L'Empire du Belondor
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L'Empire du Belondor

Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 [RP 1] Un voyage en train

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Anna de Varsalance (†)




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MessageSujet: [RP 1] Un voyage en train   [RP 1] Un voyage en train EmptyJeu 25 Juin - 4:56

[RP 1] Un voyage en train Gare


Sur les quais de la Grande Gare de Varsalance, au moins une centaine de personnes attendait. Des vieilles dames vêtues dans des vêtements somptueux, des jeunes filles concourant avec les couleurs les plus diverses de leurs robes, des hommes issus de la bourgeoisie qui attendaient en regardant impatiemment sur leur montre, blâmant chaque minute perdue avec des soupirs et des jeunes ouvriers qui profitaient de l’occasion pour flatter et dorloter celle qui avait eu le courage d’ouvrir son cœur à eux. Le nombre de gens fut grand et leur diversité totale, fut un spectacle remarquable que certains peintres tentaient de retenir en œuvrant sur leurs tabourets et leurs tableaux vides en prenant place aux points stratégiques de la Gare.

La Gare dans son style mélangeant l’acier, le verre et la pierre fut un produit de la grande époque de Varsalance, de l’époque quand l’art et la culture avaient trouvés leur grand mécène sous Louin de Varsalance. Construite sous forme d’un vaste complexe abritant des galeries, bars, restaurants et un grand hall dans lequel quatre quais permettaient aux gens de monter dans les trains aux destinations les plus diverses, elle fut non seulement un centre de voyage mais aussi de plaisance dans lequel les habitants de la ville aimaient se rencontrer.

Il avait toujours aimé ce lieu, et même s’il fut venu cent fois, il ne pouvait pas résister à admirer cette œuvre monumentale que l’homme avait su bâtir. Mais bon, aujourd’hui, il n’avait pas vraiment le temps pour l’admiration car il fut très pressé de quitter la ville et se diriger vers le Sud du pays. Vêtu très simplement, comme il fut l’habitude dans cette nouvelle classe sociale qui se créait dans les usines de la ville. Il attendait sur le train. Regardant sur la montre de la gare, grand acquit de cette nouvelle ère, il remarqua qu’il ne restait plus que deux minutes avant l’arrivé du train. Et la montre disait pour une fois vraie car même pas soixante secondes plus tard, il entendait le bruit réputé de la machine. Loin, hors de l’hall, vers l’horizon urbain, il vit une tâche noire grandissant chaque fois d’avantage.

Soudainement les voies commençaient à siffler et à vibrer comme s’ils avaient prit vie et qu’elles désiraient se déchainer de leur emprisonnement. La tâche devenait une chose, la fumé noire sortante donnait au spectacle quelque chose de mythique. Le bruit qui accompagnait toujours le train devenait plus fort, mutant vers une tempête de sons et se terminant quand la machine freina dans une symphonie aigue, dépassant les voix les plus nobles de l’Opéra de Varsalance en hauteur et perfection. Ce qui fut une chose, devenait un être en métal, crachant de la fumée et s’arrêtant face à des spectateurs stupéfaits par la machine. Les grandes statues qui servaient de piliers à l’hall, que ce soit l’homme-loup de Min ou le Cyclope de Thalas, offraient avec la fumée de la machine à l’hall une atmosphère mythique, presque diabolique. Quand les portes s’ouvraient, il aurait juste fallu que le Diable en personne en sorte mais ceci fut point le cas, bien au contraire, seul quelques hommes en uniformes quittaient la machine laissant vite la place aux voyageurs qui entamaient d’entrer dans les wagons du train.

Il décida donc de faire de même et monta dans un des wagons de la troisième classe. Dedans il observa les bancs en bois qui devaient permettre aux voyageurs de pouvoir être assit pendant le trajet. Il ne s’assit pas sur le premier banc libre mais entama de chercher en avançant quelqu’un qui lui fut très cher. Cherchant banc par banc, regardant dans ces visages de gens déjà assit, marqués souvent par la vie et l’usure, il lui fallu chercher dans plus de deux wagons avant de trouver celle qui lui faut aussi valeureuse.

