L'Empire du Belondor
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L'Empire du Belondor

Micronation s'inspirant du Premier et du Second Empire français ainsi que de la Rome antique.
 
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 L'Impertinent : numéro 17

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Erica Lahan

Erica Lahan


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MessageSujet: L'Impertinent : numéro 17   L'Impertinent : numéro 17 EmptyJeu 20 Sep - 6:34

(Edition spéciale, motivée par les récents événements qui viennent de frapper le Belondor)



Quand l'empereur veut marquer le coup(d'état)....


Et cela devait arriver…depuis le temps que Sa Majesté jouait les schizophrènes, ne sachant jamais choisir entre l’autoritarisme et l’absolutisme, ou la volonté de se persuader-sans trop y croire, ni même convaincre-que le Belondor était censé être la « première démocratie du micromonde ». Lors de son allocution télévisée, l’empereur avait expliqué, avec des trémolos dans la voix, « que le Belondor était mûr pour passer à la monarchie parlementaire », qu’il souhaitait avoir un rôle d’arbitre, et que ceux qui prétendaient qu’il voulait « établir la dictature » mentaient…On a presque failli y croire, quand, curieusement, l’émission a subitement disparue des archives de la télévision publique deux jours après…L’empereur aurait-il eu du remords ? Aurait-il eu peur de ne pas avoir les épaules assez solides pour un rôle plus mâture ? Car accepter de lâcher du pouvoir et d’arbitrer est nettement plus difficile que de vouloir « toujours plus de pouvoirs »….Cela dénote même d’une certaine grandeur que l’empereur n’a visiblement pas.

Mais le plus inquiétant n’est pas là.
En effet, dans la nuit, le 33 Maxenine 2709, sous prétexte d’une menace imaginaire, l’empereur a publié le décret suivant, organisant un véritable coup d’état :

En tant qu'Empereur du Très Saint et Très Syiste Empire du Belondor, Nabelnine Ier décide afin d'assurer la sauvegarde de la Patrie, de l'Empire et de l'Etat ; par le pouvoir que lui a donné Dieu et en qu'Elu par le Seigneur pour gouverner le Belondor décide,

Article 1 : Que la Première Constitution Impériale Nationale est abrogée et qu'en conséquence l'Empereur prendra les pleins pouvoirs jusqu'à l'établissement d'une nouvelle constitution.

Article 2 : Afin de faire face aux menaces dont le Très Saint et Très Syiste Empire du Belondor est la cible, l'Etat de siège est décidé et mis en place. Le Sénat, la Chambre des Chevaliers, la Cour des Comptes et la Cour Impériale de Justice sont dissoutes. Le droit de vote est abaissé à l'âge de vingt ans au lieu de vingt-et-un ans.

Article 3 : Une commission composée du Consul des Affaires Extérieures le Sieur Erasmus Nerym, du Premier Consul le Duc François-Antonin d'Ecosient et du Grand Moff le Prince Ismarkus d'Eslagne sera chargée de rédiger une nouvelle constitution, permettant d'assurer un pouvoir fort, stable et respecté, capable de faire faces aux menaces extérieures. La commission sera présidée par le Sieur Erasmus Nerym en sa qualité de juriste constitutionnel confirmé et diplômé.

Article 4 : Toute personne entravant l'application de ce décret pourra être arrêtée à titre prvisoire, afin de s'assurer de sa personne et de la bonne application du décret.

Article 5 : Le Consul des Affaires Intérieures et le Consul des Affaires Extérieures sont chargés de l'application du présent décret.


Une telle décision a de quoi laisser songeur….Car, la constitution actuelle, que l’empereur n’a cessé de maudire après l’avoir votée, lui accordait pourtant beaucoup de pouvoirs. Jugeons-en plutôt :

Titre II : l'Empereur
(…..)
Article huitième: (….)Il nomme le Gouvernement(…)
Article neuvième: l'Empereur participe au Conseil de l'Empire et arrêté conjointement avec le Premier Consul l'Ordre du jour.

Article dixième: l'Empereur promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée.
(…) L’Empereur dispose d’un droit de veto sur toutes les lois(….)

Article onzième: l'Empereur, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, peut soumettre au référendum tout projet de loi (…)

Article quinzième: L'Empereur est le chef des armées. Il préside le Conseil d'État-Major des Armées (CEMA).

Article dix-septième: L'Empereur a le droit de faire grâce, uniquement pour les délits.

(….)


