Demonaco

L'Empereur marchait à vive allure. Il avait convoqué tous les consuls en la salle du Conseil de l'Empire pour une affaire d'Etat extrêmement importante. A ses côtés marchait tous ses conseillers - couraient plutôt, car l'Empereur avait toujours eu le pas vif - à qui il lançait des ordres à la pelle. Il passa dans l'étroit couloir qui menait à la salle et ordonna aux gardes d'ouvrir la porte. Il pénétra alors dans la salle et tous les Conseuls se levèrent pour saluer l'arrivée de leur Souverain. Celui-ci s'assit rapidement et leur fit signe de faire de même. Il dévisagea alors un à un les consuls, puit commença à parler :

Messieurs, vous n'êtes pas sans savoir que Demonaco sera bientôt soumis. Il nous faudra alors décider du sort que nous lui réserverons. Cette misérable nation, dont je suis également le Souverain, a tenté de me renverser. C'est inaccceptable et cela demande punition ! Nous la punirons.
Mais il faut décider de son avenir politique. Qu'en faire ?
L'annexer purement et simplement en en faisant une nouvelle vice-royauté...? Je n'y suis pas trop favorable.
Lui laisser son ancien statut et son indépendance... ? Plus jamais ! Ce serait insensé de notre part et montrerai le manque de respect que nous nous portons.
C'est pourquoi je pense qu'il nous faudrait lui créer un statut à part. Je suis pour la création de la Province coloniale de Demonaco, administrée par un Gouverneur.
Voilà la solution que je propose.

L'Empereur regarda alors ses consuls afin de connaître leurs avis sur une question aussi capitale.

L'Empereur irrité par la désinvolture de son César et par sa remarque lui répondit d'un ton bref et agressif :

Je connais la situation actuelle. J'essaie encore de m'arranger avec le pseudo-gouvernement demoncain. Mais si aucun accord bilatéral n'est trouvé, les évènements se passeront ainsi.

L'Empereur outré de l'attitude du jeune aide de camp, arrêta de feuilleter ses dossiers, releva la tête et commença à lui parler :

Monsieur Megelein, puisque visiblement vous n'êtes pas capable de vous comporter convenablement en notre présence et de vous tenir comme une personne civilisée, je vous propose d'attendre la fin de notre réunion consulaire, dehors... Merci bien. Maintenant, sortez !

L'Empereur avait fait un signe du doigt indiquant la porte au même moment. Megelein très véxé et qui vaait les joues rouges de honte se dépêcha de sortir.
Au moment où sa paume de la main atteignait la poignée, un homme en nage, tremblotant et haletant dans son magnifique costume de travail ouvrit brusquement laporte. Il dit :

"Un message pour l'Empereur !"

Il se dépêcha de courir jusquà celui-ci. L'Empereur lui tira alors la lettre des mains, déchira l'enveloppe et commença à lire le message. Sans laisser paraître la moindre émotion, il la reposa sur la table puis dit :

Messieurs, Demonaco accepte nos conditions. C'est le retour au statuquo. La réunion consulaire est donc terminée. Vous pouvez vous en aller.

Ismarkus s'approcha de l'Empereur.

Sire ne devrions nous pas envisager un plan de reconstruction vu que le Demonaco est une de nos colonies maintenant.

Nous pourrons ainsi porté en ce pays l'influence économique Bélondaure.

Une question nous on t'il livré la maréchale Antonia ?

L'Empereur sourit :

Je crois que vous m'avez mal compris Maréchal. Demonaco revient à son statut qui était le sien avant la révolution.

Ah d'accord très bien sire. Enfin nous auront quand même Tiuana à reconstruire et à Décontaminé dans la mesure du possible.

Après sa bête remarque François c'etait tut.
Mais apres avoir mainte et mainte fois tourner sa langue dans sa bouche il dit.

"Ne serai il pas utile de demander la nomination un Gouverneur qui serai la pour les aider dans la constructions de leur pays. Il aurait un Mandat d'un ans non renouvelable."

L'Empereur trouva excellent l'idée de son César et l'approuva :

Oui, en effet, votre remarque me parraît pertinente. Il faudra l'inclure au traité.

Puis l'Empereur sortit en adressant un sourire au César et au Prince d'Eslagne.

L'Empereur convoqua de nouveau tous ses Consuls pour une réunion de crise, et sans plus de préambules commença à exposer les faits et sa décision déjà bien arrêtée :

- Messieurs, Demonaco a décidé de nous provoquer en décidant d'intégrer l'OMF alors que nous lui avions demander de ne pas le faire. Nous l'avons pourtant aider à s'en sortir grâce à un plan d'aides financières mais rien n'y fait, et ils restent ingrats...
Désormais, il nous faut les sanctionner. Je propose donc qu'ils soient exclus de l'OTSO en représailles, d'autan plus que nous ne savons toujours pas s'ils ont évacué ou non l'île de Navikon.

L'Empereur attendit la réaction de ses consuls...

Ismarkus , fut directement en accord avec l'empereur.

- Excellent, Altesse princière. Allez porter cette résolution à l'assemblée de l'OTSO.

Demonaco venait d'être exclu, et l'Empereur avait encore convoqué les Consuls à propos de politique étrangère :

- Bien, messieurs, le Demonaco étant exclu, je propose de quitter l'OTSO, Argentorate et nous ne suffisent pas pour créer une telle organisation à mon avis.

Je ne suis pas sur que se soit une bonne idée de laché se que nous avons créer...

- Mon cher cousin, vous savez déjà que mieux nous attend... n'est-ce pas ? Souvenez-vous...

Je m'en souvien tout a fait mais de tel traité avec argentorate son pour moi intérésent..

- Je n'ai pas compris ce que vous venez de dire ? Argentorate fera partie de la LDIC ! C'est prévu ! J'ai eu leur Premier ministre a téléphone et il y est grandement favorable !

Bien il dois y avoir des choses sur lesquelle même moi je ne suis pas au courant.. L'important est de garder de bon rapport avec Argentorate.

- Argentorate était, et et restera tujours un de nos alliés.

Le Consul des Affaires Etrangères fut surpris.

- On parle de choses qui me dépasse, par ma fonction je devrais au moins connaitre et comprendre ce que vous avez dit Votre Majesté. Il semblerais que votre cousin, et loin de moi l'idée que votre Cousin ne devrait rien savoir, mais il semblerait qu'il en sache plus que moi sur ce sujet rapportant aux Affaires Etrangères.

Je vous laisse bien sur faire comme il vous plaira Votre Majesté, mais j'aimerais avoir un peu plus d'information pour effectuer au mieux mon travail.

Pour en revenir a votre proposition, je suis moi aussi contre... mais ne connaissant pas la LDIC, mon avis n'a que trop peu d'importance.