Hassan Ben Alaoui avait mobilisé tous ses guerriers, prêts à partir au combat contre l'infâme émir de Dar-El-Sloum, Abdel El-Kallin. La victoire leur était assurée, tout simplement parce que celui-ci ne se doutait de rien. Il croyait qu'il pouvait se permettre de piller et ravager les terres de Ben Alaoui sans espérer de représailles ? Il fallait être fou, insensé. Il allait voir comment les gens d'Al-Karembar traitaient leur ennemis. Les Belondaures étaient loin, trop loin, pour que l'on puisse faire appel à eux afin de rendre justice. Il fallait donc régler cette faire seuls, entre eux. Et punir les coupables, les pendre par les mains, puis les émasculer comme ils le méritaient.
Au petit matin du deuxième quart de lune, les guerriers levèrent le camp avec des chants, sous les cris d'encouragements de leurs multiples épouses.
Alors que le Soleil frappait fort et qu'il était pratiquement à son Zénith, les troupes d'Hassan Ben Alaoui, qui marchaient depuis plus de six heures dans un désert aride sans eau ni végétation, tombèrent sur des patrouilleurs d'Abdel El-Kallin. Ceux-ci alors s'en retournèrent au galop afin de prévenir leur chef qui habitait dans la plus grande des bourgades à quelques kilomètres de là. Une heure plus tard, c'était toute l'armée de l'émir de Dar-El-Sloum qui était de sortie. Elle était aussi nombreuse mais avait trois fois moins de chevaux. Après qu'ils eurent balancés quelque cadavres de vautours et de coyotes pour porter l'œil à leurs adversaires, l'émir de Dar-El-Sloum attaqua et Ben Alaoui fit pareil.
Ce fut un horrible choc, les crânes étant fracassés par les sabres et les haches, les coups de feu tirés par quelques mousquets. L'avantage en terme de chevaux se révélait décisif pour le sultan d'Al-Karembar. Finalement, la victoire fut au rendez-vous et tandis qu'Abdel El-Kallin tentait de s'enfuir, il fut rattrapé et présenté à Ben Alaoui... qui le décapita de ses propres mains. Tous les prisonniers furent mis en terre et couverts de nourritures afin d'attirer les fourmis géantes qui en firent leur festin. Alors que Ben Alaoui se délectait de tout ceci, il vit quelques villageoises aller au puits qui ne paraissaient pas au courant qu'une bataille s'était déroulée quelqu'un kilomètre à côté.
Finalement, Ben Alaoui montant sur son cheval regarda ses guerriers et leur dit :
- Mes braves guerriers, c'est une grande victoire ! Et un grand butin nous attend. Tuez les hommes et les enfants. Prenez les femmes, ravagez-les. Elles sont à vous ! Vous en ferez vos femmes !
Une immense clameur retentit, qui attira l'attention des villageoises, qui s'en retournèrent en courant vers Dar El-Slam.
- Mes guerriers, vous allez pouvoir piller, bruler, prendre toutes leurs richesses, et leurs femmes. Violez-les et ainsi elle vous appartiendront ! Si elles résistent, tuez-les ! Pas de quartiers. Mes braves guerriers, allons-y !
Ils enfourchèrent tous leur cheval et foncèrent vers Dar El-Slam. Leur plan fut minutieusement exécuté. Les hommes étant décapités et émasculés, leurs parties étant enfoncées dans la bouche. Les femmes furent toutes violées, parfois à tour de rôle ou par plusieurs hommes à la fois. Ce fut un plein succès, et Ben Alaoui, content d'avoir récupéré les 5 filles les plus belles de Dar El-Slam (âgées de 14 à 19 ans) regardait avec plaisir ce spectacle réjouissant à ses yeux...