Visite de courtoisie

Un fiacre escorter par la garde impérial et frapper des armes de la vice - royauté s'arrêta devant le palais des ducs de Varsalance. Le vice - roi en descendit et se dirigea vers l'intérieur du palais. A l'entrée de celui - ci, le chambellan du duc qui attendait. Il dit au chambellan avec un sourire :

- Bonjour, Son excellence m'attend, vous pouvez annoncer Monseigneur de Magna Nabelnis. Je vous prie.

Le chambellan alla prévenir le duc de suite.

En attendant il ne pu que contempler avec admiration la beauté du palais ducal.

Le majordome avança à travers les couloirs et entra dans le Salon des Fresques ou le Duc s’entretenait avec plusieurs membres de la noblesse d’Ardanie. Il sentit donc que tous les regards se tournaient vers lui, et il dit donc rapidement dans l’espoir d’échapper aux regards inquisiteurs au Duc.

«Veuillez me pardonner, Excellence, pour pénètre d’une manière pas très habille dans votre conversation mais un certain Monseigneur de Magna Nabelnis vous attend. Apparemment vous l’auriez convoqué.»

Le Duc surpris lui répondit.

«Mais le rendez-vous était pour demain ?! Bon, vu qu’il est déjà là, faits le venir auprès de nous. Vu que nous n’avons pas attention de parler religion il est bienvenu dans notre cercle. Ceci nous permettra en plus de connaitre un aristocrate du continent ce qui est par chacne un bien rare dans notre belle île.»

Le majordome voulant se retourner, le Duc ajouta.

«Avant que je l’oublie, veuillez dire à Bastien de nous apporter le thé. La Baronne de Koen c’est plaint d’avoir une soif forte importante et je pense qu’elle n’est pas al seule à partager ce sentiment.»

Quand la domestique avait quitté le Salon, La Barronne de Koen dit au Duc.

«Je vous remercie beaucoup, Eminence, je dois avouer que ce voyage depuis Saleça fut très épuisant. Je suis vraiment ravi d’être ici surtout que nous allons bientôt rencontrer un aristocrate du continent ! Quelles émotions, car ils semblent qu’ils ne boivent pas the thé et que leurs carrosses s’avançant sur la voie droite !»

Le Baron de Koen qui était assit juste en fac edu DFuc à côté de sa femme intervenait.

«Très chère, calmez-vous. Il est connu de tout façon que les continentaux ne font rien comme les autres. Quelles chance qu’en Ardanie nous savons ce qui est juste et correct. Au moins, nous nous tenons à la moral, pas comme les nobles du continent qui se marient avec des vulgaires roturières et se copulent avec plusieurs femmes comme le faisait l’Empereur dans sa jeunesse.»

La discussion ayant reprit son élan, le Marquis de Contrebel qui se trouva à côté du Duc ajouta.

«Oui bon, concernant le thé je dois dire qu’ils en boivent mais très rarement. J’ai passé quelques semaines à Origodes et là, j’ai pu remarquer que quand nous buvons du thé, les continentaux boivent du vin. Quelle étrange coutume, surtout que le vin est une boisson alcoolique, mais bon, ceci est moins fou que cette manie de rouler à droite.»

Le chambellan appela l'évêque et lui montra le chemin et entra dans la pièce et dit :

- Bonjour altesse, excuse moi devenir un jour en avance, plusieurs affaire me conduise à vous. Et je pense qu'en qualité de chef de la maison de Varsalance, il est de mon de vous en parler.

Puis il regarda les hôtes du Duc et dit :

- Je n'ai pas l'honneur de connaitre ces personnes.

Le Duc invita l'évêque à s'asseoir et lui dit.

"Soyez bienvenu. Sinon pour vous faire présentation avec les autres invités j'ai l'honneur de vous présenter la Baronne et le Baron de Keon ainsi que le Marquis de Contrebel. Je pense que vous ferait bonne connaissance avec eux."

Il se dirigea vers la dame et lui dit :

- Baronne mes hommage.

Il lui fit le baise main.

Il serra bien chaleureusement la la main du baron et dit :

- Bonjour Excellence, je suis heureux de vous connaitre.

