L'Empire du Belondor
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L'Empire du Belondor

Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 Méditation nocturne

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Adrien Sinfonien

Adrien Sinfonien


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MessageSujet: Méditation nocturne   Méditation nocturne EmptyVen 21 Aoû - 8:46

Jamais ont ne vit de ministre aussi acariâtre et soupe au lait que le Ministre de la Couronne Adrien Sinfonien. Une tendance misanthrope s’éveilla en lui, peut de temps après son arrivée du Zollernberg ou il devait établir des relations avec le Grand-Duc. Visiblement, la tête enragé et l’aspect furibond du Ministre laisse à penser que ça ne se serait pas passer comme prévue. Tout comme en Avaricum, ou son navire le fit débarquer à Trembleterre, 1er port de pêche de la morue en Avaricum dit-on. Rien que ça aurait suffit à le faire sortir de ses gonds. Ce qui suivit fût peu glorieux pour la délégation ministérielle, reçu non pas par le Secrétaire d’Etat mais par un vulgaire sous-fifre, il ne ressortit rien de bien passionnant de cette entretien, Sinfonien rentra au Belondor le lendemain même. Les avarois auraient-ils eu un regain du fameux ‘‘Syndrome de Castillon’’ ? (Nom donner par les détracteurs de l’Empire, dont les principaux symptômes serait un complexe de supériorité exacerbé.) La seconde mission au Zollernberg ne fût pas des plus joyeux, la rumeur allant même prétendre que le Premier Ministre Zollernois n’aurait même pas informer le Grand-Duc des intentions de l’Empereur.

Bref, c’est sous une pluie d’échecs et de hallebardes que le Ministre rentra à sa demeure principale à Veledris pour y prendre quelques jours de repos. L’immense bâtisse, acquise tout récemment était pour ainsi dire à la taille du Ministre. Grand collectionneur de livres, il aurait dit-on un pan de mur réserver exclusivement au livre mis à l’index par les zorthodoxes. Il s’en cacherait même pas. La cour de cette hôtel particulier, en plein Veledris était tout en gravier, agrémenter de plusieurs parcelles d’herbes d’ou germèrent des arbustes finement taillé et ou même une fontaine trônait au milieu de ladite cour. La voiture qui entra par le portique était chargé de malles, ainsi que de valises. La gouvernante qui passait le plumeau devant une fenêtre donnant sur la cour, ne pût s’empêcher de s’empresser de sortir sur les marches de la porte d’entrée. Attendant fièrement que son ministre de maître des lieux lui adresse les bonjours. Au lieu de ça, ce fût un autre homme qui lui passât devant le nez, sans lui adresser la parole, ni même un signe des yeux. Le Ministre se dirigea vers l’un de ses salons et s’y enferma, à double tour, laissant son secrétaire au ban de la demeure, accompagné de la charmante (sinon séduisante pour un secrétaire de son age) gouvernante.


-Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ? Demanda la Gouvernante de sa voix suave.
-Sûrement n’a t-il pas supporté les visages enfariné des avarois. Répondit d’un ton neutre le secrétaire.
-Et les zollernois ?
-Hélas ma chère, ce ne fût guère mieux je crains.

Entre-temps, un majordome et une soubrette sortirent pour aller décharger la voiture des affaires du Ministre. Celui-ci resta enfermer dans son salon et n’en sortit point.



Rien, sinon l’après-midi, ne se passât.



Le soir venu, le souper lui-même se fit sans sa présence, sa femme étant rester à Elbêrönhit, le personnel de la demeure en profita pour dîner à la table du ministre. Ce fût paraît-il un repas copieux : saumon fumé de Scanthénoisie d’un mètre cinquante, accompagné de toast grillé, une mazédoine de salade, une magnifique bavette au échalotes et au sel d’Ardanie. Le dessert fût un plateau de fromages venant des quatre coins de l’empire, colonies et nouvelle-Argentorate inclues. Le tout accompagné d’un rosé d’Ecosient servit très frais. Malgré ce repas frugale, pas un signe de vie du ministre.


-Boude t-il ? Demanda une soubrette à l’accent alaïenien très prononcée.
-Je ne pense pas qu’il en ait après moi. Répliqua le secrétaire (Ernest Gravelin de son patronyme.)
-Au moins nous fûmes au calme. S’exclama la gouvernante.
-Mais au fait comment en est-il arrivé la ? Demanda un majordome.
-Les avarois n’ont pas due lui faire bonne impression.
-Ma foi, ces gens-la n’aime pas les gens du nord, c’est bien connue. Répliqua Gravelin
-Même les zollernois, le ministre à due s’en dégoûter.
-C’est pour ça que depuis cette après-midi il est coincé dans sa bibliothèque ? Demanda la soubrette.
-Sûrement, peut-être qu’il à du en profité, au Zollernberg, pour trouver la liste mise à jour des livres mis à l’index, pour parfaire très certainement sa collection…
-Voilà un homme qui n’a peur de rien. Dit la gouvernante (très pieuse.)
-Un athée n’aura sûrement jamais peur ni du patriarche ni un garde scanthélois. Termina le majordome.