S’arrêtant devant elle, il regarda se visage pur qui fut plongé dans un petit roman que certains auteur avaient eu coutume d’écrire à la destination de ceux qui ne crevaient pas de faim dans la classe. Vêtu d’une robe bleue, elle leva son regard et ses yeux brillaient quand elle vit celui pour lequel son cœur battait passionnément. Laissant son livre de côté, elle se leva et lui, son âme brûlante de passion, s’approcha d’elle, mit sa main à sa taille et embrassa cet être magnifique. Elle, mit ses mains derrière son cou et répondit à son embrassement. Après une minute d’amour intense, renforcée par la longue séparation physique, ils se lâchaient, sous les regards de nombreux voyageurs qui souriaient en voyant ses deux jeunes gens et qui songeaient à leur propre amour de jeunesse. Lui un peu gêné, elle amusée, ils s’asseyaient sur le banc. Se regardant dans les yeux, avec un sourire de plaisir, ils attendaient d’entendre le sifflement qui allait annoncer le départ de la machine. Le sifflement une fois arrivé, la machine se mit quelques instants plus tard en mouvement annonçant un long voyage.
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Anna de Varsalance (†)




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MessageSujet: Re: [RP 1] Un voyage en train   [RP 1] Un voyage en train EmptyVen 26 Juin - 7:34

Le train avança dans la nuit, ses deux lanternes allumées pour avertir les promeneurs inconscients de son passage. Une Lune pleine s’était levée, les étoiles brillaient de toutes leurs forces à croire qu’ils tentaient d’illuminer le chemin à ceux qui osaient abandonner le Soleil et s’aventurer sous la seule protection de la Lune et ses filles.

Dans un des wagons du train, elle s’était endormie et lui, il tenait la tête de la princesse de son cœur sur ses genoux, lui offrant ainsi le confort de la chaleur de son corps et accomplissant son devoir mâle de protecteur. Regardant par la fenêtre sur le paysage nocturne, il observa les ombres longues et mystérieuses faits par les arbres avec la lumière solaire qui fut réfléchit par la Lune. Chaque trois minutes, il détourna son regard du paysage et regarda sur sa bien-aimée pour s’assurer qu’elle aille bien, pour enfin revenir à l’observation de l’extérieur. Il fut étrange que cette nature qu’on croyait tellement bien connaitre sous le Soleil, se dévoile en tant que monde mystérieux quand le grand astre quittait l’horizon pour illuminer d’autres peuples. L’humain perdait de sa toute-puissance quand le soleil ne fut plus là et que les animaux sauvages rodaient sous le manteau de l’obscurité.

Le train avança à grande allure pendant encore deux heures, la nuit devenant pour sa part chaque fois plus dominante. C’est alors que la machine ralentit et qu’il se réveilla. S’ayant endormit pendant un bon moment, il regarda sur ses genoux et avec soulagement vit qu’elle fut toujours endormie. Voulant savoir ce qui avait forcé le train de ralentir, il regarda à travers la fenêtre et se rendit compte que le paysage ne fut plus le même. Ce furent des longues rangées de maisons sales et mal construites qui avaient prit la place des arbres. Le ciel fut toujours obscure mais on ne voyait ni la Lune ni les étoiles car la fumée des usines qui remplissaient l’horizon couvrait un ciel qui fut il y a quelques heures encore vierge. Quel vue plus choquante ! Toute la sauvagerie de la révolution industrielle s’étala devant ses yeux. La nature fut morte, un souvenir d’antan, le Soleil et la Lune plus que des mythes.

Sentant que leur voyage via train allait bientôt se terminer, il réveilla très doucement sa bien-aimée en lui chuchotant des mots doux à l’oreille et la faisant part qu’ils devraient bientôt descendre du train. Ouvrant ses yeux, elle sourit en le voyant et pour le remercier, l’embrassa très fort. Ceci fait elle entama de se préparer pour quitter le wagon. Dix minutes plus tard, le train s’arrêta et les deux quittaient le wagon pour descendre sur les quais de la Gare de Selenese. Elle, n’ayant pas vu la ville avant, eu un choc en voyant la gare. Ce ne fut pas comme à Varsalance un lieu de plaisir mais un lieu d’effroi. L’hall fut noircie par la fumée des trains et le manque de soin, des dizaines de mendiants furent à tous les coins et les déchets d’étalaient de manière omniprésente. Quel choc, surtout pour une jeune femme comme elle, qui n’avait jamais du affronter la dure réalité de ce Monde. Selenese fut une des villes les plus industrialisées de l’Empire mais à la place d’être le lieu de toutes les richesses, elle fut la place de toute la misère et du désespoir humain.

Quittant la gare ; elle, se tenant proche de lui ; et lui, la protégeant en tenant son bras sur elle ; ils arrivaient dans les rues de Selenese. Ce qu’ils voyaient fut mille fois pire ce qu’ils avaient cru avoir découvert sur cette ville dans la gare. Même dans la nuit, quand tous devraient dormir, ils voyaient des nombreux gens revenir de leur travail dans les mines et les usines après une journée de plus de seize heures de travail. Les visages épuisés et détruits, leurs bras pendants, leur pas lents et leurs yeux vides donnaient une allure qui effrayait la jeune femme qui se tenait tout près de son fiancé. Même lui, il du reculer face à ce spectacle. Peut être que la loi protégeait ses gens mais que fut la parole d’un empire dans une ville qui vivait que pour servir une petite minorité qui croulait sous la richesse pendant que le reste crevait à la tâche ?

