Bordurie

Après un rapide trajet le premier consul et son invité arrivèrent en Hôtel Castellum, ou il furent rapidement introduit dans le Bureau du Premier Consul, tout ceci ce fit rapidement pour ne pas éveillé quelque soupesons de la population Belondaure ou d'autre journaliste.

Après l'avoir fait assoire et avoir prévenu le Grand Moff le Premier Consul dit :

-"Je vous écoute, j'imagine que vous n'avez pas fait le trajet pour rien."

Nombre de messages : 7 Age : 79 Date d'inscription : 10/10/2007

Le Chânzler essaya de parler dans son meilleur Belondaure , langue qu'il avait appris à l'academie de Perm en Bordurie Nationale. Il salua l'Archiduc de Quentrum puis il s'assit sur une chaise tout en découvrant la piéce.

Il s'exclama.

-Quel luxe

Mais il pensait intérieurement * cela serai dommage que les troupes Gélébroise réduisent ce splendide palais en cendre !*

Puis il pris un ton plus formel.

- Votre Altesse , vous savez comme moi qu'en Bordurie Nationaliste , nous cultivons la haine de la faiblesse , ainsi depuis l'arrivé au pouvoir de son Exellence Musser , notre société s'est radicalement transformé grâce a la séléction naturelle et la mise a l'écart du citoyens faible.

Notre pays a certes été ravagé par la guerre, mais nos efforts pour formaté une société nouvelle , totalement obéissante a ses chefs commence à porté ses fruits.
Ainsi grâce à nos efforts et a l'aide économique que Gélébre nous fournit en l'échange de matiére premiére tels :" L'acier, la Fonte, l'aluminium, le Nickel et le cuivre". Matiéres dont nous possédons d'énormes quantités dans notre sol , mais qui sont sous exploités en raison de la crise économique en Bordurie.

Ce que son exellence Musser souhaite est d'obtenir la garantie qu'en cas de conflit entre notre partenaire commerical le Gélébre et votre Empire , la République Nationale de Bordurie ne soit pas attaquer en raison de ses transactions avec le Gélébre.

Nous ne prenons point part au conflit , mais les réalités économiques font que le Gélébre restera un de nos partenaire et nous continurons a lui fournir matiéres premiéres pour le bien être du peuple Bordure.

Il fixa l'archiduc dans les yeux en essayant de deviné sa réaction.

L’Archiduc comme a son habitude détestait faire savoir ce qu’il pensait, il ne laissa donc sur son visage rien paraitre. Puis il résuma la situation.

-« Si je comprend bien, vous souhaitez que nous n’attaquions pas les transaction entre votre pays et Gelebre a qui vous fournissez de quoi leur faire des armes ? Je ne me trompe ? »

L’Archiduc ce dit quand même intérieurement qu’il fallait un sacré culot pour tenté une tel stupidité.

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Le Chânzlêr fut choqué de la réponse de l'Archiduc.

- Votre Altesse, nous leur fournissons uniquement des matiéres brutes , ce qu'ils en font en suite ne nous regardent pas. Les bénéfices des ces transactions nous servent a amélioré nos plants de cultures, nos élevages vous qui êtes économiste de réputation devez savoir que la Bordurie n'est pas autosufissante et que sans nos transactions le peuple mourrait trés vite de faim !

- Vous pouvez comprendre que je ne puis décidé d'une tel chose tout seul.

Le Premier Consul appela son Vice Consul pour qu'il vienne le conseillé.

Invité

Shingen Ito arrivait dans la salle après que la secrétaire lui ait fait venir sur les ordres du Premier Consul. Voyant l'Ambassadeur de la Bordurie il put que lui envoyer un regard de mépris face à cette petite vermine fasciste qui n'était rien d'autre qu'un de ceux qui avait tuer son père. La même idéologie invoquer la même haine que Shingen estimé à ceux qui se proclammer leurs defenseurs du fascisme. S'approchant du Premier Consul il dit:

- Monsieur le Premier Consul, vous m'avait fait appeler. Pour quoi je puisse vous être utile?

Rapidement, le premier consul mit au courant son Vice Consul de la demande. Puis il lui demanda d'aller voir avec les généraux et le grand Moff ce que l'Empire pourrai faire pour la Bordurie dans la situation actuel.