Bref, ce fût une soirée des plus calmes, le personnel s’adonna à une partie de cartes, avec deux bouteilles de châteaux Minelit, grand crue que le Ministre aime tant à boire sans eaux, la soirée tourna court. Le chat de la gouvernante termina même les restes du salmonidé géant. C’est ainsi que tout le monde alla regagner leurs quartiers privés, se couchant parfois les uns sur, sous ou sans les autres. Seul la chambre ministérielle resta déserte. A minuit passé, la gouvernant en mal de sommeil, remarqua que la porte du salon était toujours fermer à clé. La dame se souvint alors qu’elle avait complètement oublier de rappeler au Ministre qu’il fallait bien dormir, craignant que celui-ci ait fait une chose portant préjudice à son pronostique vitale, alla quérir le majordome qui au vue de la situation exposé par la patronne, s’en alla quérir une hache dans le local du jardin. Bien que aigri, fatigué et peu musclé (il avait la cinquantaine effective), l’homme de main de la gouvernante frappa de toutes ses forces la porte du salon. Après trois-quatre coups de hache dans la porte, celle-ci s’écroula, devant le Ministre. La gouvernant et le majordome restèrent stupéfait de voir le Ministre dans le même état que quand il était arrivé. Il ne s’empêcha pas d’avoir ses commentaires bien à lui.


-Hum, qui à eu l’idée ? Demanda le Ministre au sujet de la porte. La Gouvernant eu le reflex de pointer du doigt son sous-fifre. Ce qui laissa le Ministre dans son indifférence.

-(Soupir) GRAVELIIIINNNN !!!

A entendre l’appel du ministre, cela devait être important. Aussi le secrétaire, armé de ses petits yeux d’un peignoir et de pantoufles glissant sur un plancher de bois verni à l’extrême, ne manqua pas de tomber, en se fracassant avec une table ou trônait un simple vase avec une simple fleur. Il manqua encore par deux fois de glisser dans l’escalier, pour enfin montrer toute sa splendeur nocturne au Ministre.

-Allez me chercher Jicosine. Ordonna sèchement le Ministre.

-Mais, à cette heu…

-Oui, à cette heure-ci, maintenant tout de suite.

-Mais il est à Elbêrönhit, et il est plus de minuit.

-Il y a des trains de nuit qui font un trajet directe de Veledris jusqu'à la capitale, vous verrez, vous aurez le temps de dormir et de prendre un déjeuner une fois arrivé.

-Hem, bon bien monsieur le Ministre. Je peut aller m’habiller d’abord ?

-Nous ne sommes pas des rustres, un peu de tenue vous ferez du bien.

Sur cette parole, le secrétaire s’en alla s’habiller, préparer sa mallette et un trousseau de toilettes (il fallait bien être propre) et sauta sur le premier fiacre venue en sortant de la cour qui donnait sur une des rues donnant sur la grande place de la ville.

Le Ministre s’exclama qu’il avait faim, mais comme le gros du repas avait était déjà consommé, le Ministre ne jugea pas sain d’insister pour se faire ouvrir une épicerie qui se trouvait à une vingtaine de mètres de sa résidence, il décida d’aller rejoindre ses quartiers.

-Au fait. Rajouta-il sur la fin en direction du majordome. Je déduirais la porte enfoncé à la hache sur votre salaire.
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MessageSujet: Re: Méditation nocturne   Méditation nocturne EmptyVen 11 Sep - 23:55

Jicosine était comme à son habitude, dés quatre heures du matin à son bureau. Devant lui, moult dossiers sur ce qui se passait dans les pays germains ainsi que les rapports de quelques missions secrètes qui furent mener dans d’autres pays de l’archipel. Il les lisait un à un, même si il fallait bien une heure pour lire chaque rapport, la curiosité lui était le plus fort, d’autant que c’était son travail. Organiser les missions ainsi que leurs suivis, les opérations en tout genre, même des assassinats (cas rares) puis lectures des rapports. Bref, il faisait le même travail que ses prédécesseurs et c’était bien ainsi. Pour se donner de la vigueur à la tache, un demie-litre de café était la bienvenue.

