De nombreuses usines de Saleça, représentant un total de 50 000 ouvriers s'étaient mis en grève à l'appel du syndicat qui là-bas était largement majoritaire, l'Union Syndicale des Travailleurs Belondaures (USTB) d'obédience social-démocrate.
Ainsi, des ouvriers des entreprises privées comme le pneumatique Machelon, le sidérurgiste Harcelos ou encore des gens de l'entreprise de métallurgie Péssiné faisaient grève de manière pacifique, attendant l'appel des socialistes libertaires et des libéraux à faire de même.