Erasmus Nerym
Nombre de messages : 687 Age : 72 Localisation : Elbêröhnit. Date d'inscription : 06/11/2006
Notoriété Tendance politique: Aucune
| Sujet: Re: r Dim 22 Avr - 17:04 | |
| Enfin !Tel fut le cri de tous les pauvres Ardaniens qui n’avaient pas vus l’arrivée de convois humanitaires depuis presqueun an.En ce matin de printemps, une longue file camions, que l’on disait sans fin, se déversait dans toutes les villes importantes de l’île. On distribua ainsi des tonnes de féculents, d’eau, de médicaments, et fournitures nécessaires pour la survie dans cet univers en ruines.Les médecins étaient aussi venu par centaine, prodiguant soins et attentions aux familles déchirées par la guerre. Le Sieur Nerym avait accédé au poste tant désiré des Affaires Extérieures après avoir écrasé une bonne fois pour toutes les dernières poches de résistance Merksites–Luninistes.Ces derniers s’étant refusées une reddition inconditionnelle, les troupes menées par le Gouverneur-Général avaient menées une dernière campagne efficace qui n’avait pas lésinée sur les moyens matériels et humains.Personne ne savait ce qui était advenu à Guillaume Bartobi et René Cradet, le chef suprême de ce mouvement révolutionnaire et son second ; nombreux furent ceux qui les pensèrent morts mais le Gouvernement Militaire ne souhaitait pas se prononcer sur ce cas pour le moment. Mieux encore, certaines filiales de FrançoisGroupe avaient été réquisitionnées par le Département de la Guerre et furent forcées de reconstruire l’Ardanie.Le travail sera long, mais les ouvriers furent entièrement dédommagés en matière sonnante et trébuchante ; on leur promit d’ailleurs de leur verser un salaire plus élevé que dans la capitale.En outre, eux et leurs familles seraient logés dignement dans des habitats provisoires près de leurs zones de travail. Oui, le mouvement était finalement en marche et la venue de Sa majesté l’Empereur y avait été pour quelque chose puisque les médias s’étaient subitement intéressés à l’île, ce qui apporta en parallèle de nombreux capitaux privés.Ce jour là, ce jour où les camions apportèrent le sourire aux Ardaniens et les avions une aide inespérée, sera longtemps loué comme le jour de la fabuleuse renaissance de la flamme de l’espoir dans les cœurs saignés à blanc de nombreux Belondaures.
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