Alors, pourquoi demander plus ? N’est-ce pas déjà assez ? En quoi la présente constitution, dont on a pu lire certains extraits ci-dessus, n’est pas en mesure de garantir « un pouvoir fort, stable et respecté, capable de faire faces aux menaces extérieures » ?
Car, Sa Majesté justifie ce coup d’éclat par la volonté de faire face à une soit disant menace extérieure, venant d’un obscur territoire-le peu célèbre Gélèbre, jusque là inconnu…Mais, même « lorsque les institutions de l'Empire, l'indépendance de la nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacés d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu », l'Empereur a la possibilité de demander « l'obtention exceptionnelle des plein pouvoirs » selon une démarche précise(article 16). Ainsi, l’empereur dispose déjà, de par la constitution, de procédures permettant de surmonter une crise en obtenant les pleins pouvoirs de façon provisoire. Dans ce cas, le belondaur un tant soit peu réfléchi est en droit de s’interroger sur les véritables motifs poussant l’empereur à s’octroyer les pleins pouvoirs, en décrétant de façon arbitraire la dissolution des diverses instances, telles que le parlement, la cour des comptes et la CIJ…. Vu que l’article 16 de la constitution rappelle que « Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission », le belondaur lambda et imperméable à tout bourrage de crâne est aussi en droit de se demander si l’empereur n’est pas en train de l’entuber. En effet, l’ironie de la chose veut que celui qui est censé « veiller au respect de la constitution »(Titre II. Article cinquième) est justement celui qui la viole.
Certes, on dira que « peu importe le viol, pourvu que les enfants soient beaux », mais un autre adage ne dit-il pas aussi qu’ « Il est encore fécond le ventre d'ou est sortie la bête immonde » ?

Bref, se demandera encore le belondaur lambda, doit-on faire un coup d’état à chaque fois que l’on entre en guerre avec une autre nation ? D’autant plus que le cas présent ne semble nullement justifier pareille décision arbitraire. La seule explication possible serait que « quand on en a déjà beaucoup, on en veut toujours plus ». Mais même un pouvoir absolu suffirait-il à étancher la soif de celui qui cherche à avoir « toujours plus de pouvoir » ?
Prochainement, nous annonce le décret impérial, serait mis en place une commission composée du Consul des Affaires Extérieures le Sieur Erasmus Nerym, du Premier Consul le Duc François-Antonin d'Ecosient et du Grand Moff le Prince Ismarkus d'Eslagne, chargée de rédiger une nouvelle constitution, permettant d' « assurer(sic) un pouvoir fort, stable et respecté, capable de faire faces aux menaces extérieures ». Mais l’empereur pense-t-il obtenir ainsi le respect de son peuple, à défaut d’être aimé par lui ? Ce serait inquiétant, car, vouloir plus de pouvoirs que la constitution ne lui en donne déjà, n’est-ce pas là un aveu de faiblesse, et la preuve qu’il n’a pas su se servir des pouvoirs déjà conséquents que lui accordent la constitution ? Peut-on aimer durablement un souverain qui semble uniquement préoccupé par son prestige personnel, étant éloigné des préoccupations de son peuple ? Donner la priorité à d’hasardeuses expéditions lointaines, n’est-ce pas là une façon de ne pas traiter les problèmes internes de l’empire et de fuir ses responsabilités ?

La responsabilité est le propre de l’adulte. Mais un enfant ne se préoccupe pas de cela. Encore moins d’avoir à rendre des comptes…il n’aime tant que de jouer au(x) petit(s) soldat(s)…
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Erica Lahan

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MessageSujet: Re: L'Impertinent : numéro 17   L'Impertinent : numéro 17 EmptySam 22 Sep - 21:51

Quand l'Etat belondaure s'intéresse aux medias....


Quel est l'avenir des medias(presse écrite et télévision publique) au Belondor ? Un récent décret impérial, depuis le coup d'état organisé par l'empereur Nabelnine Ier, abrogeant la constitution et instituant l'état d'urgence, donne à réfléchir à ce sujet.