5h, rapport sur les agitations qui règne en Hollyade, court certes mais intéressent sur certains points. 5h45, arrivée d’un rapport sur la crise du Laufenbourg, cela devint plus intéressent, car la, il s’agissait d’un conflit d’ordre internationale. 6h15, Jicosine fait mander plusieurs de ses sous-fifres, la crise sus-nommé l’intéresse particulièrement, il ordonne qu’elle soit analysé de plus près. Et ainsi de suite, les réunions, les rapports s’enchaînèrent. A 11h30, on toqua à la porte.


-Monsieur, c’est le secrétaire du Ministre. Dit le secrétaire de Jicosine.
-Qu’il entre. Rétorqua celui-ci. Gravelin entra, avec des valises sous les yeux et l’air quelque peut fatiguer.
-On a mal dormi ? Demanda Jicosine.
-Non, le Ministre m’envoie vous quérir depuis sa résidence d’été de Veledris.
-Pour vous avoir tiré du lit et mis dans le premier train pour la capitale, cela doit être important.
-Oh oui, d’ailleurs, je crois qu’il nous faudrait nous dépêcher. Le Ministre semblait bien vouloir vous voir le plus vite possible.
-Tant que ça ?
-Oui.
-Bon, réservez moi un aller-retour, je me prépare.

Le secrétaire s’en retourna à la gare, tandis que Jicosine fit savoir à son secrétaire qu’il devait régler une affaire avec le Ministre, il s’empressa de regrouper quelques dossiers susceptibles d’être évoqué avec le Ministre. Ceci fait, Gravelin revint de la gare avec une fiacre affrètes pour l’occasion et se dirigèrent à la gare centrale d’Elbêrönhit au plus vite.
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Adrien Sinfonien

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MessageSujet: Re: Méditation nocturne   Méditation nocturne EmptyJeu 17 Sep - 9:10

Depuis sont réveil, le Ministre garda la même tête qu’hier, lisant impassiblement le journal et je jettent même pas un merci à sa gouvernante pour son petit-déjeuner, cette dernière ne manqua pas de le lui faire remarqué.
Sinfonien répondit alors par son « fi » habituelle et ne leva même pas le nez de son journal. Quand il en eut terminer, il s’enferma à nouveau dans son salon, celui-la même avec une porte en moins, et tenta malgré se manque d’être le plus calme possible. Mais si cela c’était mieux passer ont en arriverait pas la.

Ce fût peut après midi, qu’un fiacre entra dans la cour de l’hôtel particulier du Ministre. Gravelin, accompagné de Jicosine faisait une tête comme ont pourrait en voir le jour d’une victoire décisive. Le major d’homme et la soubrette arrivèrent au même instant pour décharger les deux secrétaires de leurs quelques affaires inutiles, puis Gravelin accompagna le directeur des SSB vers le bureau du Ministre, puis s’en alla chercher ce dernier.


-Monsieur, Jicosine est ici, je l’ai amené à votre bureau.

Sans dire quoi que ce soit, le Ministre se leva quitta son salon pour rattraper son secrétaire, une fois arriver devant la porte de son bureau le Ministre ne put s’empêcher de demander des renseignement à Gravelin.

-Il n’est au courant de rien ?
-Je ne sais pas, vous m’avez juste dit de le chercher, il n’a pas broncher un seul instant.
-Bien.

Le Ministre ouvrit la porte de son bureau et aussitôt la referma devant le nez de son secrétaire. Jicosine salua comme il se doit son Ministre de tutelle qui le lui rendit silencieusement. Sinfonien alla devant son siège, et alors qu’il était partit pour s’asseoir délicatement, au dernier instant, il se laissa tomber, comme un obèse ne pourrait s’empêcher de le faire. Par la suite, il posa ses mains sur son bureau, fixant du regard Jicosine qui pour l’instant restait impassible, mais pour combien de temps ?

Le Ministre commença par faire tapoter ses doigts sur son bureau, comme un roulement de tambour, mais entre-coupé d’un silence dés plus réguliers. Il ne disait rien, son visage était en marbre d’une neutralité sans précédant. Jicosine n’osa pas réagir, il laissait le temps passer : une minute, deux minutes, trois minutes, quatre minutes, cinq minutes etc. La tension devenait palpable chez Jicosine, il ne laissa pas malgré tout, voir une once de son malaise, Sinfonien lui ménager les neurones. « Qu’est-ce qu’il me prépare celui-la ? » devait sûrement penser Jicosine.


Et la, miracle, Sinfonien parla !

-Je ne suis pas content de vous, Jicosine.