Fuyant l’atroce spectacle, ils continuaient leur chemin dans cette affreuse ville. Se dirigeant vers le port qui fut à l’extérieur de la cité, ils devaient parcourir trois heures à pied à travers un paysage gris et désolant.

Le port de Selenese fut il y a un siècle un petit village de pêcheur qui se transforma sous Raivinine Tarsion en un grand port de commerce dont les navires allaient surtout vers l’Eslagne et vers l’Avaricum. On trouvait souvent des navires qui furent prêts à transporter des gens dépourvus de grand moyen en les logeant dans les soutes avec la marchandise. Lui et elle furent à la recherche d’un tel navire et après une heure de recherche sous un soleil renaissant dans une mer écarlate, ils trouvaient dans une vieille taverne un capitaine qui fut prêt de les emmener dans son navire. Ce fut un vieil homme, à grand ventre, vaste barbe noire et un chapeau triangulaire bleu rappelant aux pirates des grandes sagas qu’on racontait aux enfants des villes portuaires. Rigolant sous l’effet du rhum, il accepta de les transporter en poussant un petit rire de vieux marin. Les donnant rendez-vous devant son navire pour avoir le temps de finir de boire son verre de rhum, ils purent deux heures plus tard monter sur le navire. Le navire fut un vieux bâtiment de ligne à trois mats datant probablement encore d’avant le Second Empire, comme presque toutes les choses respectables dans le Sud de l’Ardanie. Il transportait surtout de l’acier vers Talan, petite ville portuaire près de Braserel ; au moins ceci fut la version que le capitaine voulait bien leur faire part.

Le capitaine à la place de les envoyer dans les soutes leur permit de rester sur le pont et ainsi de pouvoir observer la mer, probablement pour avoir l’agréable présence de la jeune femme qui avait su plaire au capitaine pour s’assurer de ses bonnes grâces pour faire en sorte que le voyage se passait au mieux pour elle et son fiancé.

A neuf heures du matin, quand le Soleil s’était enfin rétablit à l’horizon, le capitaine donna l’ordre d’hisser les voiles secondaires et de détacher les cordes qui les reliaient au quai. Ceci fait et les voiles grand ouverts, le navire entama de sortir du port et se diriger vers la mer. Une fois le port quitté, on hissa les grands voiles centraux pour capter toute la puissance du vent et le navire accéléra en brisant les vagues pur se diriger en direction de l’Eslagne.
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Anna de Varsalance (†)




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MessageSujet: Re: [RP 1] Un voyage en train   [RP 1] Un voyage en train EmptySam 27 Juin - 4:37

La mer fut un spectacle extraordinaire. Avec son bleu saphir et ses éternels mouvements, elle fut une vue apaisante, faisant oublier les horreurs que le couple avait dû affronter à Selenese inspirant même à la méditation. Regardant le spectacle maritime depuis le navire, le couple se rendait compte que la beauté de la mer fut trop souvent sous-estimée. Les grands de ce Monde voyaient dans la mer qu’une source infinie de nourriture ou une surface sur laquelle ils pouvaient mouvoir leurs navires de guerre, souvent plus inspirés par arrogance que par un réel désir de défendre leurs pays.

La capitaine voyant le jeune couple observer la mer, s’approcha d’eux et leur dit que la mer est une déesse dangereuse qui certes, aujourd’hui semble une femme gracieuse mais demain pour être une furie voulant la mort de tous ceux qui osaient la traverser. Ceci dit, il abandonna les deux pour aller contrôler si le navire fut toujours sous le bon chemin. Pendant que le capitaine se pencha sur une table avec une carte et un compas, les deux continuaient à observer la mer, se reposant de tous les événements brusques qui avaient perturbés leurs esprits les derniers deux jours.

Le navire continua sa route, traversant la Mer Occidentale en direction du continent, vers l’Eslagne. Quand le Soleil avait déjà passé le Zénith et que des vents plus frais s’étaient levés, un marin annonça que le continent fut en vue. La terre d’Eslagne se présenta à eux, cette terre jadis libre et aujourd’hui sous la domination du Belondor qui au nom d’une histoire commune avait conquit ce peuple.

