, ainsi vous convoiter un poste dans l’administration, je suis très déçu de votre part de cette décision.

Voyant le visage choqué de la grande Dame il ajouta rapidement en provoquant un soulagement sur sa face :

-Ces mots étaient naturellement à prendre comme plaisance de ma part. Soyez assuré que votre demande me déçois en aucun cas mais me démontre votre intelligence et votre attitude sage. Vous voulez donc un poste comme Ministre ? Très bien donc. Quelle domaine ou domaines vous serait intéressant sachez qu’avec grande probabilité j’accepterais votre requête.

Iseult but une deuxième gorgée pour se remettre de ses émotions et répondit.

- Et bien je suis tout particulièrement intéressée par la jeunesse et la sécurité des Sujets de Leurs Majestés, ce serait donc un plaisir que d'y travailler au sein du gouvernement dont vous avez la charge. Permettez moi de trouver votre compagnie agréable et de vous dire que travailler avec vous le sera aussi. Pourquoi ne pas créer un ministère de l'Intérieur et de l'Education, n'est-ce pas une charmante idée ?

Invité

Le Comte de Varsalance l'ayant écouter songea pendant quelques secondes avant de lui offrir comme réponse les suivantes phrases:

- Bien donc, ainsi-soit. Nous créerons pour le moment le Ministère de l'Intérieur qui contiendra les finances, l'éducation, la santé, la sécurité et le département pour la jeunsse. Vous serez élévé ainsi à la tête du département de la sécurité et de la jeunesse pour le bien de l'Empire.

Ceci dit il ajoutait pour conclure:

- Je pense qu'ainsi le sujet sur votre future carrière est clos. Avez-vous encore à ajouter une remarque ou une idée? Si non je voudrais vous faire parvenir de ma part une invitation privée pour aller assister à une séance d'Opéra à Elbêröhnit. Ceci vous permettra de faire une meilleure connaissance de la culture continentale du Belondor.

- J'ai l'honneur d'accepter votre offre, croyez en ma totale dévotion envers la cause de l'Empire. De plus, votre invitation est une excellente idée, et je vous proposerais, maintenant que nous avons parlé travail, de passer à table pour le déjeuner. Nous parlerons de choses plus légères, nous en profiterons pour faire plus ample connaissance.

Ils se levèrent et s'installèrent à la table de la salle à manger.

- Ainsi vous êtes un mélomane qui appréciez les airs d'Opéra, c'est intéressant. Avez-vous une oeuvre préférée ?

Invité

Le Comte de Varsalance joignait la dame vers la table et en s’asseyant il lui répondit :

-Certes, je trouve particulièrement intéressant « Les Quatre Eléments » par Giovani Golberti.

L’ayant répondu il interrogea la dame:

-Et vous quelle pièce suscite chez vous de la plaisance ? Je suis sûre qu’une personne de votre niveau à déjà du assister à nombreuses représentations artistiques comme celle exposés dans les Opéras.

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