Silence de l’intéressé. Le Ministre arrêta brusquement son roulement de tambours digital pour frapper violemment avec ses mains de ministre son bureau, espérant faire réagir Jicosine.


-Je ne suis pas content de vous : en un, le SSB est censé être l’une des meilleurs unités de renseignement et d’espionnage du Micromonde, pourtant elle n’a pas était foutue un seul instant de prévoir la crise du Laufenbourg ! En deux, il en va de même pour l’Hollyade, et trois !
A cette instant Sinfonien sauta de son siège, l’effet de surprise consisté à avoir une tête furibond et de le faire voir le plus près possible du secrétaire.
-CESSEZ de me regarder avec cette air !

Silence encore, Jicosine tenta de changer d’air, puis tenta de répondre aux reproches du Ministre.

-Monsieur le Ministre … Certes, le SSB à une activité très grande, pourtant, nous ne sommes pas assez nombreux pour ouvrir une cellule dans chaque pays de l’Archipel. Jusqu'à récemment, nous ne sommes présent uniquement dans les pays germains, en Avaricum et en Russlavie. Cela venant plus du fait que nous n’avons pas les moyens de recruter beaucoup plus d’agents de terrain.

-Justement. Répliqua le Ministre, il y a un bon monsieur ardanien avec un embonpoint qui à prévue suffisamment d’argent pour la Couronne pour que vous alliez recruter du beau monde et ouvrir des cellules, mais la n’est pas le problème !

Le visage du directeur Jicosine se décrispa lentement, mais il ne se laissa pas démonter, le Ministre pouvait bien lui faire encore une surprise.


-Alors … pour quel raison vous m’avez fait venir ? Demanda Jicosine dans un ton diplomatique et polie.

-Vous allez faire un travail que je ne demanderais pas de faire à des militaires, ni même au Grand-Moff.

Silence de Jicosine.

-Jamais dans son histoire, le Micromonde à était aussi instable, d’abord la guerre Zollerno-Krasslandaise, la campagne du Wasserland, la guerre de Karkor, l’invasion/annexion du Skotinos, les tensions entre avarois et zollernois, les guerres de religions, la guerre avec les germains, la croisade qui s’annonce au Skotinos puis la crise du Laufenbourg. Tout cela montre à quel point l’équilibre de l’Archipel est peu stable et même chancelante à l’heure actuel.

Petite pause du Ministre.

-Je veut, et je vous ordonne de réaliser des plans de guerres destiner à la Légion et à la Marine dans le but de riposter à toute attaque de n’importe qui, d’attaqué quiconque puisse s’en prendre à nos intérêts, prévoir les hypothétiques conflits avec n’importe quel puissance, même allié. Je veut et j’ordonne la création de ces plans de guerres mettant en scènes toutes les situations possibles et imaginables à l’extrême. Guerre totale, trahison d’un allié, révolte, guerre de religion, coalition, attaque de nos lignes commerciales, guerre civile, sécession, invasion, riposte. Comme je sais que vous devez disposer de renseignement de bases pour établir de tels plans d’anticipation, c’est pour cela que je vous ait également intimé l’ordre de recruter de nouveaux agents de terrain et d’ouvrir des cellules dans plus de pays.

L’énoncée du Ministre laissa Jicosine de marbre, il n’osa pas trop demander de détail, ni d’émettre d’avis, qu’il soit bon ou mauvais. Il tenta néanmoins quelque chose.

-… Vous … souhaitez recevoir ses plans dans un certain temps ?

-Le plus tôt sera le mieux ! Et tachez de faire quelques choses de propre.

-Une chose m’échappe monsieur. Pourquoi ne pas confiez cela à des militaires d’expérience ? Le Prince Ismarkus est assez bien rodé dans ce domaine si j’ose dire ainsi.

-Parce que la guerre, mon chère, est une chose trop sérieuse pour être confier à des militaires. Vous pouvez vous mettre au travail.

Jicosine n’osa rien rajouté, il salua timidement son ministre de tutelle puis s’en alla, laissant Sinfonien se rasseoir à son bureau, il souriait jusqu’au oreilles, semblant vouloir signifier qu’il était bien content de lui. Il sorti d’un de ses tiroirs d’une bouteilles d’un alcool qu’il apprécié particulièrement, ainsi qu’un verre, il se versa une lampée généreuse dans son verre, puis se retournant vers le portrait officiel de l’Empereur leva son verre comme pour lui porté un toast et dit :

Sire ! La puissance d’un pays ne doit surtout pas être jaugé sur sa puissance militaire, technologique ou autre. Mais sur sa capacité d’anticipation !

Ceci dit, il lampa son verre d’une traite.
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