Il se tourna vers le marquis et dit :

- Bonjour Excellence, je suis heureux de vous connaitre.

Puis il poursuivit par :

- Je trouve l'hopitalité ardanie une très belle, et vous avez un sens de l'hospitalité hors norme. Et cela fait plaisir, car de nos jour les traditions se perte. C'est bien malheureux.

Le Duc le répondit avec un léger sourire de politesse.

"Oui, ceci nous savons très bien. Voila la raison pour laquelle nous vous faisons profiter de celle-ci."

Il répondit avec un sourire :

- Mais vous en sentez nullement obliger, mes parents on acheter une résidence à Varsalance, il y a de sa 5 mois, vous devez les connaitre, Joseph Dantine et Clara Dantine, il doivent être accompagner de mes soeurs qui ne sont pas encore marier, ils agit de Victoria et Suzanne Dantine.

Pendant que l'évêque parlait, Bastien, un des majordomes du Duc entra dans le Salon pour apporter du thé et des biscuits. Déposant le plat avec son délicieux contenu sur la table entre les aristocrates, il entama après avoir fait ceci de servir du thé dans lds tasses en porcelaine destinés au Duc et ses invités Après avoir accomplit sa tâche il se retira sans dire un mot après avoir reçu des remerciement discrets de la part du Duc. Le Duc prenant donc en main une tasse de thé, geste imité par les autres invités, dit.

"Voila qui est fort intéressant. Je dois avouer d'avoir eu vent de leur présence dans cette cité. Malheureusement j'ai pas encore eu la joie de pouvoir les rencontrer en privé."

Il répondit avec sourire :

- Il m'ont fait une éloge de feu mon ami le Duc Louin de Varsalance, pour sa gestion de cette citée. Je pense qu'entre vos mains, cette cité est en sécurité. Mais si vous voulez, je peux vous les présenter à l'occasion.

Le Duc craignant fortement que pour ceci il ne fut point le moment, répondit en déposant par sécurité la tasse sur la table.

"Je pense que ceci ne soit malheureusement pas le moment. Comme vous voyez, je comporte encore d'autres invités, mais je serais enchanté de faire la rencontre avec vos parents demain ou un autre jours ou je serais moins prit."

Il poursuivit par :

- J'ai eu vent qu'un grand compositeur était arrivé, j'aimerai le rencontrer, afin de pouvoir partager nos connaissance de la musique et peut être de faire de grand chose ensemble.

Le Duc était fortement surpris de voir comment les nouvelles circulez bien dans les hautes sphères. La venue de Monsieur Bach aurait du resté secret ce qui hélas ne semblait point être le cas. Comment faire, il n'avait aucune envie d'avoir l'évêque tout le temps entre les pattes quand il allait passer le temps avec le compositeur avarois. Regardant vers l'évêque il lui dit donc.

"Je pense que ceci est tout à fait réalisable. Je parlerais avec Monsieur Bach sur cette question et s'il accepte alors ça sera pour moi une grande joie de vous permettre de passer du temps avec lui et ainsi de parler musique."

Il répondit :
- Entre compositeur, on peut toujours se comprendre. Et rencontrer un homme tel que lui est toujours une grande joie. Mais ce n 'est pas le seul but de ma visite, il y a aussi une question de mariage.

Le Duc fonça les sourcils. Un mariage? Un tel sujet venant d'un homme d'église surpris beaucoup le Duc mais bon, à notre époque tout fut possible. Ne sachant point quoi répondre, il pensa que le mieux fut de le laisser s'exprimer et voir ce que ce "mariage" signifiait. Il lui dit ainsi.

"Un mariage? Il me semble de n'avoir point été informé sur quelconque mariage ou accord?"

Il répondit :

- Eh bien, il s'agit du mariage de mon frère Antonin et de la plus jeune fille de votre grand - père. Il aimerai votre consentement, pour qu'on puisse proclamer leur fiançailles. Et penser par après au mariage.

Le Duc fut plus que surpris d'une telle requête. Qu'on lui viennent demander le consentement pour le mariage de sa tante était très honorable, même un peu trop et c'est pour ceci qu'il répondit.