Le 36 Maxenine 2709, "afin", semble-t-il, "de mieux renseigner nos concitoyens, sujets et compatriotes sur les affaires de l'Etat, la volonté du Gouvernement et de l'Empereur de faire respecter le pavillon belondaure dans le Micromonde et leur ardent désir de l'enrichir", l'empereur décrète(art.1) la création d'un "journal doté de fonds public, connu sous le nom de Le Monde Impérial. Son siège social est situé à Elbêröhnit. Il est une filliale du groupe media public MediaGroupe Belondaure (MGB).
(art. 2)"Les journalistes employés par Le Monde Impérial pourront s'exprimer librement(sic)". Cependant, ils dépendent tous "du Département de la Sécurité Intérieure et sont donc rattaché au Consulat des Affaires Intérieures". Soit disant libres, ils sont "responsables de leurs articles et éditoriaux devant leur Département et Consulat". A noter que le texte, s'il précise que les journalistes disposent de la liberté d'expression, reste flou quant à la liberté de publication. Qu'en est-il de la garantie que leurs articles seront publiés dans leur intégralité ? Car, en effet, que se passe-t-il si un article a l'honneur de déplaire audit consulat ? Le texte ne dit rien de précis à ce sujet...
Ensuite, (art. 3), "l'Empereur, les membres du Gouvernement et de l'Administration Impériale ont un droit de parole dans les colonnes du Monde Impérial". Certainement par soucis de faire connaître un autre point de vue que celui des journalistes, supposés "libres de s'exprimer"...
Pour éviter tout soucis, l' article 4 a prévu que le capital du journal Le Monde Impérial devra être à cinquante-et-un pour cent au moins, détenu par l'Etat". Le directeur de la rédaction "sera nommé sur décret de l'Empereur après consultation du Consulat duquel il dépend"(Art.5).

Certes, pour le moment, la presse reste libre : des journaux comme "L'Impertinent"(ininterrompu depuis le 21 décembre), et "le Globe libre" paraissent encore. Et ce n'est sûrement pas là que l'empereur trouvera des articles hagiographiques, bavant d'obséquieusité devant sa personne. La solution est plus simple : créer une presse chargée de relayer la "Bonne Parole Impériale". Voire, même, le bon peuple aura la possibilité de lire, non seulement les écrits des "prêtres du culte impérial", de ceux qui sont chargé d'asséner le bourrage de crâne impérial, mais la parole "divine" de Sa Majesté Impériale en personne. Car, après tout, pourquoi se contenter des "saints", alors que le "dieu vivant" peut s'exprimer directement ?
Mais, un tel article ne peut que nous laisser perplexe : le journal et ses "journalistes" dépendront du "Département de la Sécurité Intérieure, rattaché au Consulat des Affaires Intérieures"(qui détient également la télévision publique). Quel rapport entre la presse et la sécurité intérieure ? De telles liaisons ne peuvent que paraître dangereuses et suspectes à tout journaliste et professionnel des medias, soucieux d'éthique et d'indépendance du "quatrième pouvoir". Mais, en dehors de quelques exceptions(comme "L'Impertinent" et "Le Globe libre"), les medias belondaures ont-il jamais eu une éthique ?


Pour terminer, un événement ne peut que confirmer cette crainte :
Il y a quelques jours, les programmes habituels de la chaîne publique, Belondaure Télévision 1, ont été interrompus, pour faire place à une "émission spéciale". Pluralisme oblige, deux invités sont chargés de clarifier les événements récents qui agitent le Belondor(mis en état d'alerte, avec une CIJ et un parlement dissouts, et une constitution abrogée par l'empereur qui a pris les pleins pouvoirs) depuis quelques jours : alors, coup d'état ? Ou simple "moyen de protection" contre une nation surgie de nulle part, "Gélèbre" ?

Mais, alors que l'on s'attendait à entendre des analyses et des points de vue différents de la situation(au moins, un invité défendant la thèse du "coup d'état" et un autre la thèse de la "défense contre l'ennemi extérieur"), le télespectateur n'a eu droit qu'à une analyse monocolore de la part du Consul des Affaires Extérieures, Eramus Nerym et de l'ex-sénateur Shingen Ito, général et vice-consul, tous deux membres du nouveau gouvernement nommé par décret par l'empereur.

Selon monsieur Nérym, les services de la sécurité intérieure auraient trouvé un lien entre les indépendentistes et républicains de l' Empire et le Gouvernement Gélèbrois.
Des espions se seraient inflitrés dans le pays, particulièrement au sein de la Cour Impériale de Justice, entièrement noyautée, aux dires de messieurs Nérym et Ito.
Ito explique que le gouvernement et l’Armée ont repris "le contrôle de la situation politique" du pays et placé sous la plus stricte observation tout groupement ou édifice pouvant comporter des mouvements travaillant pour une puissance étrangère.
S'il ne nie pas que les méthodes utilisés pour arriver à remettre le controle sur notre pays qui à était grandement infiltré par des agents étrangers sont contestables, il les justifie comme étant "préventives" pour éliminer un "complot" contre notre pays.
Ito reste confiant dans les futurs travaux législatifs qui seront entamés élaborant une constitution "assurant la stabilité de notre pays en évitant que des instances juridiques (...)puissent bloquer le bon déroulement du processus démocratique, en autre terme que nos ennemies n’aient plus la possibilité en infiltrant par exemple la Cour de Justice Impériale(sic) de pouvoir empêcher la naissance de lois et décrets et ainsi de saboter le développement législatif de notre pays".


