Le Duc Antonel Chalon d'Origodes, alors qu'il vaquait à ses occupations dans sa mairie, fut interrompu par un employé municipale qui frappait à sa porte.
"Oui entrez je vous prie.". L'employé prit place dans un des fauteuils en face du bureau du Duc, "Bien que se passe t'il, qui pourrait justifier une pareille interruption, alors que j'ai demandé à ce qu'on me laisse travailler tranquillement ?", dit il avec un ton brusque et peu aimable.
"C'est qquueee .... Monnssiieuuur Velllerrriin esst ... aaa éttéé assassinnné Monnnssiieuur".L'employé s'était exprimé tout en bagayant, trop ému par cette tragique nouvelle.
"Assassiné dîtes vous ! Bien, je me rend à l'hopital. Si l'on me demande, indiquez que je ne reviendrai que demain !
Antonel d'Origodes partit donc en direction de l'Hopital municipale, où on le conduisit au chevet de son ami, défunt, qui était allongé, après avoir été autopsié. Un médecin, le chirurgien, s'approcha du Consul des Affaires Etrangères.
"Mon Altesse Monsieur Le Duc,
Monsieur Vellerin est mort suite à une triste fusillade. 3 Balles dans le torse et une dans la tête. Autant d'impacts qui n'ont pas laissé de chance de survie au Président du PRN. Les criminels se sont enfuits tout de suite après, sans être rattrapé.
-Bien je vous en remercie. Nous allons donc devoir mobiliser la police pour connaîtres les investigateurs d'un pareil crime. Avez vous prévenu sa famille ?
-En effet je l'ai fait. Toute sa famille est en route.
-Je vous remercie Docteur. Je dois m'en allé. "
C'est ainsi que Marc Vellerin, un des plus grands amis de Stanou, disparut de la vie Belondaure...
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