"Pour ma part il n'y a aucune objection quelconque, je pense qu'elle saura choisir le mari qui le convient."

Il répondit avec joie :

- Ceci régler, j'ai un problème un peu plus grave à vous exposer, mais ce sujet tenait à cœur a votre grand - père.

Le Duc se demanda bien ce que pouvais être ce sujet dit grave et surtout quel sujet aurait pu tenir tellement à cœur de son grand-père. A vrai dire, ce que plaisait à l'ancien Duc ne devait pas immédiatement plaire au nouveau surtout que les visions politiques entre les deux hommes étaient très différents et donc le Duc avait hâte de connaitre ce fameux sujet. Il lui demanda donc.

"Je vois mal ce que vous voulez me dire avec sujet grave. Pour le moment je dirais que tout fonctionne à merveille à part le fait que notre souverain est mourant et que l'Impératrice risque de faire savonner le projet de mariage avec le Tsar. Quel est donc ce sujet qui vous inquiète tellement?"

Il répondit d'un air amer :

- Eh bien, l'Institut des Sciences Musical demande beaucoup d'argent pour un financement correct, je pourrai bientôt plus la financer et je devrais fermer ce monument de la musique, et ce malgré les 2000 élèves qui s'y trouve.

Le Duc ce trouva soudain soulagé. Voila qui ne fut pas un sujet tellement grave surtout qu'il avait solution facile à ce problème. A vrai dire, cette crise de l'institut était bienvenue car elle permettait au Duché d'acquérir plus d'importance culturelle en investissant dans ce centre. Il dit pour ceci à l'évêque.

"Ah voila un fait fâcheux. Donc si je vous comprends bien vous êtes à court de liquidités. Voila qui est dommage pour un tel centre surtout que la culture devrait être un soucis primordial de l'Etat. Mais bon, je pense qu'il est tout é fait possible que le Duché vous envoi un soutien financier."

L'évêque répondit :

- Le financer serait un palliatif temporaire, dans deux mois je reviendrai vous voir pour vous demander de l'argent. Ce qu'il faut et mot me gène, c'est le racheter, je suis dans l'obligation de le vendre.

Le Duc écoutant ceci comprit que l'Institut Musical n'avait pas la capacité de se gérer. La vente lui semblait donc comme le disait l'évêque une perspective inévitable et donc il était fort important de saisir l'occasion pour mettre main sur une des plus importantes institutions culturelles de l'Empire. Il se disait donc qu'avec un peu de diplomatie et chance le Duché pourrait acquérir cette institution ce qui permettrait à Varsalance de devenir le nouveau pôle culturel de l'Empire au détriment d'Elbêröhnit. C'est en voulant atteindre ce but qu'il répondit à l'homme d'église.

"Je vois. Donc si je comprends bien vous avez de la peine de gérer cette institut au niveau financier. Je pense qu'une perspective possible serait que le Duché achète l'Institut, ainsi il resterait en bonnes mains en évitant de tomber dans des mains étrangères à la culture. En plus vu que Varsalance compte des nombreux théâtres et une opéra, l'Institut pourra venir dans la Cité et ainsi jouir des avantages qu'on donne à des institutions culturelles qui font parti de l'Administration."

L'évêque répondit :

- C'est dans ce but que je suis venu, car je suis convaincu que Varsalance est plus à même d'être un poll culturel que la capital. J'aimerai ce pendant une faveur , est ce que je pourrai rester le directeur de cet institut.

Le Duc se disait qu'il n'avait aucune raison de vouloir évincer l'évêque de l'Institut, au contraire son expérience pourrait être utile pour garder la qualité de l'institution. C'est pour ceci qu'il lui répondit.

"Pour ma part, je ne vois aucune objection à votre continuité dans ce poste qui vous semble aller tellement bien.Tant que vous saurez assumer votre charge avec efficacité, vous aurez mon appui pour rester le directeur de l'Institut."

Il répondit :

- Je vous remercie excellence, j'espère pouvoir honorer votre contribution, je suis prêt à signer le contrat quand vous voulez.

Et il but du thé.

» Visite de PJ
» Visite latine
» Visite à son cousin.
» Visite non souhaitée...
» Visite d'un dignitaire avarois