[Naturalisation] Erasmus Nerym

Bienvenue parmi nous Monsieur !

Je suis enchanté de faire votre connaissance. Je vois avec plaisir que vous avez un solide bagage (sans jeu de mots héhé...) et que vous avez une expérience incomparable du Micromonde.

Vous êtes naturalisé !

Et bien, je me suis dit que je pouvais venir de moi-même pour accueillir une telle personnalité ! Il est important pour nous de parvenir à attirer des personnes capables de garndes choses... et je crois que vous le pouvez !

Un bagagiste tira l’une des manches d’Erasmus, et lui dit en murmurant :

-« Monsieur, le Grand Moff est ici ! »

M. Nerym se retourna et vit un homme de grande taille, à l’allure sévère, et au plastron recouvert de médailles. Il s’exclama alors :

-« Altesse ?! Je crois que je ne pouvais attendre mieux. Votre accueil me va droit au cœur. On me dit que la marine ne s’est jamais aussi bien portée depuis que vous vous en occupez. Félicitations. »

L'Empereur qui écoutait la scène avec attention ne put qu'être enthousiasmé :

- Bien évidemment ! Montrons à cet homme l'étendue de notre puissance ! Nous avon sun fort potentiel qui ne demande qu'à être utilisé, acr vous allez me dire, pourquoi dépenser en armement si ce n'est pas pour l'utiliser ?

C'est alors que l'Empereur, se souvenant qu'un autre interlocuteur que le Prince d'Eslagne était présent, décida de stopper la conversation ou en tout cas de la recadrer. En effet, il ne pouvait dévoiler certaines caractéristiques de son armée, ni les fantastiques projets qu'il avait pour elle, devant une personne qui restait lui était inconnue et dont il ne pouvait avoir donc toute confiance ; espérant que celle-ci se construise au fil du temps :

- Mais, veuillez m'excuse, M. Nerym ! Nous bavassons, le Prince d'Eslagne et moi, nous nous enflammons même et nous vous oublions. Dans tous les cas, le Prince d'Eslagne, en charge du Consulat de l'Intérieur, ainsi que les autres consuls, peuvent vous proposer des postes. Moi aussi d'ailleurs... Mais ça... c'est une autre histoire ! Enfin, si un poste de fonctionnaire quelconque vous intéresse dans l'administration, contactez le consulat en charge. Il s'occupera de répondre à votre démarche. Sur ce, je vous dis aurevoir.

Alors, l'Empereur s'en alla, après un bref salut aux deux hommes, et une révérence du Prince d'Eslagne envers lui.

M Nerym;
Bienvenu dans notre beaux pays, j'espere que vous y ferai un beau séjour.
Je me présente peut etre, César Francois d'Ecosient, Je suis en charge du Consulat de l'economie et president du PSM, le parti syiste monarchique.

Le Duc Antonel Chalon d'Origodes arriva auprès du Grand Moff ainsi que d'un nouvelle immigré. L'Empereur lui avait raconté que Erasmus Nerym portait une attention particulière à la marine. Attention qui concernant le Duc d'Origodes très particulièrement sachant qu'il y occupait depuis peu un poste important dans la Marine Belondaure. Il arriva donc à la hauteur du Prince d'Eslagne et de Monsieur Nerym.

"Mon Seigneur le Prince d'Eslagne, je suis ravi de vous voir aujourd'hui. Notre Empereur m'a prévenu qu'un ... nouvel arrivant se faisait connaitre aux autorités. "

Antonel se retourna donc vers Erasmus, l'homme en question dont ils étaient en train de parler.

"Monsieur .... Nerym m'a ton dit ! Je vous souhaite la bienvenue parmis nous, espérant que le Belondor vous plaira. Je me présente, Duc Antonel Chalon d'Origodes, Consul des Affaires Etrangères, et Vice Amiral de la Marine entre autre. L'on ma raconté votre intêret pour la Marine Belondaure en générale, je serai certes moins aptes que Notre Grand Moff pour vous aider, mais si vous le souhaitez, je suis là à votre entière dispositions."

Erasmus vit arriver tout un cortège de personnalités de l’Empire
et, fort gêné, répondit tant bien que mal aux messages de bienvenue :


-« Altesse d'Eslagne et d'Origodes, Altesse
Illustrissime d'Ecosient, Votre Majesté Impérial l’Empereur,

Je m’étais fais a l’idée, dans ma lointaine jeunesse, qu’il
me faudrait un jour traverser le Micromonde et visiter les pays prestigieux tel qu’Avaricum ou le Zollenberg pour, éventuellement, m’y installer.
L’Empire du Belondor est une nation qui sait se faire
entendre, et que l’on ne doit pas négliger. Tous les livres d’histoire vous
parleront du fameux Kalamanine et de sa descendance bénite.
Mais jamais je n’eus à l’idée de me rendre en ce qui
est maintenant devenu le dernier bastion Syiste d’importance.
Pourtant, la vie suit son cour et la providence, sous
le regard bienveillant de Notre Seigneur, m’a fait atterrir ici, dans ce pays
aux idées libérales et qui combat depuis toujours les Merksite – Luninistes.
Et je m’avoue satisfait !
Les armées sont fidèles et s’évertuent a protéger le peuple
Bélondaure, la croissance bat son plein et le rayonnement culturelle du pays se fait plus présent chaque jour.
Mais y resterais-je ?
Cela, il m’est impossible de l’affirmer avec
certitude.
Mais une chose est sure : vous pouvez dès a
présent compter sur moi pour participer à cette grande aventure qu’est la
construction d’un pays aux valeurs sure et à l’avenir indubitablement prospère.

Vive l’Empire, Vive l’Empereur et Gloire a Saint Sevan ! »


M. Nerym s’inclina une nouvelle fois devant tout cette
noblesse complaisante, et, prenant ses baguages, se dirigea a pied vers un hôtel où résider.