Mais en parlant de "démocratie", la chaîne publique va nous donner, par la suite, un bel exemple de "défense de la démocratie" et de la liberté d'expression :
La duchesse d'Ecosient, qui suivait l'émission à la télévision, depuis la maison de son mari à Saint-Marc, décida d'appeler le standard de la chaîne, pour intervenir et questionner les invités. Par deux fois, elle fut déboutée par le standard qui a d'abord refusé de prendre son appel, avant de lui donner la parole en direct. La duchesse, ancienne garde des sceaux et présidente de la CIJ-aujourd'hui dissoute par décret impérial-commence tout d'abord par réfuter les accusations, comme quoi la CIJ serait "infiltrée" et se serait livré à de l'ingérence systématique, paralysant le travail parlementaire :
"Qu'est-ce qui permet à vos invités de prétendre que la CIJ aurait fait preuve d'ingérence dans le travail législatif, puisqu'à ma connaissance, la CIJ ne s'est jamais permise d'intervenir dans les travaux ou les débats parlementaires ? Que l'on me cite un seul exemple concrêt ? Certes, il est vrai que nous avons invalidé un décret impérial par lequel Sa Majesté s'autoproclamait "chef de l'église syiste" pour anticonstitutionnalité...Mais depuis quand vérifier la constitutionnalité d'une loi peut-il être comparé à de l'ingérence ? Il s'agit là d'une prérogative du pouvoir judiciaire, en vertu de la séparation des pouvoirs", explique-t-elle.
Ito bafouille : "Vous prétendez que nous accusant la Cour de la Justice Impériale soit un nid de traître et de terroristes? Loin de moi cette idée(...) le pouvoir que la constitution actuelle confère à la Cour de Justice est telle qu’en cas d’infiltration, la Cour de Justice aura tous les moyens pour saboter une politique bénéfique pour notre pays ou en cas de crise d’empêcher que l’Empereur puissent réagir politiquement au mieux".
La duchesse ne lâche pas prise : "Il y a une grande différence entre "une institution infiltrée" et "une institution qui ne l'est pas(encore)mais qui peut l'être", vous ne croyez pas ? Il y a là un "peut-être de trop"...Jusque là, vous n'avez pas été en mesure d'étayer ce que vous avancez et vous n'avez fait qu'un procès d'intention à la CIJ qui n'a jamais fait preuve de trahison ou d'ingérence en quoi que ce soit...Je vous ai demandé de me présenter des cas précis où la cour que j'ai dirigée aurait soit disant dérapé, mais vous n'avez pas été capable de me donner un seul exemple. Et pour cause..."
Ensuite, défendant la constitution abrogée, qui permettait pourtant à l'empereur de demander les pleins pouvoirs en cas de crise, elle rappelle le rôle du pouvoir judiciaire, défendant la nécessité d'une justice indépendante : "Le pouvoir judiciaire ne fait, en aucune manière, le droit : il juge. Le pouvoir judiciaire vérifie la constitutionnalité des lois votées ou des mesures prises. Et la seule limite de la CIJ, son seul critère de valeur a toujours été les valeurs garanties et défendues par la constitution...Valeurs ne pouvant plus être défendues, puisque la constitution a été abrogée...En quoi peut-on accuser la CIJ d'être "une arme de puissance inégale", comme vous l'affirmez, quand la CIJ ne fait que veiller à ce que les citoyens ne souffent pas de l'arbitraire ? Est-ce un crime de veiller à ce que les droits fondamentaux de tous soient garantis ?" demande-t-elle.

Mais la liberté d'expression accordé à la duchesse ne dura pas longtemps. Alors qu'elle s'apprêtait à répondre aux accusations des sieurs Nérym et Ito, elle fut brûtalement coupée et censurée par la régie, sur ordre d'un colonel de l'armée...Il semble que désormais, dans le "monde nouveau" qui surgit du coup d'état organisé par l'empereur, seule l'armée puisse décider qui peut s’exprimer à la télévision publique...
Heureusement, comme disait le sieur Ito, que la "démocratie" est défendue par de tels hommes..."La Première démocratie du micromonde", même lorsque sa constitution est abrogée, et ses principales institutions dissoutes, et qu'un coup d'état est justifié sans sourciller à la télévision-télévision qui acccepte que l'armée censure-a encore de l'avenir...

Souriez, lecteurs. Vous ne rêvez pas : vous êtes bien au Belondor...



(Article publié pour l'Observatoire Critique des Medias[OBCRIMED]-Medias Sans Chaînes)
http://congresdelapresse.niceboard.com/Observatoire-Critique-des-Medias-f25/Quand-l-Etat-belondaure-s-interesse-aux-medias-t176.htm
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