A quelques kilomètres, au delà de la frontière entre le Belondor et la Gélèbre, la météo à était particulièrement capricieuse, en effet, un épais manteau de neige à recouvert le nord du Belondor, on a relever à certains endroits plus de quinze centimètres de neige. Et ce n'est pas quinze centimètres de neige (loin de la) qui stoppera le général Gatline. Celui-ci à su s'adapter à son environnement, c'est accompagner de plusieurs de ses hommes, entièrement vêtus de blanc qu'il a traverser la frontière belondaure-gélébroise discrètement. La petite troupe fort de dix hommes, tous armer du fusil Gatline avancèrent d'un pas furtif vers les premières installations militaires de l'ennemie. Après plusieurs kilomètres de marche, le groupe s'arrêta au sommet d'une colline enneiger, de la, ils leurs suffit de s'accroupir afin d'être complètement invisible aux yeux de l'ennemie. En effet ils se trouvèrent devant un immense camp militaire fort bien garnie en hommes et en matériel.-Vous voyez quelques chose ?
Demanda le général au sergent-chef Fépapétélepaplaiene*-Hum, des hommes, beaucoup ... Ils ont bien des fusil à culasse, à culasse ?!
S'étonna le sergent-chef.-Oui on s'est fait espionner, ces mauvais joueurs ne savent pas inventer d'eux même.
-Mouais, on dirait bien qu'ils ont aussi des canons mais il sont bizarre, il ne ressemble pas à ce que j'ai vue jusqu'à maintenant.
-Quoi ? Donnez moi ça !
Ordonna le général en prenant la longue-vue du sergent-chef, en effet en regardant bien, il s'avéra que ses pires craintes soit confirmé. Les gélèbrois avaient bien des canons à culasses.-Et, merde, 1,2,3,4,5 ....6 ...7 ...... 10 canons à culasses, vous deux, allez vérifiez si ils n'ont pas d'autres canons de ce genre, la neige vous fournira un bon camouflage.
Ordonna à nouveau le général, les deux soldats concernés, bien que quelque peut hésitant s'élancèrent. Le reste de l'escouade alla se planquer de l'autre coté de la colline, en attendant le retour des deux soldats.
Une demie heure plus tard, les deux soldats revinrent.-Alors ?
Demanda le général.-Rien, ont à bien compté dix canons du genre chef.
-Euh moi j'ai trouver ça, je sais pas si ça sera utile.
Dit le second soldat en donnant au général un cahier.-Quelqu'un lit le gélèbrois ?
-Moi.
Dit l'un des soldats qui pris le livre et commença la traduction.-Chef un groupe arrive !
Lança un soldat. Le groupe repartit alors en vitesse vers la frontière. Après une heure de marche, la Belière gelé traversé, la troupe arriva enfin au camp de base du IIeme C.A.-Mon général, écoutait ça, je sais pas si ça peut être utile mais ça semble être un cahiers des charge, ils semble qu'il y ait des morceaux de codes secret que les gélébrois utilise, ensuite écoutait ça, selon ce qui est écrit, les ingénieurs du génie ont repérer une anomalie dans les canons à culasse, ce qui lest rend complètement inutilisable sans faire des dégâts, selon ce qui est écrit ils doit faire venir les gens qui ont fondue les canons pour tenter de les réparer.
Déclara le traducteur au général qui eu un regain d'espoir.-Hum ... faites passé la traduction et les codes aux hommes du génie, ils sauront quoi en faire. vous pouvez disposer. Oh et faites moi venir les officiers des sapeurs.
-Bien général.
Les hommes se dispersèrent dans le camp, tandis que le général regagna sa tente.-Lieutenant Badowsckine, ça en est ou avec les civiles ?
Demanda le général à son aide de camp.-Bien les dernières familles ont quittés la zone, exceptés les quelques réticents, voulez vous que je les fasse fusiller ?
-NON NON et NON ! J'ai déjà dit, ont limite au maximum les pertes civiles !
-Mais ils veulent vraiment pas partir.
-Bon déloger, et envoyez les à Bénéline qu'il n'aient pas le temps de revenir avant que ça soit finit.
-Bien mon général.
-Mon général, les sapeurs du génie.
Dit un des gardes.-Bien, qu'ils viennent.
Les sapeurs entrèrent.-Messieurs ! Voila votre nouveau matériel, un gros clou et un gros marteau.
Dit Gatline devant les sapeurs quelques peu perplexes.-Euh, Général, ont doit faire quoi avec nos nouvelle équipement ?
Demanda l'un des officiers.-La maintenant tout de suite, allez au fleuve Bélière, la glace au dernier relevé, mesure quinze centimètres d'épaisseurs, ils suffira de bien la fragiliser, un maximum afin qu'aucun soldat gélébrois ne puisse la traverser.
-Dit comme ça c'est tout bête, général.
-Et bien allez-y !
-CHEF ! OUI ! CHEF !
Crièrent tous en chœur les sapeurs qui s'en allèrent effectuer leurs missions. Le général demeura seul un moment dans sa tente, vérifiant les plans d'État-Majors, les messages et tutti quanti. Lorsqu'un garde annonça.-Général, un verrier veut vous voir.
-Qu'il entre.
-Mon général !
Déclara le verrier avec un fort accent du coin. Juste pou'v'dire qu'ont à bientot fini vot'commande.
dit le vieille homme en tendant au général une de ses fabrications, une sorte de lunettes, toute petite mais avec un fort grossissement. Le général prit l'objet, la mis sur son fusil et l'essaya. Il visa avec dans tout les sens, même sur le verrier qui eut par instinct un geste de recul. -A votre avis combien de tête de gélébrois vont bien pourvoir être percé de part et d'autres ?
Demanda le général à l'homme.-Oula ! Beaucoup m'bon monsieur.
-Et bien, qu'ils perdent ! Et je sent qu'ont va bien s'entendre. Vous pouvez partir, je suppose que les premières pièces sont distribués ?
-A l'instant !
-Bien, vous pouvez disposer.
le verrier par politesse fit un garde à vous (quelque peu ridicule) et s'en alla.-Beaucoup de têtes ...
EL : Fépapétélepaplaiene* (Fait pas péter le pipeline.) j'avoue que la je n'avais aucune inspiration.
/EL