L’Eslagne n’avait en réalité peu changé depuis qu’il fut intégré dans l’Empire. Braserel resta la cité de la pauvreté et rare furent les lieux qui prospéraient. A vrai dire, il ne fut pas rare de voir encore les ruines causées par la guerre, si peu furent les soucis de la part de l’Empire de reconstruire une région qu’il avait asservit à nouveau. Le Prince d’Eslagne n’ayant jamais été vu dans ces terres et l’Empereur étant plus préoccupé d’embellir sa capitale que de prendre en main cette région mourante, le sort de l’Eslagne sembla être scellé pour très longtemps pour le pire.

Quand la ville de Talan fut atteinte, on rangea les grands voiles et le navire entra dans le port de cette petite ville marchande. Le navire une fois dans le port, les deux amoureux pouvaient descendre en payant au capitaine ce qu’ils lui devaient et en se réjouissant d’avoir à nouveau la terre sous les pieds.

Talan fut très petit, en réalité il ne fut pas plus grand qu’un village mais en raison de sa proximité avec Braserel, il fut devenu un port commercial avec une certaine importance. Un des bâtiments des plus connus de cette ville fut l’église syiste aujourd’hui un temple zorthodoxe qui avait comme spécialité d’avoir su conserver les fresques syistes faits quand l’église fut érigée. Ne voulant pas perdre l’occasion, les deux amoureux visitaient cette église en admirant le travail magnifique qui avait su être sauvé grâce à la lucidité des prêtres de ce lieu qui avait préféré l'art au fanatisme zorthodoxe.

Une fois sortit du lieu de prière, ils tombaient à leur grand surprise sur un étrange spectacle.

Dans un champ à côté de Talan, une grande assemblée de gens s’était formée pour admirer un événement sensationnel. Les deux allants vers les gens, se frayant un chemin à travers la foule pour admirer ce qui avait réveillé tant d’attention. Un homme d’une cinquantaine, en vêtement aristocratique et perruque démodée fut entra de travailler sur ce qui fut connu comme un aérostat. L'aérostat fut composé d’une sorte de corbeille carrée avec au dessus un énorme ballon rouge qui fut remplit grâce à un feu, de fumée ainsi les croyances de l’époque. L'aérostat impressionna bien les gens qui n’avait jamais vu un tel objet.

Soudainement l’aristocrate se tourna vers les gens et demanda qui voulait venir avec lui faire un vol. Tous reculaient, trop effrayés de monter dans un tel engin surtout s’il fut vrai qu’il permettait de monter aux cieux. Beaucoup criaient au blasphème. D’autres au scandale. Soudainement, les deux amoureux s’avançaient vers le noble et elle, sa curiosité fort touchée, demanda si cet engin pouvait les emmener au-delà des frontières jusqu’en Hollyade. Le baron, s’approchant de la jeune dame lui répondit avec un sourire charmeur que certes ceci serait une aventure n’ayant pas encore été essayée mais que la technologie n’avait rien à faire des distances et des frontières des pays. Il accepta donc le pari qu’elle lui avait fait et s’engagea de l’emmener avec son fiancé en Hollyade surtout que ceci l’arrangeait vu qu’il avait grande envie de visiter un de ses cousins.

Montant dans l’étrange engin, les trois détachaient les cordes et l'aérostat monta dans le ciel. Après quelques minutes, Talan s’était transformé en une petite maquette. Les deux jeunes furent stupéfaits par la vue sur la petite ville et la mer. Ainsi donc les oiseaux voyaient notre Monde.

Le baron, ayant déjà connu cette sensation dit que la technologie fut bien une bonne chose même si la Zorthodoxie n’en voulait rien savoir. Remarquant qu’il ne s’était pas présenté, il fit part aux deux jeunes qu’il se nomma Von Richthofen et qu’il fut un petit noble hollyade ayant vécu depuis vingt ans à Talan pour se vouer tranquillement à sa passion que fut l’étude des cieux et des machines permettant de se élever dans les cieux. N’ayant pas pu exercer sa passion en Hollyade pour des raisons de divergence politique avec le pouvoir, il fut forcé de choisir l’exil et donc de venir au Belondor.

Elle et lui, se présentaient à leur tour et remerciaient le baron pour les avoir prit. Celui-ci, touché, fit une petite inclinaison en remerciement. Se mettant après ceci à travailler la machine, le baron fit en sorte que le ballon se mit dans un courant d’air venu de la mer pour les emmener en direction de la Mer Interne donc vers l’Hollyade qui se trouva dans cette direction.

Elle et lui, entre temps, observaient les cieux et la terre devenue si petite et si insignifiante pour ceux qui voyaient les choses d’un autre angle.
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