L'Empire du Belondor
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L'Empire du Belondor

Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 La victoire définitive

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Le Peuple des Colonies

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MessageSujet: La victoire définitive   La victoire définitive EmptyDim 14 Déc - 11:58

Que restait-il comme troupes aux Belondaures ? Rien, si ce n'est quelques quarante à cinquante mille hommes... Le Général Olerion avait regroupé toutes les forces belondaures afin de tenir une ville, appelée Saint-Provost. En quelques jours, il avait fallu faire cela pour éviter de plus gros revers. Malheureusement, la mauvaise coordination des commandements avait fait que ce rassemblement fut trop lent pour surprendre les Gélèbrois (à vrai dire les troupes des autres États se contentaient d'assurer l'ordre en leur sein) et tenter une contre-offensive. A l'arrivée, c'était le chef d'état-major gélèbrois Helmuth von Noltke qui lançait l'offensive. Les divisions commandées respectivement par le général Stalnetz et le prince Frédéric-Charles, neveu du Roi de Gélèbre Guillaume III étaient les pointes avancées de cette bataille.

Les troupes belondaures, sous les ordres d'Olerion, étaient adossées aux forts de Saint-Provoct et de Plonering et s'étalaient environ cinq kilomètres. La bataille débuta le 33 Antonine à 8 heures lorsque Noltke ordonna l'avancée de ses troupes en direction des positions belondaures. Vers midi, le général Merstiein ouvrit la bataille devant le village d'Ouvilliers avec l'artillerie belondaure. Mais le camp belondaure s'était organisé durant la nuit en creusant des tranchées et des fosses afin de placer son artillerie et ses mitrailleuses et de masquer ses positions. Connaissant finalement l'avancée des troupes gélèbroises, les Belondaures lancèrent une contre-attaque massive. La bataille paraissait tout d'abord tourner à l'avantage des Belondaures, ceux-ci possédant de meilleurs fusils (bien que chargés également par la bouche pour l'instant). Cependant, l'artillerie gélèbroise en grande partie équipée par les prises sur les Belondaures prenait l'avantage.

À 14 heures 30, le général Stalnetz, désobéissant aux ordres de Noltke lança une attaque sur l'aile gauche avec sa division. Par deux fois, il fut repoussé par les tirs belondaures, organisés et puissants. Suit alors une importante contre-attaque belondaure qui dispersa les deux brigaes en présence : les deuxième et troisième brigades. Mais Noltke réussit à éviter une percée belondaure grâce à ses dernières troupes de réserves.

Vers 16 heures 50, la seconde division du Prince Frédéric-Charles ouvre une attaque à Saint-Provoct, village occupé par les hommes du général belondaure Bouroubert. Les troupes gélèbroises furent vivement repoussées, mais les positions belondaures furent anéanties par l'artillerie ennemie. Bouroubert demanda désespérément et à plusieurs reprises des renforts à Olerion, mais ne les obtient pas.

À 20 heures, les Gélèbrois débordent sur l'aile droite. Les Belondaures furent contraints de se replier. Le Général Olerion considéra alors ce repli comme la défaite de son camp et refuse de lancer une contre-attaque. Mais vers 22 heures, les combats cessèrent pour la nuit après des corps-à-corps sanglants à Saint-Provoct. Les hommes se battant même dans le petit cimetière du village qui entourait l'église en flamme. Le lendemain matin, ce qui restait du Corps d'armée I belondaure - 25 000 hommes - préféra se replier avec armes et bagages au Belondor plutôt que de reprendre le combat. Il n'y avait plus un seul Belondaure en Archipel Occidental Belondaure.

Cependant, à sa grande surprise, le Général Noltke reçut l'ordre par une dépêche datée de plusieurs jours de ne pas passer la frontière même en cas de victoire totale. Il disposa donc ses 180 000 hommes le long de la frontière de l'ancienne Eslagne (aujourd'hui divisée en quatre départements belondaures) que symbolisait le fleuve du Bélière. En effet, il s'agissait de ne pas se précipiter et de mobiliser les troupes désormais.

Mais, le télégraphe optique était désormais installé au Belondor et le ciel était clair. L'Empereur serait au courant avant 24 heures...
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