Invité

Shingen Ito qui avait attentivement écouter le Premier Consul fut surpris par le fait que le Premier Consul voulait consulter l’armée surtout que ceci était plutôt un problème de taille économique. Il lui répondit ainsi :

-Mon Consul. Certes, votre idée de consulter les forces armées de l’Empire est sage mais est-ce que le problème n’est pas plutôt un problème économique ? Pourquoi pas le régler donc économiquement ? Mon comté qui compte un important centre industriel ou l’industrie de ma capitale à était déplacée pour éliminer la pollution dans la ville aurait grandement besoin de ces matériaux brutes. Pourquoi pas conclure un contrat commercial avec la Bordurie et ainsi éviter au Gélèbre de recevoir ses matériaux en garantissant la prospérité de la Bordurie et en fournissant notre industrie ces précieux matériaux ?

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Le Chânzlêr fut intrigué par cette réponse , il vu la le moyen de faire augementé ces exportations en même temps que les prix à la tonne des matériaux exportés. Seul un probléme posé encore, comment le Gélébre verrai cette trahison surement va t'il envoyé ces armées sur la Bordurie. Comment allaient t'il faire pour resister a une telle armée.

Il répondit fébrilement à l'argument du vice-premier-consul.

-Si nous faisons cela le Gélébre voudra nous détruire c'est sur !

Invité

Le Vice-Consul alors lui répondit:

- Un Causus Belli parfait pour nous, nous viendrons en votre aide et à mi-chemin nous détruirons le Gélèbre ce qui nous permettra de nous libérer d'eux et de ce moment vous aurait la chance de seulement devoir négocier avec notre empire. Laissez les essayer de vous attaquer et vous verrez que nous interviendrons en votre faveur et que cette nation sera écraser par notre puissance de feu terrestre.

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A ce moment le Chânzlêr fixa le vice premier consul.Sachant trés bien que celui-ci etait un anti-nationaliste, il percevait dans sa voix une teinte de haine envers le régime de Borduro-National. La bordurie etait pour le bien du peuple une république national depuis la prise de pouvoir des Moustachistes et du Marechal.

- A mon avis , quels garanties vais-je recevoir ? L'empire Belondor n'est t'il pas contre les régimes nationaux ? C'est vos politiens eux mêmes qui le disent. Quel garanties puis-je avoir qu'une fois que le Gélébre attaquera les forces Bordures l'Empire belondaure n'utilisera pas ce Causus Belli pour démembré le régime National Bordure et l'idéologie Moustachiste ?

Invité

Le Vice-Consul lui dit avec une voix glacial:

- Monsieur le Chancelier, vous n'avait pas le choix. Si vous réfuser d'opérer vous périrer sous la puissance de notre armée car votre soutien au Gélèbre est plus qu'évident. Si vous accepter, vous avait des fortes chances que votre peuple garde son règime. Vous n'êtes pas en position d'apporter des exigences car c'est avec nous ou contre.

Il concluait donc:

-Choissisez votre camp.

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Le Chânzlêr fortement agacé par le personne de ce vice-consul répondit.

-Cette décision en revient au guide de notre peuple, le Président à vie Musser. Je requiert mon retour en Bordurie Nationale pour discuter de cela avec lui même ainsi il vous adressera lui même sont accord ou refus.

Il attendit une réponse de ses homolgues Belondaures

Le Premier Consul n'avait rien a dire, tout avait été dit par son bras droit. Il n'aurai pas put mieux dire et le savais très bien, il sourit au Vice Consul pour lui montré son approbation.

-Bien voilà la situation mise en place, j'ose espéré que vous comprenez nos arguments. Nous ne vous retenons pas si vous souhaitez nous quitter, la voiture vous ramènera.

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- Vos Altesses je vous comprend parfaitement, mais je pense que vous devez aussi comprendre nos préocupations.

Il pris un ton ferme et déterminé.

- Son exellence Musser sera informé de cette disscution et répondra a votre offre par voie diplomatique soit par mon retour soit par une lettre de sa personne adressée à son Altesse Impériale l'Empereur.

Il salua ses homologues et pris la sortie en direction de la voiture qui le remenerai a l'aéroport afin de rependre son transport pour la bordurie.